esclavage moderne

La Vendée Agricole

09/03/12
Vendée - Actualités générales
Cavac : S’installer en porc aujourd’hui, un pari osé

Les jeunes qui choisissent la production porcine se comptent sur les doigts d’une main à la Cavac. Pour les attirer, le groupement porc de la coopérative leur propose un contrat avec des prix garantis. Reportage à Soullans.

S’installer quand on n’est pas du sérail, que l’on ne dispose d’autofinancement et dans une production ou les prix peuvent plonger du jour au lendemain, ce n’est pas vraiment un bon profil pour un banquier. Il faut donc en face une force de caractère, de ténacité et d’argumentation et le soutien d’un groupement pour se lancer.

De la conviction et de la passion, Jean-Christophe Ragouin n’en manque pas. Dès son Bepa en maison familiale à Benay-en-Champagne dans la Sarthe d’où il est originaire, il rêve de s’installer. A 16 ans, son choix est fait. Ce sera la production porcine. Il décide de réaliser un bac pro « production animale » avec option porc à l’Ireo des Herbiers. «Dans la région, c’était le seul établissement à proposer cette option ». Les stages dans des élevages porcins qu’il réalise au cours de sa formation en Vendée vont lui permettre de mettre le pied à l’étrier. En 2010, le hasard fait bien les choses. Les deux associés du Gaec Borgnières à Soullans, une exploitation avec 150 truies et 2800 porcs charcutiers, où il a été stagiaire, souhaitent céder. «C’était une opportunité à saisir. Les bâtiments étaient aux normes bien-être. J’ai décidé de réaliser mon stage de parrainage dans cette exploitation.»

Feu vert des banques

Avant de trouver un accord sur le prix de la reprise, Jean-Christophe a dû négocier avec les associés. «La banque m’a aidé à faire descendre son montant » reconnaît le jeune agriculteur. Mais c’est surtout l’aide du groupement porc de la Cavac qui a pesé dans la balance. «Le groupement nous garantit pendant 8 ans un prix plancher indexé sur les coûts de production. Sans ce dispositif, je ne me serais pas installé » estime Jean-Christophe. Au final, le coût de son installation se chiffre à 280 000 € qu’il a financé avec des prêts de la banque, du groupement et la dotation jeunes agriculteurs.

Six mois ont passé depuis qu’il a revêtu sa cote de jeune installé et Jean-Christophe ne cache pas son bonheur. Sa femme Aurélie, l’a rejoint depuis janvier comme salariée à mi-temps. «Notre objectif est de bien vivre de cette production avec un prélèvement mensuel de 1800 € pour moi et ma femme à mi- temps» Pour y parvenir, les deux jeunes s’appuient sur un logiciel de gestion du troupeau et les visites et conseils d’un technicien du groupement Cavac. » Techniquement, si nous ne sommes pas bons, on ne s’en sortira pas.» Dans les postes qu’il compte surveiller de près, il met en priorité, le % de fertilité et de fécondation, les indices de consommation et le nombre de pertes. Dans ses objectifs, il prévoit de passer de 7 bandes à 4 bandes par an. «Cela nous donnera un peu plus de souplesse pour souffler et profiter de notre premier enfant, Enzo, âgé de 5 mois. »

Plan de relance de la Cavac : 11 dossiers depuis 2002

Le groupement porc a lancé son plan de relance en 2002. Parmi les 11 dossiers traités, il compte six reprises, 2 créations et 3 extensions. «Nous garantissons un prix plancher pendant 8 ans qui prend en compte les charges de production dont 60 % représentées par le coût alimentaire. L’amortissement des bâtiments et les charges opérationnelles sont également prises en compte » explique Stéphane Pierre-François, directeur du groupement. «Le prix est défini en fonction du coût de production et selon un prix plafond et plancher lié au prix de l’aliment. » En 2008, au plus fort de la crise le groupement a versé jusqu’à 25 centimes d’euros par kilo aux éleveurs sous contrat. Sur 5 ans, le complément moyen de prix est de 7 centimes, soit un prix moyen garanti de 1,26 € par kilo. Ce prix n’intègre pas la plus-value « qualité de carcasse » de 12 centimes et de 2 centimes liée à VPF qui donne un prix payé de 1,40 €. Si le prix du cadran devenait supérieur au prix plafond, l’éleveur serait amené à rembourser la différence. «Notre objectif est d’assurer une installation par an » souligne Stéphane Pierre-François.

ca peut s'appeler egalement ,formaliser la mediocrité economique !!
ou ,je donne de la main droite mais je reprends de la gauche!!

hermine"formaliser la mediocrité economique !!
ou ,je donne de la main droite mais je reprends de la gauche!!"

je comprends pas trop là ????????????

massey8210 a écrit:hermine"formaliser la mediocrité economique !!
ou ,je donne de la main droite mais je reprends de la gauche!!"

je comprends pas trop là ????????????

dans certaines production ,la renumeration en contrat permet tout juste de repartir pour l'année suivante !!!
ca ne laisse pas de grosse marge et c'est bien ecrit dans le contrat !!il faut decoder un peu quand meme
d'ou mon expression formaliser !!

que proposez alors au JA pour "securiser" leur avenir quand il faut mettre 4 a 600 000 euros sur la table pour s'installer en porcs??????????? c'est pas leur niveau de prelevement 1800 mensuel dans le cas cité en plus ou en moins qui va faire la difference ( 21600 +- sur 400 000 e de CA)

en porcs on veut rester attaché a la sacro-sainte "liberté" que non pas soi-disant d'autres production......????????? liberté de quoi?

vaut il mieux avoir un contrat sur 8 ans +- securiser et etre "attaché" a un goupement OU etre libre d'avoir une OCCC au max ou des dettes coops au plus profonds de la crise, qui des 2 est le plus attachés???????

pascal a a écrit:La Vendée Agricole

09/03/12
Vendée - Actualités générales
Cavac : S’installer en porc aujourd’hui, un pari osé

Les jeunes qui choisissent la production porcine se comptent sur les doigts d’une main à la Cavac. Pour les attirer, le groupement porc de la coopérative leur propose un contrat avec des prix garantis. Reportage à Soullans.

S’installer quand on n’est pas du sérail, que l’on ne dispose d’autofinancement et dans une production ou les prix peuvent plonger du jour au lendemain, ce n’est pas vraiment un bon profil pour un banquier. Il faut donc en face une force de caractère, de ténacité et d’argumentation et le soutien d’un groupement pour se lancer.

De la conviction et de la passion, Jean-Christophe Ragouin n’en manque pas. Dès son Bepa en maison familiale à Benay-en-Champagne dans la Sarthe d’où il est originaire, il rêve de s’installer. A 16 ans, son choix est fait. Ce sera la production porcine. Il décide de réaliser un bac pro « production animale » avec option porc à l’Ireo des Herbiers. «Dans la région, c’était le seul établissement à proposer cette option ». Les stages dans des élevages porcins qu’il réalise au cours de sa formation en Vendée vont lui permettre de mettre le pied à l’étrier. En 2010, le hasard fait bien les choses. Les deux associés du Gaec Borgnières à Soullans, une exploitation avec 150 truies et 2800 porcs charcutiers, où il a été stagiaire, souhaitent céder. «C’était une opportunité à saisir. Les bâtiments étaient aux normes bien-être. J’ai décidé de réaliser mon stage de parrainage dans cette exploitation.»

Feu vert des banques

Avant de trouver un accord sur le prix de la reprise, Jean-Christophe a dû négocier avec les associés. «La banque m’a aidé à faire descendre son montant » reconnaît le jeune agriculteur. Mais c’est surtout l’aide du groupement porc de la Cavac qui a pesé dans la balance. «Le groupement nous garantit pendant 8 ans un prix plancher indexé sur les coûts de production. Sans ce dispositif, je ne me serais pas installé » estime Jean-Christophe. Au final, le coût de son installation se chiffre à 280 000 € qu’il a financé avec des prêts de la banque, du groupement et la dotation jeunes agriculteurs.

Six mois ont passé depuis qu’il a revêtu sa cote de jeune installé et Jean-Christophe ne cache pas son bonheur. Sa femme Aurélie, l’a rejoint depuis janvier comme salariée à mi-temps. «Notre objectif est de bien vivre de cette production avec un prélèvement mensuel de 1800 € pour moi et ma femme à mi- temps» Pour y parvenir, les deux jeunes s’appuient sur un logiciel de gestion du troupeau et les visites et conseils d’un technicien du groupement Cavac. » Techniquement, si nous ne sommes pas bons, on ne s’en sortira pas.» Dans les postes qu’il compte surveiller de près, il met en priorité, le % de fertilité et de fécondation, les indices de consommation et le nombre de pertes. Dans ses objectifs, il prévoit de passer de 7 bandes à 4 bandes par an. «Cela nous donnera un peu plus de souplesse pour souffler et profiter de notre premier enfant, Enzo, âgé de 5 mois. »

Plan de relance de la Cavac : 11 dossiers depuis 2002

Le groupement porc a lancé son plan de relance en 2002. Parmi les 11 dossiers traités, il compte six reprises, 2 créations et 3 extensions. «Nous garantissons un prix plancher pendant 8 ans qui prend en compte les charges de production dont 60 % représentées par le coût alimentaire. L’amortissement des bâtiments et les charges opérationnelles sont également prises en compte » explique Stéphane Pierre-François, directeur du groupement. «Le prix est défini en fonction du coût de production et selon un prix plafond et plancher lié au prix de l’aliment. » En 2008, au plus fort de la crise le groupement a versé jusqu’à 25 centimes d’euros par kilo aux éleveurs sous contrat. Sur 5 ans, le complément moyen de prix est de 7 centimes, soit un prix moyen garanti de 1,26 € par kilo. Ce prix n’intègre pas la plus-value « qualité de carcasse » de 12 centimes et de 2 centimes liée à VPF qui donne un prix payé de 1,40 €. Si le prix du cadran devenait supérieur au prix plafond, l’éleveur serait amené à rembourser la différence. «Notre objectif est d’assurer une installation par an » souligne Stéphane Pierre-François.

Tu n'as pas mis la photo ou il est indiqué que monsieur et madame vont se serré la ceinture les premières années(le nbre d'années nest pas notée)

vous avez oublié le point esssentiel :nourrir la filiere(voir engraisser)avant de nourrir l'eleveur

"comment elever des paysans? " voir la video!

je suis surpris de vos reactions
aujourd'hui il a le choix ,soit en gros de ne pas pouvoir s'installer car les banques ne suivront pas
soit de pouvoir le faire grace à la caution du grpt et à la garantie de prix

bien sur il y a une contre partie ,il met la main à la poche si il recoit + que le prix garanti
je ne connais personne (entreprise) qui donne du pognon sans contre parti
si à la fin des 8 ans il à le choix de continuer avec ce grpt ou avec un autre ou etre "indèpendant" , je ne vois pas ou est le pb
il connait les règles avant de démarrer

MAY a écrit:je suis surpris de vos reactions
aujourd'hui il a le choix ,soit en gros de ne pas pouvoir s'installer car les banques ne suivront pas
soit de pouvoir le faire grace à la caution du grpt et à la garantie de prix

bien sur il y a une contre partie ,il met la main à la poche si il recoit + que le prix garanti
je ne connais personne (entreprise) qui donne du pognon sans contre parti
si à la fin des 8 ans il à le choix de continuer avec ce grpt ou avec un autre ou etre "indèpendant" , je ne vois pas ou est le pb
il connait les règles avant de démarrer

bien sur ,mais je reste persuadé que l'objectif des contractualisé est de voler de leurs propre aile le plus rapidement possible !!et c'est tout le bonheur que je leurs souhaite !!
le danger est de ne pas pouvoir maitriser les achats destiné au bon fonctionnement de leurs entreprise !!voir meme de ne pas avoir le choix de la vente de leurs cultures !!!
et c'est la que le système a ses limites !!
si un des partenaire aspirera a se degager d'une certaine forme d'integration ,l'autre sera tenté de le garder sous son aile !!

il y a deja beaucoup de grpts(breton) ou la liberté de choix des éleveurs est plus que reduite d'une maniere insidieuse le plus souvent

priver l'éleveur d'une marge possible en pouvant fabriquer son aliment ou simplement en choisissant son fournisseur n'est pas admissible

MAY a écrit:il y a deja beaucoup de grpts(breton) ou la liberté de choix des éleveurs est plus que reduite d'une maniere insidieuse le plus souvent

priver l'éleveur d'une marge possible en pouvant fabriquer son aliment ou simplement en choisissant son fournisseur n'est pas admissible

exact et pas seulement en porc d'ailleurs !!
si un eventuel contractualisé disait ok ,je signe mais je tiens a faire mon aliment !!
je serai curieux de connaitre la position du groupement

ce serait un mauvais calcul de lui interdire de fabriquer son aliment car il abaisserait son cout de production et donc moins de risque de compensation par le grpt
d'un autre coté cela créerait un précédent et là......!!!!

dans un contrat comme ça c'est tu nous achètent tout tes intrants et tu nous vend toute ta production

la on ne peut plus dire que l'ont n'est chef d'entreprise toute au plus ouvrier spécialisé avec tous les risques d'un entrepreneur

je suis pour installation des jeunes mais pas dans des conditions comme cela la s'est de l'esclavage

pascal a a écrit:dans un contrat comme ça c'est tu nous achètent tout tes intrants et tu nous vend toute ta production

la on ne peut plus dire que l'ont n'est chef d'entreprise toute au plus ouvrier spécialisé avec tous les risques d'un entrepreneur

je suis pour installation des jeunes mais pas dans des conditions comme cela la s'est de l'esclavage

est ce que la cavac maitrise toute la filière ?
aliments ,abattage et transformation !!

aliment, produit véto,cochettes ,bâtiments actionnaire socopa la totale quoi en plus d’être une coop polyvalente

faut des fois arreter de fantasmer sur les soi-disants gpt esclavagiste.

j'en suis a mon 3eme gpt depuis mon installation.

10 ans c....b qui m'ont mis le pied a l'etrier, je me suis installé en plein air pour commencer
12 ans p.....r car j'ai été séduit par l'approche technique pur des finistériens

et depuis 3 ans avec le geant breton C.....L car d'une quite a etre dans une filiere autant etre dans une qui a du recule ( c'etait le temps de fiancialles de mes 2 precedent gpt) et d'autre part les costarmoricains ont une approche prix de revient avant la technique pur et moi ca me va bien comme raisonnement

je vais vous raconter une anecdote: au moins j'ai gagné une chose c'est la tranquilité car je ne vois plus aucun commerciaux de la concurrence comme auparavant===> soit ils pensent que je suis passé c....l car j'ai été CONTRAINT vu que je prenais mon aliment avec eux soit ils ne se sentent pas les moyens de lutter contre eux...........:)

a vous de juger!

le philanthrope bigard a des parts dans socopa nan????????

si on veut faire la comparaison avec l'esclavage au sens strict :
- dans les deux cas le gars travaille pour pas de revenu
- dans les deux cas il n'est pas libre de sa destinée, ni d'arrêter, ni de modifier les conditions en cours de route (ce que sa majesté le marché et son altesse l'Etat font en permanence, eux)
- dans les deux cas tu es vendu par tes pairs (les esclaves noirs étaient vendus au bord des côtes aux blancs par des noirs d'autres tribus - les présidents des coop sont des agriculteurs qui d'ailleurs empilent aussi sur leur tête une casquette chambre, une FDSEA et une crédit patate)
- par contre au départ l'éleveur a le choix de rentrer ou pas dans le système. Attention donc à ce dans quoi on s'engage, les crédit qu'on signe, les contrats qu'on signe. Bref on n'est pas 100% victime, même si tout est fait pour nous coincer

heu... 1.26 de prix payé garanti pendant 8 ans + VPF 2 cts, + plus value qualité 12 cts ( ce qui est améliorable en passant) ça fait du 1.40 garanti pendant 8 ans. perso liors de mon installation il y aurait eu ça, je signais en bas tout de suite, a moi de me démerder pour que ça passe en cout de production.

il ne faut quand même pas abuser... perso je suis installé depuis 5 ans sur un élevage du même type.
déjà 2800 porcs produits avec 150 truies, c'est pas terrible, ça fait 18.5/truie présente -> potentiel d'amelioration en augmentant la productivité, pour rappel, une truie de moins par bande, c'est pas mal d’économie de charges, faites le calcul chez vous, vous aller tomber sur le cul.
ensuite 12 cts de pv qualité moyenne, c'est aussi améliorable.
2800 pc c'est environ 250 .000 kg, 1 ct de PV c'est 2500 euros. ça vaut le coup de passer un peu de temps a trier.

quand on s'engage pour huit ans on sait ou on mets les pieds...

si on regarde l'historique:
2010 prix du kg vendu => 1.14 (prix mpb) +2cts +12 cts ça fait du 1.28 si on touches 1.40
ça fait 12 cts sur 250000 kg = 30000 euros de trésorerie en plus.
2011 prix du kg vendu => 1.31 (prix moyen mpb) + 2 + 12 cts ça fait du 1.45 si on rends les 5 cts de plus ça fait 12500 euros à rendre. sur 2 ans ça reste rentable.

amusez vous à le faire sur les 8 dernières années et regardez dans quel sens est la balance... parce que le discours qui consiste à dire:" t'inquiète, continues, dans 6 mois le cours sera à deuzeuros!" comme on a pu l'entendre il y a 3 ans c'est pas beaucoup mieux. et: " t'as un souci pour payer l'aliment? bouges pas on va s'arranger avce l'ouverture de credit, mais faut mettre tes cochons chez nous hein"... quoiqu'on fasse on est un peu marié au groupement de tte façons...

le principe du contrat me semble économiquement plus "sain" que ce qui a pu se passer dans certains groupement bretons pendant la crise...

PS: cours moyens MPB depuis 8 ans:
2004 1,127
2005 1,159
2006 1,226
2007 1,120
2008 1,265
2009 1,149
2010 1,143
2011 1,309

conclusion de l'histoire, sur les 8 dernières années il aurait fallu rendre de l'argent en 2008 (pas beaucoup) et en 2011...

Jul.C a écrit:heu... 1.26 de prix payé garanti pendant 8 ans + VPF 2 cts, + plus value qualité 12 cts ( ce qui est améliorable en passant) ça fait du 1.40 garanti pendant 8 ans. perso liors de mon installation il y aurait eu ça, je signais en bas tout de suite, a moi de me démerder pour que ça passe en cout de production.

il ne faut quand même pas abuser... perso je suis installé depuis 5 ans sur un élevage du même type.
déjà 2800 porcs produits avec 150 truies, c'est pas terrible, ça fait 18.5/truie présente -> potentiel d'amelioration en augmentant la productivité, pour rappel, une truie de moins par bande, c'est pas mal d’économie de charges, faites le calcul chez vous, vous aller tomber sur le cul.
ensuite 12 cts de pv qualité moyenne, c'est aussi améliorable.
2800 pc c'est environ 250 .000 kg, 1 ct de PV c'est 2500 euros. ça vaut le coup de passer un peu de temps a trier.

quand on s'engage pour huit ans on sait ou on mets les pieds...

si on regarde l'historique:
2010 prix du kg vendu => 1.14 (prix mpb) +2cts +12 cts ça fait du 1.28 si on touches 1.40
ça fait 12 cts sur 250000 kg = 30000 euros de trésorerie en plus.
2011 prix du kg vendu => 1.31 (prix moyen mpb) + 2 + 12 cts ça fait du 1.45 si on rends les 5 cts de plus ça fait 12500 euros à rendre. sur 2 ans ça reste rentable.

amusez vous à le faire sur les 8 dernières années et regardez dans quel sens est la balance... parce que le discours qui consiste à dire:" t'inquiète, continues, dans 6 mois le cours sera à deuzeuros!" comme on a pu l'entendre il y a 3 ans c'est pas beaucoup mieux. et: " t'as un souci pour payer l'aliment? bouges pas on va s'arranger avce l'ouverture de credit, mais faut mettre tes cochons chez nous hein"...

le principe du contrat me semble économiquement plus "sain" que ce qui a pu se passer dans certains groupement bretons pendant la crise...

vendre 18,5 / truie n'est pas très élevé !! c'est un problème sanitaire ,technique ( bat ,conduite de l'élevage ) , génétique ou l' humain (mo ) ??????????

désolé j'ai edité pendant ta réponse, pour préciser un peu...

vendre 18,5 / truie n'est pas très élevé !! c'est un problème sanitaire ,technique ( bat ,conduite de l'élevage ) , génétique ou l' humain (mo ) ??????????

ou tout ça à la fois, c'est là qu'il faut faire son boulot d’éleveur pour s’améliorer, il y a quand même moyen de faire mieux que 18.5 non?