Les vignes de mon pays

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connaissant le travail, je suis admiratif quand on voit les galets qu'il y a.... c'est un brise vertèbres!

un brise-vertèbres pour qui ?

Sazaron a écrit:un brise-vertèbres pour qui ?

pour celui qui conduit le tracteur.

il n'y a pas de terre ,vous plantez sur un tas de cailloux ?

papy48 a écrit:il n'y a pas de terre ,vous plantez sur un tas de cailloux ?

les cailloux sont seulement en surface, dessous ce sont des alluvions, et tout le monde sait que les cailloux ça remonte,
une vigne a des racines jusqu'à 10 m de profondeur pour aller chercher l'eau,
l plus dur c'est pas les gallets, c'est le shiste calcaire, faut planter les vignes au marteau piqueur, idem pour les piquets de palissage

papy48 a écrit:il n'y a pas de terre ,vous plantez sur un tas de cailloux ?

Et oui PAPY. Pour planter les plants il faut m'être deux ou trois seaux de terre à chaque plant pour qu'il s'enracine. Et arroser plusieurs fois dans les mois qui suivent.

Les tracteurs pour travailler dans les cailloux.



Moi j'avais un 445 Fiat à chenille
Mon fis à un 555 Fiat à chenille .

Quel est le meilleur producteur ?

DEMONFAUCON a écrit:Quel est le meilleur producteur ?

J'ai en stock des millésimes Henri Bonneau 98/99/2001/2003/2005/2010/2011/2014/2015, très bons et de bonne garde.
Je pense qu'il doit y avoir chez 2 ou 3 autres producteurs de bonnes choses aussi

DEMONFAUCON a écrit:Quel est le meilleur producteur ?

Il à pas mal de bon producteur. Seulement il faut les connaîtres. Voir la suite.

Pinocio !!! Je vois que tu est un amateur de très bons vins.

La cave Henri Bonneau. Attention la le vin c'est pas de la bibine
le prix non plus. 70 à 1000 la Bouteille.  Henri Bonneau est décédé. Le petit fils
à repris l'exploitation 

Je vous met les caves de ma connaissance et amis.

Domaine André Mathieu. Châteauneuf du Pape. Très bon vin. à déguster



Cave Lucien Barrot. Très bon vin. à déguster. Monsieur et Madame Barrot



Cave Roger Perrin. Très bon vin à déguster. Madame Perrin à droite à gauche sa fille et sont fils
Qui à repris l'exploitation.



Nathalie et Patrick Fabre. Très bon vin à déguster


 

Domaine de Ferrand. Très bon vin à déguster . Philippe et Mireille Bravay



Domaine Charvin. Très bon vin à déguster

et chateau Maucoil ,ça vaut quoi ?

tout est chateauneuf du pape mugeaud

je cherche une bonne adresse en Saint Joseph ...

mugeaud a écrit:

102 eme d infanterie a écrit:tout est chateauneuf du pape mugeaud

Bonsoir 102 eme . Tout les domaines que j'ai cité ont du chateauneuf du Pape et du côte du Rhône village.

merci

iris a écrit:je cherche une bonne adresse en Saint Joseph ...

Le seul que je connaisse sur chateauneuf qui ont du Saint-Joseph est le grand domaine Chapoutier
producteur négociant.

Merci Mugeaud !

j' achéte du vin de collioure à un commercial qui passe chez moi , il me vend aussi un blanc de schiste pas mal …  ça doit pousser dans le méme gueret que ceux du chateauneuf …..    ça a la peau dure , la vigne !

pour le plaisir de partager les bonnes choses,
Vive le vin, vive le vin d’hiver !

• Georges Michel  
  
•   31 décembre 2024  
  
•    Articles, Agriculture  
  
•    alcool  
  

 


Cet article vous avait peut-être échappé. Nous vous proposons de le lire ou de le relire.
Cet article a été publié le 27/12/2018.
On boit de moins en moins de vin, en France, dit-on. Pourtant, le vin n'a sans doute jamais été aussi bon, en France. Et, si l'on en croit Santé publique France, depuis trente ans, on constate une baisse importante de la consommation quotidienne d’alcool déclarée quotidienne. Et c'est tant mieux. En revanche, signalons que les alcoolisations ponctuelles importantes (API), que l'on pourrait appeler « bitures » pour être plus clair, ont tendance à augmenter chez les femmes de plus de 35 ans, quand elles ont tendance à baisser chez les hommes jeunes. Le croisement des courbes. Cela dit, boire moins mais boire mieux passe par la recherche de l'excellence à des moments privilégiés. Par exemple, un muscat de Beaumes-de-Venise dégusté avec un foie gras, autour de la table si bien parée, relève de la défense de notre civilisation !
Ce muscat, donc, depuis une vingtaine d’années peut-être, nous l’achetons dans une propriété où, aujourd’hui, c’est la cinquième génération qui travaille la même terre. Des vignerons de bonne souche. Au fait, où se situe Beaumes-de-Venise ? Dans le Comtat Venaissin, au pied des Dentelles de Montmirail (rien à voir avec cousin Hubert), non loin du mont Ventoux. La vigne, sur ce petit morceau de terre et sous ce ciel, tous deux semblant venus d’Italie (le rattachement à la France ne date que de 1791), devait être cultivée déjà au temps des Romains.

À ce sujet — [VIVE LA FRANCE] L’art des belles tables : tellement français !
Alors, lorsqu'on boit un peu, avec modération (cela va sans dire), un verre de muscat, on ne se contente pas de s’abreuver, de se désoiffer, de s’alcooliser. On boit, donc on pense. On pense à ces successions de générations laborieuses qui ont planté, travaillé, taillé, récolté, greffé, amélioré la vigne. Il y a cent cinquante ans, on était encore pauvre, dans ce coin-là. Afin de compléter ses revenus, on élevait le ver à soie pour les tisseurs lyonnais et lorsqu’on avait gagné trois sous, on achetait quelques ares de terre en plus, histoire d’arrondir le domaine. Arrondir le domaine, l’agrandir pour le transmettre un jour : une manie de nos paysans français que ne peuvent comprendre ceux qui veulent « taxer la rente ». Boire ce vin, c’est donc, aussi, honorer ces vignerons de patience, ceux qui voient la vigne par la racine et ceux qui se débattent aujourd’hui contre les règles, les règlements, les charges plus lourdes que les hottes de vendange.
Et puis, lorsqu’on déguste le nectar, on comprend mieux la phrase inscrite sur l’étiquette de la dive bouteille : « Que ben beura Dieu veira. » C’est du provençal. Cela ne veut pas dire « Qui est bien beurré verra Dieu » mais « Qui boit bien verra Dieu ». Nuance. En première approche, on pourrait croire qu’il s’agit d’une invitation à boire pour atteindre l’extase. Cela dit... Non, il s’agit d’un toast provençal qui remonterait au roi René, au temps où l’on buvait dans des coupes dont le fond était orné d’une scène tirée, non pas du tonneau, mais de l’histoire sainte. Des scènes qui n'ont rien à voir avec celles, plus lestes, que l'on découvre au fond d'un bol de saké. Boire du vin, c’est donc aussi s'associer à cette liturgie où officient pontificalement le soleil, la terre, l'eau et... un peu les hommes. La religion chrétienne ne s’y est d’ailleurs pas trompée. Les papes de Rome et d'Avignon ne buvaient pas de la piquette !
Nous sommes nombreux à avoir, ainsi, « notre petit producteur ». Que ce soit autour de la ville de Beaune en Bourgogne, « là où les bons vins sont », en Touraine, entre Chinon et Bourgueil, terre rabelaisienne. Mais aussi, évidemment, dans le Bordelais où les Anglais, fins connaisseurs, font leurs emplettes depuis le Moyen Âge. Montaigne, qui fut maire de Bordeaux, avait son idée sur la chose : « Je ne bois que du désir qui m’en vient en mangeant, et bien avant dans le repas. Je bois assez bien pour un homme de commune façon : en été et en un repas appétissant, je n’outrepasse point seulement les limites d’Auguste, qui ne buvait que trois fois précisément… » Et tant d’autres régions, encore, qui forment une guirlande joyeuse à travers la France... Vive le vin !

Quel plaisir de te lire   

      :205:Le vin est la plus saine et la plus
                                               hygiénique des boissons
                                                      PASTEUR.

on avait une de leurs bouteilles sur notre table ce midi...
on s'est régalé.
Et un St Joseph septentrio, extra lui-aussi.
Et la clairette de Die avec la bûche...