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Coronavirus : chiffres en direct
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Coronavirus : chiffres en direct
Rappel du premier message :
Bonjour à tous,
Je vous transmets un lien que mes collocs norvégiens viennent de trouver.
https://www.youtube.com/watch?v=qgylp3Td1Bw&feature=youtu.be&fbclid=IwAR1dCEhyA4UnxKtX5vt1aoLVa4CCRtFYlWgF6Y3pYUzh7uuUVpNSHaKUf3A
PS : Ici tous les cours dans les locaux sont annulés jusqu'à nouvel ordre depuis hier soir.
Bonne journée
Bonjour à tous,
Je vous transmets un lien que mes collocs norvégiens viennent de trouver.
https://www.youtube.com/watch?v=qgylp3Td1Bw&feature=youtu.be&fbclid=IwAR1dCEhyA4UnxKtX5vt1aoLVa4CCRtFYlWgF6Y3pYUzh7uuUVpNSHaKUf3A
PS : Ici tous les cours dans les locaux sont annulés jusqu'à nouvel ordre depuis hier soir.
Bonne journée
le belge junior- + Membre Accro +
- Messages : 227
Date d'inscription : 22/11/2016
Age : 25
Marne
Re: Coronavirus : chiffres en direct
Le président Clémenceau m'a envoyé un SMS à 0:22 H, est ce que je dois lui répondre.
GL- + membre techno +
- Messages : 24169
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 109
Assis
Re: Coronavirus : chiffres en direct
début de méa culpa
« On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade » : les regrets d’Agnès Buzyn
Catastrophée par la crise sanitaire, l’ex-ministre de la santé revient pour « Le Monde » sur sa campagne à Paris et son départ du gouvernement en pleine crise du coronavirus.
Par Ariane Chemin Publié aujourd’hui à 11h34, mis à jour à 13h12
Temps de Lecture 6 min.
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Agnès Buzyn, dans un bureau de vote du 5e arrondissement, à Paris, le 15 mars. JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE »
« Je me demande ce que je vais faire de ma vie. » Agnès Buzyn est enfin rentrée chez elle, lundi 16 mars, en milieu d’après-midi. Elle vient de « fermer la porte du QG » de sa campagne parisienne et a posé son sac, seule, « effondrée », dit-elle. Elle pleure, et ses larmes n’ont rien à voir avec celles « d’émotion » et de « déchirement » essuyées entre deux sourires lors de la passation de pouvoir au ministère de la santé, il y a un mois. Ce sont des larmes lourdes, de fatigue, d’épuisement, mais aussi de remords. Elle se livre sans fard et l’aveu est terrible. « Quand j’ai quitté le ministère, assure-t-elle, je pleurais parce que je savais que la vague du tsunami était devant nous. Je suis partie en sachant que les élections n’auraient pas lieu. » A mots à peine cachés, l’ex-ministre de la santé reconnaît ce qui la déchire : fallait-il abandonner son poste en pleine tempête, alors qu’elle devinait le drame à venir ?
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Elections municipales : la préparation du second tour éclipsée par la gestion de la crise sanitaire
Agnès Buzyn n’est arrivée qu’en troisième position à Paris et sans attendre les directives de La République en marche (LRM) ou l’annonce du report du second tour, a annoncé ce lundi qu’« en raison de la situation sanitaire et dans les hôpitaux », elle se retirait du jeu. « C’est ma part de liberté, de citoyenne et de médecin. » L’avait-elle donc perdu, ce libre arbitre, durant son aventure électorale ? Ses propos le laissent deviner. « Depuis le début je ne pensais qu’à une seule chose : au coronavirus. On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade. La dernière semaine a été un cauchemar. J’avais peur à chaque meeting. J’ai vécu cette campagne de manière dissociée. » Le mot dit tout. A-t-on jamais gagné une élection en affichant pareille dualité ?
En politique aussi, l’inconscient parle. Dimanche 15 mars, Agnès Buzyn est allée voter dans le 5e arrondissement, près de chez elle. Essayer de voter, plutôt. La tête de liste de LRM avait d’abord oublié sa carte d’identité chez elle, dans un autre sac. Le temps que son équipe s’active, elle a fait le pied de grue devant le bureau de vote. Au moment de glisser son bulletin, impossible de débloquer la pompe du flacon de gel hydroalcoolique… Mauvais karma, mauvais signal.
Le soir, elle a été distancée par la maire socialiste sortante, Anne Hidalgo, et par Rachida Dati. Benjamin Griveaux aurait-il fait mieux ? « Sûrement pas, tranche-t-elle. Quand je suis arrivée, il était à 13 %. » Par tempérament, Agnès Buzyn n’est pas du genre à jouer les supplétifs. Si elle s’est présentée, c’est avec la conviction qu’elle pouvait bousculer le jeu. C’était son moment, pensait-elle. Ou son calvaire, vues les circonstances. Aujourd’hui, c’est toute cette séquence qui lui revient, jusqu’à faire de sa confession l’expression d’une tragédie intime.
Tout commence le 14 février. A l’époque, l’OMS ne parle pas encore de pandémie, les épidémiologistes comparent la mortalité du virus à celle de la grippe. Seule la province chinoise de Hubei est confinée. Invitée sur France Inter, ce matin-là, Agnès Buzyn fait le point sur ses dossiers et la situation sanitaire. Elle n’a pas encore vu la vidéo intime de Benjamin Griveaux, qui tourne depuis peu sur les réseaux sociaux. Toujours pas candidate dans un arrondissement de la capitale ?, lui demande-t-on à l’antenne. Ce même Griveaux ne lui avait proposé qu’« une troisième position, dans le 15e », précise-t-elle aujourd’hui. Pas forcément de son niveau. Elle n’entre pas dans ces détails et répète : « Je ne pourrai pas être candidate. J’avais déjà un agenda très chargé, j’ai beaucoup de réformes dans le ministère et s’est rajouté un surcroît de travail inattendu malheureusement, qui est cette crise du coronavirus. » L’affaire semble tranchée.
Que se passe-t-il entre ce vendredi matin et le samedi soir suivant, qui la voit s’avancer sur le devant de la scène parisienne, alors que Griveaux jette l’éponge ? A l’entendre, elle devine déjà ce qui se profile. « Je pense que j’ai vu la première ce qui se passait en Chine : le 20 décembre, un blog anglophone détaillait des pneumopathies étranges. J’ai alerté le directeur général de la santé. Le 11 janvier, j’ai envoyé un message au président sur la situation. Le 30 janvier, j’ai averti Edouard Philippe que les élections ne pourraient sans doute pas se tenir. Je rongeais mon frein. » Dès lors, pourquoi tout lâcher pour remplacer Griveaux ? « Ni Emmanuel Macron ni Edouard Philippe ne m’ont mis la pression. Mais je recevais des milliers de textos me disant : “Il n’y a que toi…” Je me suis dit que je n’allais pas laisser La République en marche dans la difficulté… Paris est un beau mandat. J’ai appelé moi-même le président pour lui dire que j’y allais. »
Lucide sur la crise sanitaire et pourtant décidée à s’engager : nous sommes là au cœur du mystère Buzyn. La politique, cette hématologue réputée, entrée au gouvernement en 2017, en rêvait. « Depuis toujours, dit-elle. C’était aussi l’ADN de la famille Veil », celui de Simone, son ex-belle-mère, qu’elle admire. Elle avait déjà manqué de sauter le pas lors du précédent quinquennat, quand François Hollande avait songé à la nommer ministre, sans finalement donner suite. Auparavant, François Fillon l’avait, lui aussi, remarquée, alors qu’elle présidait l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire, et lui avait proposé de devenir sa suppléante à Paris, aux législatives de 2012. Par conviction de gauche – peut-être aussi parce que c’était un début trop modeste –, elle avait refusé.
Agnès Buzyn se dit que ce défi parisien est une aubaine. La capitale, sa ville natale, semble lui tendre les bras. Elle le croit d’autant plus volontiers qu’au gouvernement, ses marges se sont rétrécies. Le corps hospitalier la voue aux gémonies, la réforme des retraites est un loupé, la future loi sur la dépendance n’aura pas les crédits exigés… Si elle est encore à ce poste en 2022 et que Macron échoue, confie-t-elle à des proches, que restera-t-il de sa réputation ? Agnès Buzyn n’aime pas perdre et une nouvelle carrière, politique celle-là, s’ouvre à elle. Olivier Véran, un ex-socialiste de 39 ans, neurologue et député, paraît taillé pour lui succéder.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Le bilan d’Agnès Buzyn, de la PMA pour toutes à une crise hospitalière sans précédent
L’entrée en campagne est un bref moment de bonheur. La Macronie parisienne, sonnée par l’affaire Griveaux, se reprend à rêver. La candidate a les coudées franches. Elle enterre les projets-phares de son prédécesseur et pousse la promesse qui fait sa marque : l’aide aux personnes âgées à domicile. Bienveillance, proximité, mais aussi sécurité et propreté. Qu’apporte-t-elle de plus ? Son passé précisément, soit un sérieux, une compétence, une légitimité.
Pendant quelques jours, elle croit à sa bonne étoile. Les sondages frémissent. On l’engueulait toujours, et désormais on l’aborde gentiment. « J’aime les gens, dit-elle, et quoi qu’on en dise, dans un ministère, il y a une distance qui se crée. » La candidate s’enhardit et commet la faute de critiquer le manque de préparation de la Mairie de Paris face à l’épidémie, alors qu’elle l’a félicitée un peu plus tôt – et par écrit – de sa mobilisation. A moins que ces critiques ne trahissent un sentiment de culpabilité personnel ? Le satané virus envahit tout et, à la télévision, c’est Olivier Véran qui prend la lumière. Précis, rassurant, il est jugé excellent. La révélation n’est plus là où on l’imaginait…
Commence alors le chemin de croix. Sur le terrain, dans les débats, Agnès Buzyn montre un vrai savoir-faire mais elle stagne dans les sondages. Comment rassembler largement au second tour, comme promis, si elle arrive derrière Hidalgo et Dati ? « Je ne suis pas une politicienne mais une professionnelle de l’intérêt général », affirme le message audio qu’elle laisse sur 500 000 téléphones. La crise sanitaire la ramène sans cesse à son passé de ministre. Les réseaux sociaux reprennent ainsi cette petite phrase, lâchée le 24 janvier : « Le risque de propagation du coronavirus dans la population est très faible. »
« Bien sûr, je n’aurais pas dû prononcer ces mots. Mais avant de partir du ministère, j’avais tout préparé, malgré une inertie… » Les quelques reproches qu’elle s’adresse se mêlent au désir de convaincre qu’elle n’a pas failli. « Je n’ai plus de boulot », glisse-t-elle, avant de se reprendre : « Je dis toujours : “Ministre un jour, médecin toujours”. L’hôpital va avoir besoin de moi. Il va y avoir des milliers de morts. »
Ariane Chemin
- Politique
- Coronavirus SARS-CoV-2
« On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade » : les regrets d’Agnès Buzyn
Catastrophée par la crise sanitaire, l’ex-ministre de la santé revient pour « Le Monde » sur sa campagne à Paris et son départ du gouvernement en pleine crise du coronavirus.
Par Ariane Chemin Publié aujourd’hui à 11h34, mis à jour à 13h12
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Agnès Buzyn, dans un bureau de vote du 5e arrondissement, à Paris, le 15 mars. JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE »
« Je me demande ce que je vais faire de ma vie. » Agnès Buzyn est enfin rentrée chez elle, lundi 16 mars, en milieu d’après-midi. Elle vient de « fermer la porte du QG » de sa campagne parisienne et a posé son sac, seule, « effondrée », dit-elle. Elle pleure, et ses larmes n’ont rien à voir avec celles « d’émotion » et de « déchirement » essuyées entre deux sourires lors de la passation de pouvoir au ministère de la santé, il y a un mois. Ce sont des larmes lourdes, de fatigue, d’épuisement, mais aussi de remords. Elle se livre sans fard et l’aveu est terrible. « Quand j’ai quitté le ministère, assure-t-elle, je pleurais parce que je savais que la vague du tsunami était devant nous. Je suis partie en sachant que les élections n’auraient pas lieu. » A mots à peine cachés, l’ex-ministre de la santé reconnaît ce qui la déchire : fallait-il abandonner son poste en pleine tempête, alors qu’elle devinait le drame à venir ?
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Elections municipales : la préparation du second tour éclipsée par la gestion de la crise sanitaire
Agnès Buzyn n’est arrivée qu’en troisième position à Paris et sans attendre les directives de La République en marche (LRM) ou l’annonce du report du second tour, a annoncé ce lundi qu’« en raison de la situation sanitaire et dans les hôpitaux », elle se retirait du jeu. « C’est ma part de liberté, de citoyenne et de médecin. » L’avait-elle donc perdu, ce libre arbitre, durant son aventure électorale ? Ses propos le laissent deviner. « Depuis le début je ne pensais qu’à une seule chose : au coronavirus. On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade. La dernière semaine a été un cauchemar. J’avais peur à chaque meeting. J’ai vécu cette campagne de manière dissociée. » Le mot dit tout. A-t-on jamais gagné une élection en affichant pareille dualité ?
Tragédie intime
En politique aussi, l’inconscient parle. Dimanche 15 mars, Agnès Buzyn est allée voter dans le 5e arrondissement, près de chez elle. Essayer de voter, plutôt. La tête de liste de LRM avait d’abord oublié sa carte d’identité chez elle, dans un autre sac. Le temps que son équipe s’active, elle a fait le pied de grue devant le bureau de vote. Au moment de glisser son bulletin, impossible de débloquer la pompe du flacon de gel hydroalcoolique… Mauvais karma, mauvais signal.
Le soir, elle a été distancée par la maire socialiste sortante, Anne Hidalgo, et par Rachida Dati. Benjamin Griveaux aurait-il fait mieux ? « Sûrement pas, tranche-t-elle. Quand je suis arrivée, il était à 13 %. » Par tempérament, Agnès Buzyn n’est pas du genre à jouer les supplétifs. Si elle s’est présentée, c’est avec la conviction qu’elle pouvait bousculer le jeu. C’était son moment, pensait-elle. Ou son calvaire, vues les circonstances. Aujourd’hui, c’est toute cette séquence qui lui revient, jusqu’à faire de sa confession l’expression d’une tragédie intime.
Tout commence le 14 février. A l’époque, l’OMS ne parle pas encore de pandémie, les épidémiologistes comparent la mortalité du virus à celle de la grippe. Seule la province chinoise de Hubei est confinée. Invitée sur France Inter, ce matin-là, Agnès Buzyn fait le point sur ses dossiers et la situation sanitaire. Elle n’a pas encore vu la vidéo intime de Benjamin Griveaux, qui tourne depuis peu sur les réseaux sociaux. Toujours pas candidate dans un arrondissement de la capitale ?, lui demande-t-on à l’antenne. Ce même Griveaux ne lui avait proposé qu’« une troisième position, dans le 15e », précise-t-elle aujourd’hui. Pas forcément de son niveau. Elle n’entre pas dans ces détails et répète : « Je ne pourrai pas être candidate. J’avais déjà un agenda très chargé, j’ai beaucoup de réformes dans le ministère et s’est rajouté un surcroît de travail inattendu malheureusement, qui est cette crise du coronavirus. » L’affaire semble tranchée.
« Paris est un beau mandat. J’ai appelé moi-même le président pour lui dire que j’y allais »
Que se passe-t-il entre ce vendredi matin et le samedi soir suivant, qui la voit s’avancer sur le devant de la scène parisienne, alors que Griveaux jette l’éponge ? A l’entendre, elle devine déjà ce qui se profile. « Je pense que j’ai vu la première ce qui se passait en Chine : le 20 décembre, un blog anglophone détaillait des pneumopathies étranges. J’ai alerté le directeur général de la santé. Le 11 janvier, j’ai envoyé un message au président sur la situation. Le 30 janvier, j’ai averti Edouard Philippe que les élections ne pourraient sans doute pas se tenir. Je rongeais mon frein. » Dès lors, pourquoi tout lâcher pour remplacer Griveaux ? « Ni Emmanuel Macron ni Edouard Philippe ne m’ont mis la pression. Mais je recevais des milliers de textos me disant : “Il n’y a que toi…” Je me suis dit que je n’allais pas laisser La République en marche dans la difficulté… Paris est un beau mandat. J’ai appelé moi-même le président pour lui dire que j’y allais. »
Un bref moment de bonheur
Lucide sur la crise sanitaire et pourtant décidée à s’engager : nous sommes là au cœur du mystère Buzyn. La politique, cette hématologue réputée, entrée au gouvernement en 2017, en rêvait. « Depuis toujours, dit-elle. C’était aussi l’ADN de la famille Veil », celui de Simone, son ex-belle-mère, qu’elle admire. Elle avait déjà manqué de sauter le pas lors du précédent quinquennat, quand François Hollande avait songé à la nommer ministre, sans finalement donner suite. Auparavant, François Fillon l’avait, lui aussi, remarquée, alors qu’elle présidait l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire, et lui avait proposé de devenir sa suppléante à Paris, aux législatives de 2012. Par conviction de gauche – peut-être aussi parce que c’était un début trop modeste –, elle avait refusé.
Agnès Buzyn se dit que ce défi parisien est une aubaine. La capitale, sa ville natale, semble lui tendre les bras. Elle le croit d’autant plus volontiers qu’au gouvernement, ses marges se sont rétrécies. Le corps hospitalier la voue aux gémonies, la réforme des retraites est un loupé, la future loi sur la dépendance n’aura pas les crédits exigés… Si elle est encore à ce poste en 2022 et que Macron échoue, confie-t-elle à des proches, que restera-t-il de sa réputation ? Agnès Buzyn n’aime pas perdre et une nouvelle carrière, politique celle-là, s’ouvre à elle. Olivier Véran, un ex-socialiste de 39 ans, neurologue et député, paraît taillé pour lui succéder.
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L’entrée en campagne est un bref moment de bonheur. La Macronie parisienne, sonnée par l’affaire Griveaux, se reprend à rêver. La candidate a les coudées franches. Elle enterre les projets-phares de son prédécesseur et pousse la promesse qui fait sa marque : l’aide aux personnes âgées à domicile. Bienveillance, proximité, mais aussi sécurité et propreté. Qu’apporte-t-elle de plus ? Son passé précisément, soit un sérieux, une compétence, une légitimité.
Pendant quelques jours, elle croit à sa bonne étoile. Les sondages frémissent. On l’engueulait toujours, et désormais on l’aborde gentiment. « J’aime les gens, dit-elle, et quoi qu’on en dise, dans un ministère, il y a une distance qui se crée. » La candidate s’enhardit et commet la faute de critiquer le manque de préparation de la Mairie de Paris face à l’épidémie, alors qu’elle l’a félicitée un peu plus tôt – et par écrit – de sa mobilisation. A moins que ces critiques ne trahissent un sentiment de culpabilité personnel ? Le satané virus envahit tout et, à la télévision, c’est Olivier Véran qui prend la lumière. Précis, rassurant, il est jugé excellent. La révélation n’est plus là où on l’imaginait…
Commence alors le chemin de croix. Sur le terrain, dans les débats, Agnès Buzyn montre un vrai savoir-faire mais elle stagne dans les sondages. Comment rassembler largement au second tour, comme promis, si elle arrive derrière Hidalgo et Dati ? « Je ne suis pas une politicienne mais une professionnelle de l’intérêt général », affirme le message audio qu’elle laisse sur 500 000 téléphones. La crise sanitaire la ramène sans cesse à son passé de ministre. Les réseaux sociaux reprennent ainsi cette petite phrase, lâchée le 24 janvier : « Le risque de propagation du coronavirus dans la population est très faible. »
« Bien sûr, je n’aurais pas dû prononcer ces mots. Mais avant de partir du ministère, j’avais tout préparé, malgré une inertie… » Les quelques reproches qu’elle s’adresse se mêlent au désir de convaincre qu’elle n’a pas failli. « Je n’ai plus de boulot », glisse-t-elle, avant de se reprendre : « Je dis toujours : “Ministre un jour, médecin toujours”. L’hôpital va avoir besoin de moi. Il va y avoir des milliers de morts. »
Ariane Chemin
pato35- + membre techno +
- Messages : 505
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Age : 59
BZH (35)
Re: Coronavirus : chiffres en direct
fete sur les balcon en italie
https://www.facebook.com/MixmagFrance/videos/1058103317887640/
https://www.facebook.com/MixmagFrance/videos/1058103317887640/
Dernière édition par Mendoza le Mar 17 Mar 2020 - 18:44, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Coronavirus : chiffres en direct
Mendoza a écrit:fete sur les balcon en italie
https://scontent-cdg2-1.xx.fbcdn.net/v/t1.0-9/89785909_3727052244003755_3210846309867061248_n.jpg?_nc_cat=1&_nc_sid=110474&_nc_oc=AQnE69DmAwhq-igdK0jLC0XmAAGfQJWoHlNpi1omwSGFYlbnBa6Ad7haR_dsDmHYDKw4LXfyfebtUlvgSNq9RLgD&_nc_ht=scontent-cdg2-1.xx&oh=5804cb6d5bc767d989593b0d5c808404&oe=5E95C76B
Espèce de couillon.
GL- + membre techno +
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Assis
Re: Coronavirus : chiffres en direct
[*]pato35 a écrit:début de méa culpa
- Politique
- Coronavirus SARS-CoV-2
« On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade » : les regrets d’Agnès Buzyn
Catastrophée par la crise sanitaire, l’ex-ministre de la santé revient pour « Le Monde » sur sa campagne à Paris et son départ du gouvernement en pleine crise du coronavirus.
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Agnès Buzyn, dans un bureau de vote du 5e arrondissement, à Paris, le 15 mars. JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE »
« Je me demande ce que je vais faire de ma vie. » Agnès Buzyn est enfin rentrée chez elle, lundi 16 mars, en milieu d’après-midi. Elle vient de « fermer la porte du QG » de sa campagne parisienne et a posé son sac, seule, « effondrée », dit-elle. Elle pleure, et ses larmes n’ont rien à voir avec celles « d’émotion » et de « déchirement » essuyées entre deux sourires lors de la passation de pouvoir au ministère de la santé, il y a un mois. Ce sont des larmes lourdes, de fatigue, d’épuisement, mais aussi de remords. Elle se livre sans fard et l’aveu est terrible. « Quand j’ai quitté le ministère, assure-t-elle, je pleurais parce que je savais que la vague du tsunami était devant nous. Je suis partie en sachant que les élections n’auraient pas lieu. » A mots à peine cachés, l’ex-ministre de la santé reconnaît ce qui la déchire : fallait-il abandonner son poste en pleine tempête, alors qu’elle devinait le drame à venir ?
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Agnès Buzyn n’est arrivée qu’en troisième position à Paris et sans attendre les directives de La République en marche (LRM) ou l’annonce du report du second tour, a annoncé ce lundi qu’« en raison de la situation sanitaire et dans les hôpitaux », elle se retirait du jeu. « C’est ma part de liberté, de citoyenne et de médecin. » L’avait-elle donc perdu, ce libre arbitre, durant son aventure électorale ? Ses propos le laissent deviner. « Depuis le début je ne pensais qu’à une seule chose : au coronavirus. On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade. La dernière semaine a été un cauchemar. J’avais peur à chaque meeting. J’ai vécu cette campagne de manière dissociée. » Le mot dit tout. A-t-on jamais gagné une élection en affichant pareille dualité ?Tragédie intime
En politique aussi, l’inconscient parle. Dimanche 15 mars, Agnès Buzyn est allée voter dans le 5e arrondissement, près de chez elle. Essayer de voter, plutôt. La tête de liste de LRM avait d’abord oublié sa carte d’identité chez elle, dans un autre sac. Le temps que son équipe s’active, elle a fait le pied de grue devant le bureau de vote. Au moment de glisser son bulletin, impossible de débloquer la pompe du flacon de gel hydroalcoolique… Mauvais karma, mauvais signal.
Le soir, elle a été distancée par la maire socialiste sortante, Anne Hidalgo, et par Rachida Dati. Benjamin Griveaux aurait-il fait mieux ? « Sûrement pas, tranche-t-elle. Quand je suis arrivée, il était à 13 %. » Par tempérament, Agnès Buzyn n’est pas du genre à jouer les supplétifs. Si elle s’est présentée, c’est avec la conviction qu’elle pouvait bousculer le jeu. C’était son moment, pensait-elle. Ou son calvaire, vues les circonstances. Aujourd’hui, c’est toute cette séquence qui lui revient, jusqu’à faire de sa confession l’expression d’une tragédie intime.
Tout commence le 14 février. A l’époque, l’OMS ne parle pas encore de pandémie, les épidémiologistes comparent la mortalité du virus à celle de la grippe. Seule la province chinoise de Hubei est confinée. Invitée sur France Inter, ce matin-là, Agnès Buzyn fait le point sur ses dossiers et la situation sanitaire. Elle n’a pas encore vu la vidéo intime de Benjamin Griveaux, qui tourne depuis peu sur les réseaux sociaux. Toujours pas candidate dans un arrondissement de la capitale ?, lui demande-t-on à l’antenne. Ce même Griveaux ne lui avait proposé qu’« une troisième position, dans le 15e », précise-t-elle aujourd’hui. Pas forcément de son niveau. Elle n’entre pas dans ces détails et répète : « Je ne pourrai pas être candidate. J’avais déjà un agenda très chargé, j’ai beaucoup de réformes dans le ministère et s’est rajouté un surcroît de travail inattendu malheureusement, qui est cette crise du coronavirus. » L’affaire semble tranchée.« Paris est un beau mandat. J’ai appelé moi-même le président pour lui dire que j’y allais »
Que se passe-t-il entre ce vendredi matin et le samedi soir suivant, qui la voit s’avancer sur le devant de la scène parisienne, alors que Griveaux jette l’éponge ? A l’entendre, elle devine déjà ce qui se profile. « Je pense que j’ai vu la première ce qui se passait en Chine : le 20 décembre, un blog anglophone détaillait des pneumopathies étranges. J’ai alerté le directeur général de la santé. Le 11 janvier, j’ai envoyé un message au président sur la situation. Le 30 janvier, j’ai averti Edouard Philippe que les élections ne pourraient sans doute pas se tenir. Je rongeais mon frein. » Dès lors, pourquoi tout lâcher pour remplacer Griveaux ? « Ni Emmanuel Macron ni Edouard Philippe ne m’ont mis la pression. Mais je recevais des milliers de textos me disant : “Il n’y a que toi…” Je me suis dit que je n’allais pas laisser La République en marche dans la difficulté… Paris est un beau mandat. J’ai appelé moi-même le président pour lui dire que j’y allais. »Un bref moment de bonheur
Lucide sur la crise sanitaire et pourtant décidée à s’engager : nous sommes là au cœur du mystère Buzyn. La politique, cette hématologue réputée, entrée au gouvernement en 2017, en rêvait. « Depuis toujours, dit-elle. C’était aussi l’ADN de la famille Veil », celui de Simone, son ex-belle-mère, qu’elle admire. Elle avait déjà manqué de sauter le pas lors du précédent quinquennat, quand François Hollande avait songé à la nommer ministre, sans finalement donner suite. Auparavant, François Fillon l’avait, lui aussi, remarquée, alors qu’elle présidait l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire, et lui avait proposé de devenir sa suppléante à Paris, aux législatives de 2012. Par conviction de gauche – peut-être aussi parce que c’était un début trop modeste –, elle avait refusé.
Agnès Buzyn se dit que ce défi parisien est une aubaine. La capitale, sa ville natale, semble lui tendre les bras. Elle le croit d’autant plus volontiers qu’au gouvernement, ses marges se sont rétrécies. Le corps hospitalier la voue aux gémonies, la réforme des retraites est un loupé, la future loi sur la dépendance n’aura pas les crédits exigés… Si elle est encore à ce poste en 2022 et que Macron échoue, confie-t-elle à des proches, que restera-t-il de sa réputation ? Agnès Buzyn n’aime pas perdre et une nouvelle carrière, politique celle-là, s’ouvre à elle. Olivier Véran, un ex-socialiste de 39 ans, neurologue et député, paraît taillé pour lui succéder.
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L’entrée en campagne est un bref moment de bonheur. La Macronie parisienne, sonnée par l’affaire Griveaux, se reprend à rêver. La candidate a les coudées franches. Elle enterre les projets-phares de son prédécesseur et pousse la promesse qui fait sa marque : l’aide aux personnes âgées à domicile. Bienveillance, proximité, mais aussi sécurité et propreté. Qu’apporte-t-elle de plus ? Son passé précisément, soit un sérieux, une compétence, une légitimité.
Pendant quelques jours, elle croit à sa bonne étoile. Les sondages frémissent. On l’engueulait toujours, et désormais on l’aborde gentiment. « J’aime les gens, dit-elle, et quoi qu’on en dise, dans un ministère, il y a une distance qui se crée. » La candidate s’enhardit et commet la faute de critiquer le manque de préparation de la Mairie de Paris face à l’épidémie, alors qu’elle l’a félicitée un peu plus tôt – et par écrit – de sa mobilisation. A moins que ces critiques ne trahissent un sentiment de culpabilité personnel ? Le satané virus envahit tout et, à la télévision, c’est Olivier Véran qui prend la lumière. Précis, rassurant, il est jugé excellent. La révélation n’est plus là où on l’imaginait…
Commence alors le chemin de croix. Sur le terrain, dans les débats, Agnès Buzyn montre un vrai savoir-faire mais elle stagne dans les sondages. Comment rassembler largement au second tour, comme promis, si elle arrive derrière Hidalgo et Dati ? « Je ne suis pas une politicienne mais une professionnelle de l’intérêt général », affirme le message audio qu’elle laisse sur 500 000 téléphones. La crise sanitaire la ramène sans cesse à son passé de ministre. Les réseaux sociaux reprennent ainsi cette petite phrase, lâchée le 24 janvier : « Le risque de propagation du coronavirus dans la population est très faible. »
« Bien sûr, je n’aurais pas dû prononcer ces mots. Mais avant de partir du ministère, j’avais tout préparé, malgré une inertie… » Les quelques reproches qu’elle s’adresse se mêlent au désir de convaincre qu’elle n’a pas failli. « Je n’ai plus de boulot », glisse-t-elle, avant de se reprendre : « Je dis toujours : “Ministre un jour, médecin toujours”. L’hôpital va avoir besoin de moi. Il va y avoir des milliers de morts. »
Ariane Chemin
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vraiment tout près de chez moi, c'est pour direre sinon Barzac parce que Balzac, écrivaillon avait déjà pris ce pseudo..
Re: Coronavirus : chiffres en direct
tromper de lien, c'était celui laGL a écrit:Mendoza a écrit:fete sur les balcon en italie
https://scontent-cdg2-1.xx.fbcdn.net/v/t1.0-9/89785909_3727052244003755_3210846309867061248_n.jpg?_nc_cat=1&_nc_sid=110474&_nc_oc=AQnE69DmAwhq-igdK0jLC0XmAAGfQJWoHlNpi1omwSGFYlbnBa6Ad7haR_dsDmHYDKw4LXfyfebtUlvgSNq9RLgD&_nc_ht=scontent-cdg2-1.xx&oh=5804cb6d5bc767d989593b0d5c808404&oe=5E95C76B
Espèce de couillon.
https://www.facebook.com/MixmagFrance/videos/1058103317887640/
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
buzyn balance !
https://mobile.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/je-suis-partie-en-sachant-que-les-elections-n-auraient-pas-lieu-agnes-buzyn-affirme-avoir-alerte-l-executif-sur-la-gravite-du-coronavirus-des-janvier_3871427.html?fbclid=IwAR1GRbh3UYlxrJngoOiP5KjhD4Rvf8-33fnzObp_Ys31RUK8newyY5L8iug
https://mobile.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/je-suis-partie-en-sachant-que-les-elections-n-auraient-pas-lieu-agnes-buzyn-affirme-avoir-alerte-l-executif-sur-la-gravite-du-coronavirus-des-janvier_3871427.html?fbclid=IwAR1GRbh3UYlxrJngoOiP5KjhD4Rvf8-33fnzObp_Ys31RUK8newyY5L8iug
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
marine balance :
https://www.facebook.com/MarineLePen/videos/580364969218122/
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
Cliquer sur le lien ci dessous et aller dans la rubrique " les mesures prises par le gouvernement " et tout a la fin il y a la chronologie date par date (manque juste la phrase qui y était il y a deux ou trois jours : "l'OMS a signaler le 31 décembre… " elle était placer juste avant chronologie ) et faite en l'analyse que vous voulez ….. et pourtant vers le 20 janvier la Buzin affirmait face au journaliste "aucun soucis a se faire "
https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus
https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
Et je retourne ma veste ….. (quelques heures plus tard …. )carlo s a écrit:buzyn balance !
https://mobile.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/je-suis-partie-en-sachant-que-les-elections-n-auraient-pas-lieu-agnes-buzyn-affirme-avoir-alerte-l-executif-sur-la-gravite-du-coronavirus-des-janvier_3871427.html?fbclid=IwAR1GRbh3UYlxrJngoOiP5KjhD4Rvf8-33fnzObp_Ys31RUK8newyY5L8iug
https://www.parismatch.com/Actu/Politique/Coronavirus-et-municipales-Agnes-Buzyn-retropedale-et-precise-ses-propos-1679164
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
elle a peur de se retrouvé suicidée ....jardi85 a écrit:Et je retourne ma veste ….. (quelques heures plus tard …. )carlo s a écrit:buzyn balance !
https://mobile.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/je-suis-partie-en-sachant-que-les-elections-n-auraient-pas-lieu-agnes-buzyn-affirme-avoir-alerte-l-executif-sur-la-gravite-du-coronavirus-des-janvier_3871427.html?fbclid=IwAR1GRbh3UYlxrJngoOiP5KjhD4Rvf8-33fnzObp_Ys31RUK8newyY5L8iug
https://www.parismatch.com/Actu/Politique/Coronavirus-et-municipales-Agnes-Buzyn-retropedale-et-precise-ses-propos-1679164
ou comme le medecin de wuhan ....
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
Même pas … je pense plutôt que de bonnes âmes on du lui faire transmettre un replay de sa déclaration vers le 20 janvier …..carlo s a écrit:elle a peur de se retrouvé suicidée ....jardi85 a écrit:Et je retourne ma veste ….. (quelques heures plus tard …. )carlo s a écrit:buzyn balance !
https://mobile.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/je-suis-partie-en-sachant-que-les-elections-n-auraient-pas-lieu-agnes-buzyn-affirme-avoir-alerte-l-executif-sur-la-gravite-du-coronavirus-des-janvier_3871427.html?fbclid=IwAR1GRbh3UYlxrJngoOiP5KjhD4Rvf8-33fnzObp_Ys31RUK8newyY5L8iug
https://www.parismatch.com/Actu/Politique/Coronavirus-et-municipales-Agnes-Buzyn-retropedale-et-precise-ses-propos-1679164
ou comme le medecin de wuhan ....
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
Quand l'épidemie va atteindre l'Inde, le Pakistan, ca va faire mal!
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
tiens un médicament qui serait efficace contre le covid, passé en prescription obligatoire le 15 janvier, bizarre
https://www.vidal.fr/actualites/24163/plaquenil_hydroxychloroquine_la_prescription_medicale_devient_obligatoire/
https://www.vidal.fr/actualites/24163/plaquenil_hydroxychloroquine_la_prescription_medicale_devient_obligatoire/
dgé- schtroumpf grognon du forum
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
dgé a écrit:tiens un médicament qui serait efficace contre le covid, passé en prescription obligatoire le 15 janvier, bizarre
https://www.vidal.fr/actualites/24163/plaquenil_hydroxychloroquine_la_prescription_medicale_devient_obligatoire/
deux réflexions
- on savait dès Janvier l'arrivée de la pandémie
- on a voulu éviter l'auto médication
Agnès Buzin savait donc dès Janvier l'arrivée de la pandémie.
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
La révolte des enfants
https://www.facebook.com/alex.quehan.16/videos/737064360157391/
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
Les drôles de chiffres du Grand Est
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
Est ce qu'il est raisonnable de superposer ces deux cartes :
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
bien vu, mais je penche grandement pour ta 1ere phrase, macronite n'a rien à foutre du peuple, pourquoi il s'en serait inquiété en janvier sans s’inquiéter du corona !GL a écrit:
deux réflexions
- on savait dès Janvier l'arrivée de la pandémie
- on a voulu éviter l'auto médication
Agnès Buzin savait donc dès Janvier l'arrivée de la pandémie.
dgé- schtroumpf grognon du forum
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
demain on va vous réduire le débit de votre ADSL, je suppose que vous allez crier encore au complot!
Pourtant la réalité est tout autre! le système est saturé!
Pourtant la réalité est tout autre! le système est saturé!
Invité- Invité
Re: Coronavirus : chiffres en direct
LE CAM a écrit:demain on va vous réduire le débit de votre ADSL, je suppose que vous allez crier encore au complot!
Pourtant la réalité est tout autre! le système est saturé!
Pourtant, du pognon dans la téléphonie, il y en a.
Mon voisin habite une ferme isolée. La ligne ( cuivre aérien ) est coupée de façon régulière. Quand je lui ai demandé si il connaissait la Wifi longue portée, il ne connaissait pas. Pourtant de chez lui, on voit l'antenne téléphone ou il va y avoir la fibre.
C'est ce système qui relie souvent les cabanes des stations essence des super marché au magasin. Regardez sur le toit la petite antenne carré qui est dirigée sur la parabole du bâtiment principal.
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
en parlant de chiffre , combien d'avions arrivent en France par jour et en repartent ,drôle de confinement
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
parce que tu crois que le linky est juste fait pour les relevés à distance et pas pour "lisser" la consommation ?LE CAM a écrit:demain on va vous réduire le débit de votre ADSL, je suppose que vous allez crier encore au complot!
Pourtant la réalité est tout autre! le système est saturé!
Honoré de Barzac- + membre techno +
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vraiment tout près de chez moi, c'est pour direre sinon Barzac parce que Balzac, écrivaillon avait déjà pris ce pseudo..
Re: Coronavirus : chiffres en direct
https://www.flightradar24.com/48.12,1.07/6merens a écrit:en parlant de chiffre , combien d'avions arrivent en France par jour et en repartent ,drôle de confinement
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
Par rapport au images qui datent de quelques mois, je peux te dire que ta carte n'a rien à voir.
GL- + membre techno +
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
le traffic est quand même moins dense qu'avant surtout si on le compare à l'amérique du nord… mais voilà, il ya soit-disant 130000 français à rapatrier de l'étranger plus le frêt avec les avions cargo et des avions à destination de l'étranger qui vole dans notre espace aérien ...
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
en France,aujourd'hui 112 morts
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
demain 150, après demain 190, et encore si le nombre était juste, car tout les chiffres sont du pipo en france
112 c'est pour vendredi, donc on doit être à près de 200 ce soir
112 c'est pour vendredi, donc on doit être à près de 200 ce soir
dgé- schtroumpf grognon du forum
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
La clorokine est le nouveau scandale qui pointe son nez, Christian perrone a l instant sur bfm explique que d ici le milieu de semaine on serait en capacité de soigner les cas grave....l exécutif si peu courageux donnera le feu vert après la crise comme d habitude
fergie62- + membre techno +
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Artesië
Re: Coronavirus : chiffres en direct
oui les deces sont ceux constatés en milieu hospitalier seulement.............dgé a écrit:demain 150, après demain 190, et encore si le nombre était juste, car tout les chiffres sont du pipo en france
112 c'est pour vendredi, donc on doit être à près de 200 ce soir
Honoré de Barzac- + membre techno +
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vraiment tout près de chez moi, c'est pour direre sinon Barzac parce que Balzac, écrivaillon avait déjà pris ce pseudo..
Re: Coronavirus : chiffres en direct
En ce moment, c'est le stress au boulot car je travaille dans le nettoyage industriel, à certains endroits on nous oblige à porter un masque et des gants mais ça ne sert à rien!!! Il faut appliquer les gestes barrières : lavage des mains , distances d'un mètre...
Bastien NH- + membre techno +
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
PatogaZ a écrit:quand je pense qu' un ami éleveur vaccine ses veaux contre le coronavirus depuis des années , je me marre
ben ça y es ! le décret est passé ils vont pouvoir utiliser les produits véto sur les humains !
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000041780609&dateTexte&categorieLien=id&fbclid=IwAR0tuJ41czMvdpkDvlP83ZGHEyvED81xM8EArksMuXqIKvbPDL_pad3NlBQ
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
mon vieux véto (paix a son âme) se soignait lui même en s'injectant lui même des produits véto
un cout de voren par ci un coup de clamoxyl par la
un cout de voren par ci un coup de clamoxyl par la
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Re: Coronavirus : chiffres en direct
https://www.laterre.ca/actualites/covid-19/mise-en-garde-contre-lidee-dutiliser-les-vaccins-disponibles-a-la-fermenerine a écrit:PatogaZ a écrit:quand je pense qu' un ami éleveur vaccine ses veaux contre le coronavirus depuis des années , je me marre
ben ça y es ! le décret est passé ils vont pouvoir utiliser les produits véto sur les humains !
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000041780609&dateTexte&categorieLien=id&fbclid=IwAR0tuJ41czMvdpkDvlP83ZGHEyvED81xM8EArksMuXqIKvbPDL_pad3NlBQ
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