l'affaire des steacks polonais refait surface

l'état francais avait bien fait de demander l'ouverture d'une enquête
il va le regretter https://www.capital.fr/economie-politique/steaks-haches-frauduleux-la-defaillance-de-letat-epinglee-1345706

et après ils nous vantent les contrôles qu il va y avoir au CETA

+1    ils  ne  peuvent pas  contrôler  tous  les  camions ou  tous  les  containers  !

d'abord, il faudrait que leurs écoles d'administration puissent former des élèves ayant envie de travailler, et pas seulement de pantoufler en attendant une ouverture politique, pour se la couler douce,

Et après ils viennent nous contrôler sur nos fermes. Une bonne raison de refuser les contrôles

si ça existe chez eux , pourquoi pas ailleurs 
 https://www.agriland.co.uk/farming-news/almost-11000-cattle-reported-lost-or-stolen-in-3-years-in-ni/

Il faut faire du fric et que du fric, le reste c'est négligeable. Il faut nourrir les pauvres à bon marché pour qu'ils soient dociles. Concernant les agris, ils ont encore un peu de capital sous les matelas et au soleil (matériel, terres, bâtiments, ...). Les politiques peuvent les saigner et en plus la bouffe bon marché peut arriver des quatre coins du monde pour nourrir la population.
CONCLUSIONS:
- pas besoin de contrôles pour les importations mais contrôles stricts pour la production;
- matières premières bon marché (produits agricoles);
- agris au RSA.