Un responsable de la CNIL espionne les Parisiens

par Invité 16/3/2015, 19:22

survol de drone
Il fallait le faire ! : rr

par **GRUMPY** 16/3/2015, 19:31

westvar a écrit:survol de drone
Il fallait le faire !

Je ne crois pas que ton titre soit adapté.
Il s'agit plutôt d'un responsable de la CNIL, qui agit pour son compte.
Ces gens là défendent tellement les libertés (surtout les leurs), qu'ils ne savent même plus ou se situent les limites.

par Invité 16/3/2015, 19:37

GRUMPY a écrit:
westvar a écrit:survol de drone
Il fallait le faire !

Je ne crois pas que ton titre soit adapté.
Il s'agit plutôt d'un responsable de la CNIL, qui agit pour son compte.
Ces gens là défendent tellement les libertés (surtout les leurs), qu'ils ne savent même plus ou se situent les limites.

Tu as raison je vais changer.

par **GRUMPY** 16/3/2015, 19:41

westvar a écrit:
GRUMPY a écrit:
westvar a écrit:survol de drone
Il fallait le faire !

Je ne crois pas que ton titre soit adapté.
Il s'agit plutôt d'un responsable de la CNIL, qui agit pour son compte.
Ces gens là défendent tellement les libertés (surtout les leurs), qu'ils ne savent même plus ou se situent les limites.
Tu as raison je vais changer.

par **PatogaZ** 16/3/2015, 19:44

j' espère que la justice fera un exemple , quand on défend les libertés on s' arrête à la limite de celle des autres

par **PatogaZ** 16/3/2015, 19:44

j' espère que la justice fera un exemple , quand on défend les libertés on s' arrête à la limite de celle des autres

par **palmito** 16/3/2015, 19:53

il a espionné qui et quoi ? la pelouse ? il comptait les vers de terre pour faire un rapport ?

par **hermine 22** 16/3/2015, 19:58

palmito a écrit:il a espionné qui et quoi ? la pelouse ? il comptait les vers de terre pour faire un rapport ?

bonne question ?
que peut t'on trouver de bien ou de mal en se servant d'un drone sur paris ? :réfléchi

par **palmito** 16/3/2015, 20:08

le fait d'outrepasser l'interdiction de survoler une zone habité n'entraine pas de facto un fait d’espionnage ....

espionnage dont il est nullement fait état dans l'article du lien, c'est pour ca que je ne comprend pas le titre accusatoire qui en fait ne repose sur rien ...

par **EtienneCH4** 6/10/2022, 13:15

PatogaZ a écrit:j' espère que la justice fera un exemple , quand on défend les libertés on s' arrête à la limite de celle des autres

voici comment le groupe accor (novotel et connexes) s'est fait remettre en place par la cnil,

Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL)

Sanction pécuniaire de 600 000 euros à l’encontre de la société Accor

Par une décision du 3 août 2022, la formation restreinte de la CNIL sanctionne la société Accor en raison de manquements aux règles relatives au traitement de données personnelles à des fins de prospection commerciale.

La formation restreinte retient notamment que, lorsqu’une personne réservait une chambre d’hôtel directement auprès du personnel d’un hôtel d’une des marques hôtelières du groupe Accor ou sur le site d’une des marques hôtelières du groupe, elle était rendue destinataire des courriels de la société contenant une newsletter, la case relative au consentement à recevoir la newsletter étant pré-cochée par défaut. De même, lors de la création d’un « espace client », la société ne recueillait pas le consentement des personnes pour le traitement de leurs données à caractère personnel à des fins de prospection commerciale par courriers électroniques.

La formation restreinte considère également que la société Accor a méconnu plusieurs règles du règlement général sur la protection des données (RGPD) relatives notamment à ses obligations de transparence, de respect des droits d’accès et d’opposition des personnes à leurs données personnelles, ainsi qu’à son obligation d’assurer la sécurité des données personnelles

La formation restreinte relève que la société s’est mise en conformité avec l’ensemble des manquements relevés. Elle prononce une sanction pécuniaire d’un montant total de 600 000 euros et ordonne la publication de sa décision de sanction sur le site de la CNIL et sur le site de Légifrance pour une durée de deux ans, au regard de la pluralité des manquements relevés, de leur gravité et du nombre de personnes concernées.

Consulter la décision SAN-2022-017 du 03 août 2022

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