La France en faillite

cereal.be a écrit:travailler avec la France, c'est pas évident pour les entreprises étrangères : de 11h45 à 14h , on ne répond pas . Après 16h non plus . Le WE , il ne faut même pas y penser :
" c'est très pénible, et on n'y investira le minimum "  ( c'est pas moi qui le dit mais un responsable d'une entreprise belge qui a des usines en Be, Fr , Slovénie, Pologne, Russie, Italie, ....)

ET Là, le gouvernement n'a rien à voir , c'est la mentalité qui est comme ça !!

Le Monde a écrit:L’idée est détonante. Pour ne pas dire provocatrice. Mercredi 11 octobre, France Stratégie, l’organe de réflexion rattaché à Matignon, a publié une note dont certaines propositions, au cœur du débat sur la suppression de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF), en étonneront quelques-uns du côté de Bercy.
Intitulée « Comment assurer la résorption des dettes publiques en zone euro ? », elle évoque plusieurs pistes, que ses auteurs définissent volontiers comme polémiques. « Certains iront jusqu’à les qualifier de dangereuses », écrivent-ils. En particulier, celle-ci : « Permettre à un Etat excessivement endetté de décréter qu’il devient copropriétaire de tous les terrains construits résidentiels. » Et ce, à hauteur d’une fraction limitée de leur valeur.
Radical
Plutôt radical ! Les auteurs, Vincent Aussilloux, Marie Cases, Christophe Gouardo, économistes, et Fabrice Lenglart, commissaire général adjoint de l’institution, posent le constat suivant : les Etats de la zone euro sont encore très endettés. Le redressement de leurs finances publiques prendra des années, pendant lesquelles ils devront, en outre, renforcer l’architecture de la zone euro. « En cas de choc, il pourrait être nécessaire de sécuriser le désendettement public », explique M. Lenglart. Et ce, afin d’éviter une nouvelle crise de panique sur les dettes souveraines, comme en 2012. Comment ?
Les économistes détaillent trois pistes : la solidarité entre Etats membres, le soutien de la Banque centrale européenne et la taxation du patrimoine immobilier. « En France, la dette publique est passée de 56 % à 100 % du produit intérieur brut [PIB] depuis les années 1990, tandis que le patrimoine net immobilier des ménages, lui, est passé de 125 % à 255 % du PIB », détaillent-ils.
« Un spectre de solutions large »
Lire aussi : Macron contre la rente foncière ? Pas si sûr…
Pour prouver à ses créanciers que sa dette est soutenable, l’Etat concerné pourrait, dès lors, devenir copropriétaire d’une partie des terrains résidentiels. En échange, les propriétaires privés lui verseraient l’équivalent d’une rente annuelle. S’ils ne veulent pas la payer, l’Etat récupérerait la somme due lors de la vente ou de la transmission du bien. L’équivalent, en somme, d’un nouvel impôt sur le capital immobilier résidentiel ou d’une hausse des droits de transmission.
Avantage : la mesure toucherait davantage les foyers les plus fortunés. En outre, l’icidence sur la consommation des ménages – et, donc, sur la croissance –, serait limité. Enfin, la mesure serait moins douloureuse que les cures d’austérité classiques… « Bien sûr, cette proposition, comme les deux autres, soulève de nombreuses difficultés juridiques et politiques, admet M. Lenglart. Mais elle a le mérite d’illustrer que le spectre des solutions envisageables pour sécuriser le désendettement en cas de choc d’envergure est large, bien qu’aucune ne soit sans douleur. »

B1 bis a écrit:vu sur le canard en Sarthe vallée du loir ! fermeture et 74 licenciements dans une entreprise de mécanisme de meubles .
macron est devant les caméras tous les jours    , mais jamais au bon endroit .

fergie62 a écrit:

B1 bis a écrit:vu sur le canard en Sarthe vallée du loir ! fermeture et 74 licenciements dans une entreprise de mécanisme de meubles .
macron est devant les caméras tous les jours    , mais jamais au bon endroit .

74 c est une paille dans l océan de faillite et non reprises des entreprises françaises,

dgé a écrit:valeo -800, les 2 accelormitales, et tous les plans, et je vous parie que le chômage ne montera qu'un peu, tant qu'ils peuvent, tant qu'ils sont au pouvoir, ils nous mèneront à la cata

dgé a écrit:il y a toujours plus cata que cata, on le voit actuellement

fergie62 a écrit:

dgé a écrit:il y a toujours plus cata que cata, on le voit actuellement

non quand la chute va se produire tu n auras meme plus l impression d etre dans la cata..... et ça risque d arriver tres vite 

dgé a écrit:ce sera toujours la cata

jfk311 a écrit:en reprenant le terme de pato
"la réalité est occultée chaque jour un peu plus , mais on aura des réveils difficiles"

ça nous pends au nez    

EtienneCH4 a écrit:

jfk311 a écrit:en reprenant le terme de pato
"la réalité est occultée chaque jour un peu plus , mais on aura des réveils difficiles"

ça nous pends au nez    

et maintenant, on y est jusqu'au cou, et cependant c'etait prévisible mais personne n'a levé le petit doigt,

cricky16 a écrit:En France, le travail n'est pas rémunéré... encore moins pour celui qui entreprend...
Ils ont créer un pays de feignasse.
Quand on " s'expatrie "... on rencontre beaucoup de monde... c'est hallucinant le nombre de chef d'entreprise de 50 ans ou moins, qui bazarde tout pour se barrer de ce pays de tarés!

B1 bis a écrit:nous empruntons a des taux plus élevés que la Gréce !

ADBLUE a écrit:ArcelorMittal, Valéo, Aerospace à Reims ça ferme ou ça dégraisse

spontus a écrit:

B1 bis a écrit:nous empruntons a des taux plus élevés que la Gréce !

Mais pourquoi la France est-elle en permanence obligée d'emprunter, personne ne se pose la question ?

nonord a écrit:

spontus a écrit:

B1 bis a écrit:nous empruntons a des taux plus élevés que la Gréce !

Mais pourquoi la France est-elle en permanence obligée d'emprunter, personne ne se pose la question ?

eh oui.... quand t'as plus un rond c'est les 2 pieds sur le frein.....
personne ne veut freiner le trop de social(ah oui, faut augmenter taxes et impôts..) on ne s'en sortira pas
aucune volonté politique pour que ça change...

spontus a écrit:

B1 bis a écrit:nous empruntons a des taux plus élevés que la Gréce !

Mais pourquoi la France est-elle en permanence obligée d'emprunter, personne ne se pose la question ?

Tractonic 007 a écrit:

ADBLUE a écrit:ArcelorMittal, Valéo, Aerospace à Reims ça ferme ou ça dégraisse

Je crois que l'huile est au mini le buzzer crit ,le stop est ecarlate,a la moindre orniere

nonord a écrit:

spontus a écrit:

B1 bis a écrit:nous empruntons a des taux plus élevés que la Gréce !

Mais pourquoi la France est-elle en permanence obligée d'emprunter, personne ne se pose la question ?

eh oui.... quand t'as plus un rond c'est les 2 pieds sur le frein.....
personne ne veut freiner le trop de social(ah oui, faut augmenter taxes et impôts..) on ne s'en sortira pas
aucune volonté politique pour que ça change...

EtienneCH4 a écrit:

Tractonic 007 a écrit:

ADBLUE a écrit:ArcelorMittal, Valéo, Aerospace à Reims ça ferme ou ça dégraisse

Je crois que l'huile est au mini le buzzer crit ,le stop est ecarlate,a la moindre orniere

encore une connerie et la france des pauvres va exploser, le pouvoir arrivera dans les mains des anarchisrtes,

Invité a écrit:

Le Monde a écrit:L’idée est détonante. Pour ne pas dire provocatrice. Mercredi 11 octobre, France Stratégie, l’organe de réflexion rattaché à Matignon, a publié une note dont certaines propositions, au cœur du débat sur la suppression de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF), en étonneront quelques-uns du côté de Bercy.
Intitulée « Comment assurer la résorption des dettes publiques en zone euro ? », elle évoque plusieurs pistes, que ses auteurs définissent volontiers comme polémiques. « Certains iront jusqu’à les qualifier de dangereuses », écrivent-ils. En particulier, celle-ci : « Permettre à un Etat excessivement endetté de décréter qu’il devient copropriétaire de tous les terrains construits résidentiels. » Et ce, à hauteur d’une fraction limitée de leur valeur.
Radical
Plutôt radical ! Les auteurs, Vincent Aussilloux, Marie Cases, Christophe Gouardo, économistes, et Fabrice Lenglart, commissaire général adjoint de l’institution, posent le constat suivant : les Etats de la zone euro sont encore très endettés. Le redressement de leurs finances publiques prendra des années, pendant lesquelles ils devront, en outre, renforcer l’architecture de la zone euro. « En cas de choc, il pourrait être nécessaire de sécuriser le désendettement public », explique M. Lenglart. Et ce, afin d’éviter une nouvelle crise de panique sur les dettes souveraines, comme en 2012. Comment ?
Les économistes détaillent trois pistes : la solidarité entre Etats membres, le soutien de la Banque centrale européenne et la taxation du patrimoine immobilier. « En France, la dette publique est passée de 56 % à 100 % du produit intérieur brut [PIB] depuis les années 1990, tandis que le patrimoine net immobilier des ménages, lui, est passé de 125 % à 255 % du PIB », détaillent-ils.
« Un spectre de solutions large »
Lire aussi :   Macron contre la rente foncière ? Pas si sûr…
Pour prouver à ses créanciers que sa dette est soutenable, l’Etat concerné pourrait, dès lors, devenir copropriétaire d’une partie des terrains résidentiels. En échange, les propriétaires privés lui verseraient l’équivalent d’une rente annuelle. S’ils ne veulent pas la payer, l’Etat récupérerait la somme due lors de la vente ou de la transmission du bien. L’équivalent, en somme, d’un nouvel impôt sur le capital immobilier résidentiel ou d’une hausse des droits de transmission.
Avantage : la mesure toucherait davantage les foyers les plus fortunés. En outre, l’icidence sur la consommation des ménages – et, donc, sur la croissance –, serait limité. Enfin, la mesure serait moins douloureuse que les cures d’austérité classiques… « Bien sûr, cette proposition, comme les deux autres, soulève de nombreuses difficultés juridiques et politiques, admet M. Lenglart. Mais elle a le mérite d’illustrer que le spectre des solutions envisageables pour sécuriser le désendettement en cas de choc d’envergure est large, bien qu’aucune ne soit sans douleur. »

daniel89 a écrit:

Invité a écrit:

Le Monde a écrit:L’idée est détonante. Pour ne pas dire provocatrice. Mercredi 11 octobre, France Stratégie, l’organe de réflexion rattaché à Matignon, a publié une note dont certaines propositions, au cœur du débat sur la suppression de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF), en étonneront quelques-uns du côté de Bercy.
Intitulée « Comment assurer la résorption des dettes publiques en zone euro ? », elle évoque plusieurs pistes, que ses auteurs définissent volontiers comme polémiques. « Certains iront jusqu’à les qualifier de dangereuses », écrivent-ils. En particulier, celle-ci : « Permettre à un Etat excessivement endetté de décréter qu’il devient copropriétaire de tous les terrains construits résidentiels. » Et ce, à hauteur d’une fraction limitée de leur valeur.
Radical
Plutôt radical ! Les auteurs, Vincent Aussilloux, Marie Cases, Christophe Gouardo, économistes, et Fabrice Lenglart, commissaire général adjoint de l’institution, posent le constat suivant : les Etats de la zone euro sont encore très endettés. Le redressement de leurs finances publiques prendra des années, pendant lesquelles ils devront, en outre, renforcer l’architecture de la zone euro. « En cas de choc, il pourrait être nécessaire de sécuriser le désendettement public », explique M. Lenglart. Et ce, afin d’éviter une nouvelle crise de panique sur les dettes souveraines, comme en 2012. Comment ?
Les économistes détaillent trois pistes : la solidarité entre Etats membres, le soutien de la Banque centrale européenne et la taxation du patrimoine immobilier. « En France, la dette publique est passée de 56 % à 100 % du produit intérieur brut [PIB] depuis les années 1990, tandis que le patrimoine net immobilier des ménages, lui, est passé de 125 % à 255 % du PIB », détaillent-ils.
« Un spectre de solutions large »
Lire aussi :   Macron contre la rente foncière ? Pas si sûr…
Pour prouver à ses créanciers que sa dette est soutenable, l’Etat concerné pourrait, dès lors, devenir copropriétaire d’une partie des terrains résidentiels. En échange, les propriétaires privés lui verseraient l’équivalent d’une rente annuelle. S’ils ne veulent pas la payer, l’Etat récupérerait la somme due lors de la vente ou de la transmission du bien. L’équivalent, en somme, d’un nouvel impôt sur le capital immobilier résidentiel ou d’une hausse des droits de transmission.
Avantage : la mesure toucherait davantage les foyers les plus fortunés. En outre, l’icidence sur la consommation des ménages – et, donc, sur la croissance –, serait limité. Enfin, la mesure serait moins douloureuse que les cures d’austérité classiques… « Bien sûr, cette proposition, comme les deux autres, soulève de nombreuses difficultés juridiques et politiques, admet M. Lenglart. Mais elle a le mérite d’illustrer que le spectre des solutions envisageables pour sécuriser le désendettement en cas de choc d’envergure est large, bien qu’aucune ne soit sans douleur. »

Pour régler le problème de l'endettement massif de la France, il suffirait de voler les Français d'une partie de ce quils ont mis tant de temps  à acquérir au prix de sacrifices conséquents?? 
Quelle belle et astucieuse idée. Je serais d'accord à une seule condition que tous ceux qui nous ont mis dans ce pétrin et sont encore vivants soient entièrement spoliés  (c'est comme ça que ça s'appelle, non?) de la totalité de leurs biens saisis par l'état.
Et non seulement l'état nous vole une partie de notre propriété mais en plus il nous fait payer la location de ce qu'il nous a volé.
Et tous les travailleurs qui toute leur vie ont économisé pour acquérir et rénover des bien immobiliers afin de s'assurer une retraite suffisante pour vivre décemment se verrait amputer de la location qu'il devrait payer à l'état.

J'ai beau reconnaitre que si nous sommes dans ce pétrin c'est  de ma (notre) faute car nous avons jamais, en tant qu'électeurs, été foutus d'empêcher les branquignols que nous avons élus de nous mener à cette catastrophe, j'ai du mal à avaler la pilule.

Comme citoyens allons nous finir par comprendre qu'il ne suffit pas d'élire les politichiens qui nous sollicitent et nous promettent régulièrement la lune, sans jamais en décrocher le moindre quartier et les laisser ensuite vaquer tranquillement à leurs petites affaires sans trop se préoccuper des nôtres. Sera t'il possible un jour de mettre en place un système de comparaisons :promesses/ réalisations et de laisser au tapis ceux qui n'on rien réalisé?? On peu rêver hein!!!

fergie62 a écrit:Les agences de notations ont rendu la note.....AA-  ça équivaut a un 17/20 apparemment a mon avis cette note reflète surtout la capacité d épargne des français qu on risque de nous piquer

Biketman du 47 a écrit:

fergie62 a écrit:Les agences de notations ont rendu la note.....AA-  ça équivaut a un 17/20 apparemment a mon avis cette note reflète surtout la capacité d épargne des français qu on risque de nous piquer

Ca reflète surtout que tout est un grand business et que les agences de notation c'est du pipeau et les marchés ne s'y trompent pas on emprunte plus cher que la Grèce 
Imaginez la note de la Biélorussie avec l'endettement de la France