Moisson 2020. La FNSEA « tire la sonnette d’alarme »

Alors que les rendements des grandes cultures sont annoncés en forte baisse cette année, la FNSEA appelle à intégrer l’agriculture dans le plan de relance annoncé par le gouvernement.

Dans un communiqué de presse diffusé le 9 juillet 2020, la FNSEA fait état de premières estimations de moissons « alarmantes ». « Les remontées du terrain confirment les chiffres diffusés par Agreste, et traduisent une situation extrêmement préoccupante », souligne le syndicat majoritaire, mettant en avant également le contexte climatique : difficultés de semis à l’automne, hiver très pluvieux, printemps sec…

Baisse de surfaces et mauvais rendements

Toutes les grandes cultures seraient concernées par ces mauvais résultats, à commencer par les céréales. Le service statistique du ministère de l’Agriculture table en effet, dans ses dernières prévisions, sur une récolte de blé la deuxième plus faible en volume depuis 2004, après celle de 2016. En blé tendre et en orge, les pertes de rendement sont très importantes, de 20 à 30 % selon les régions.
Les oléagineux présentent également de fortes baisses de volumes, pour la troisième année consécutive, cumulées à une baisse très préoccupante des surfaces passant de 1,5 à 1,2 million d’hectares en un an.

et si la récolte de maïs est bonne ,les prix seront en chute a la vue du nombre d'ha semés cette année

elle passe sa vie dans les dorures pour nous cricri ...

elle a un bureau a l'élysé ???

Réaction urgente demandée

Face à cette situation « qui aura des conséquences dramatiques pour le revenu des agriculteurs », le bureau de la FNSEA demande une « réaction urgente pour remettre l’agriculture française sur les rails de la croissance et de la compétitivité. »
Le syndicat estime ainsi que le plan de relance est « une réelle opportunité pour s’engager dans cette voie. Le Gouvernement doit positionner l’agriculture et accompagner l’investissement, la recherche et l’innovation, par des moyens suffisants. »
Et de conclure : « Alors que la crise du Covid-19 a replacé l’enjeu de la souveraineté sur les besoins essentiels que sont la santé et l’alimentation, le Plan de relance économique ambitieux préparé par le gouvernement doit pleinement intégrer l’agriculture ».

bzh centre a écrit:elle a un bureau a l'élysé ???

elle dort à paris ....

bzh centre a écrit:et si la récolte de maïs est bonne ,les prix seront en chute a la vue du nombre d'ha semés cette année

dans le marais  vu la gueule qu' ils ont c'est 50 ...70 qx  au mieux et je suis gentil,l'irrigué seras vers les 100qx et encore l'anné est froide....ceux la sont en fleurs ...je penses pas que pour le maiis c'est la recolte du siecle ...

un grand MERCI aux traîtres qui nous ont supprimé les néos ................

Pourquoi les cadres de la fnsea ne réclament pas des prix rémunérateurs ?

Parce que la filière veut des prix bas
Faut être "concurrentiel" sur les marchés mondiaux ,petit paysan

M 201 a écrit:un grand MERCI aux traîtres qui nous ont supprimé les néos ................

+1

tof a écrit:Parce que la filière veut des prix bas
Faut être "concurrentiel" sur les marchés mondiaux ,petit paysan

+1

c est marrant dans les medias il n y a que la fnsea qui dit !

Je pense que ce gouvernement ne veut pas le coup de la baguette qui monte pour calmer le peuple.
Et je suis désolé mais Cricri  pour élever ses cochons!  Le cout de l'aliment   est une charge.  Comment peut elle défendre le prix des céréales ? 
Donc Ce gouvernement est totalement d'accord avec Cricri

vous oubliez le principal concerné;le groupe sofiprotéol

il faut bien garder les places aux différents conseils d'administration de la filière pour la famille !

Olmer a écrit:Pourquoi  les cadres de la fnsea ne réclament pas  des prix rémunérateurs ?

parcequ'ils défendraient en faisant ça, les producteur que nous sommes et ce serrait nouveau , il faut surtout que la filiére amont aval copp office et tout les bordel s'en tire , bien sûr devant les médias on fait bonne figure mais c'est du toc on est les poilus de 14

carlo s a écrit:

la solution pour sauver les emplois des encravatés et précipiter la fin des paysans

une limonade et une visite de technico pour 50 € (mais pas de solution pour maintenir la productivité en échange , donc perte sèche pour l' agri)

carlo s a écrit:

bzh centre a écrit:elle a un bureau a l'élysé ???

elle dort à paris ....

non , elle dore à paris !!!!

lorsque je vois des agri signer des contrats HVE alors qu'on ne leur a rien demandé je me dis qu'il n'y pas que les syndicats qui débloquent

On va avoir un dégrèvement sur les impôts foncier et tout le monde sera content ,avec ça on ne va palier aller chier loin  comme d'habitude  juste envie de dire grand syndicat de m...e

ddrs a écrit:On va avoir un dégrèvement sur les impôts foncier et tout le monde sera content ,avec ça on ne va palier aller chier loin  comme d'habitude  juste envie de dire grand syndicat de m...e

Dégrèvement ? je suis pas sûr. Echéance serait le mot approprié

vous rêvez ,  cette année  il n y aura aucune aide pour la secheresse  ou  la  crise  covid 

a part peut etre pour les employeurs

Sparthakus a écrit:lorsque je vois des agri signer des contrats HVE alors qu'on ne leur a rien demandé je me dis qu'il n'y pas que les syndicats qui débloquent

Ca fait classe

Sparthakus a écrit:lorsque je vois des agri signer des contrats HVE alors qu'on ne leur a rien demandé je me dis qu'il n'y pas que les syndicats qui débloquent

+1

le contrat de la dissolution de l agriculture ....!

« Les producteurs continuent à travailler à perte »
Cinq ans plus tard, revoilà la FDSEA et les Jeunes agriculteurs devant Stalaven. « Les producteurs costarmoricains continuent de travailler à perte dans un contexte où la souveraineté alimentaire est définie comme une priorité », déplorent Fabienne Garel (FDSEA) et Jérémy Labbé (JA). « La situation est même plus grave, expliquent-ils. Les coûts de production ont augmenté, les normes ont progressé. Les prix, eux, n’ont pas augmenté. Ils ont même baissé. La difficulté est plus grande. » Il y a aussi la pression des associations qui luttent pour le bien-être animal. « On est prêt à y bosser, mais sans rémunération, on ne pourra pas. »

Mardi matin, à 8 h 30, les représentants syndicaux ont rencontré le préfet des Côtes-d’Armor. « On lui a demandé de faire appliquer la loi », raconte Nathalie Carmès, éleveuse de vaches laitières. La loi, c’est celle qui est issue des états généraux de l’alimentation (EGAlim). Elle est censée instaurer une réelle prise en compte des coûts de production dans l’élaboration des prix de vente. « Cette loi, elle est super si elle est appliquée », dit Jérémy Labbé. Mais deux ans après sa promulgation, le compte n’y est pas. « Pour le lait, on est rémunéré 330 € les 1 000 L. » Loin des 384 € que la production leur coûte. « On travaille à perte », déplore Nathalie Carmès.

« Les agriculteurs sont épuisés »
Toutes les filières semblent concernées. Y compris le porc. « On y a cru fin 2019. Dans l’euphorie, on s’est dit qu’on allait dépasser les 2 €/kg. On est retombé à 1,30 €, sans savoir pourquoi. Pendant ce temps-là, les prix ont augmenté dans les magasins. » Dans le cadre des EGAlim, les agriculteurs disent avoir « fait le job », en donnant leurs prix. Ce n’est pas le cas, selon eux, des intermédiaires de l’agroalimentaire (transformateurs) et de la grande distribution (GMS), toujours aussi discrets sur leurs marges. « Ils s’alignent sur le moins-disant. On veut plus de transparence. »

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« C’est un nouveau féodalisme, lance Philippe Cherdel. Les agriculteurs sont épuisés, ils n’en peuvent plus de ce décalage. Nous, on veut être rémunérés pour notre travail. » Sans quoi, la colère pourrait à nouveau s’exprimer de façon spectaculaire.

Olmer a écrit:
« Les producteurs continuent à travailler à perte »
Cinq ans plus tard, revoilà la FDSEA et les Jeunes agriculteurs devant Stalaven. « Les producteurs costarmoricains continuent de travailler à perte dans un contexte où la souveraineté alimentaire est définie comme une priorité », déplorent Fabienne Garel (FDSEA) et Jérémy Labbé (JA). « La situation est même plus grave, expliquent-ils. Les coûts de production ont augmenté, les normes ont progressé. Les prix, eux, n’ont pas augmenté. Ils ont même baissé. La difficulté est plus grande. » Il y a aussi la pression des associations qui luttent pour le bien-être animal. « On est prêt à y bosser, mais sans rémunération, on ne pourra pas. »

Mardi matin, à 8 h 30, les représentants syndicaux ont rencontré le préfet des Côtes-d’Armor. « On lui a demandé de faire appliquer la loi », raconte Nathalie Carmès, éleveuse de vaches laitières. La loi, c’est celle qui est issue des états généraux de l’alimentation (EGAlim). Elle est censée instaurer une réelle prise en compte des coûts de production dans l’élaboration des prix de vente. « Cette loi, elle est super si elle est appliquée », dit Jérémy Labbé. Mais deux ans après sa promulgation, le compte n’y est pas. « Pour le lait, on est rémunéré 330 € les 1 000 L. » Loin des 384 € que la production leur coûte. « On travaille à perte », déplore Nathalie Carmès.

« Les agriculteurs sont épuisés »
Toutes les filières semblent concernées. Y compris le porc. « On y a cru fin 2019. Dans l’euphorie, on s’est dit qu’on allait dépasser les 2 €/kg. On est retombé à 1,30 €, sans savoir pourquoi. Pendant ce temps-là, les prix ont augmenté dans les magasins. » Dans le cadre des EGAlim, les agriculteurs disent avoir « fait le job », en donnant leurs prix. Ce n’est pas le cas, selon eux, des intermédiaires de l’agroalimentaire (transformateurs) et de la grande distribution (GMS), toujours aussi discrets sur leurs marges. « Ils s’alignent sur le moins-disant. On veut plus de transparence. »

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dechirage de carte syndicale

Olmer a écrit:Pourquoi  les cadres de la fnsea ne réclament pas  des prix rémunérateurs ?

POUVUS QUE EUX SOIENT BIENS REMUNERES ... LES COTISANTS PEUVENT TOUJOURS PLEURER ...................

Olmer a écrit:
« Les producteurs continuent à travailler à perte »
Cinq ans plus tard, revoilà la FDSEA et les Jeunes agriculteurs devant Stalaven. « Les producteurs costarmoricains continuent de travailler à perte dans un contexte où la souveraineté alimentaire est définie comme une priorité », déplorent Fabienne Garel (FDSEA) et Jérémy Labbé (JA). « La situation est même plus grave, expliquent-ils. Les coûts de production ont augmenté, les normes ont progressé. Les prix, eux, n’ont pas augmenté. Ils ont même baissé. La difficulté est plus grande. » Il y a aussi la pression des associations qui luttent pour le bien-être animal. « On est prêt à y bosser, mais sans rémunération, on ne pourra pas. »

Mardi matin, à 8 h 30, les représentants syndicaux ont rencontré le préfet des Côtes-d’Armor. « On lui a demandé de faire appliquer la loi », raconte Nathalie Carmès, éleveuse de vaches laitières. La loi, c’est celle qui est issue des états généraux de l’alimentation (EGAlim). Elle est censée instaurer une réelle prise en compte des coûts de production dans l’élaboration des prix de vente. « Cette loi, elle est super si elle est appliquée », dit Jérémy Labbé. Mais deux ans après sa promulgation, le compte n’y est pas. « Pour le lait, on est rémunéré 330 € les 1 000 L. » Loin des 384 € que la production leur coûte. « On travaille à perte », déplore Nathalie Carmès.

« Les agriculteurs sont épuisés »
Toutes les filières semblent concernées. Y compris le porc. « On y a cru fin 2019. Dans l’euphorie, on s’est dit qu’on allait dépasser les 2 €/kg. On est retombé à 1,30 €, sans savoir pourquoi. Pendant ce temps-là, les prix ont augmenté dans les magasins. » Dans le cadre des EGAlim, les agriculteurs disent avoir « fait le job », en donnant leurs prix. Ce n’est pas le cas, selon eux, des intermédiaires de l’agroalimentaire (transformateurs) et de la grande distribution (GMS), toujours aussi discrets sur leurs marges. « Ils s’alignent sur le moins-disant. On veut plus de transparence. »

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grace a qui??? bande de blaireaux , l'HVE c'est 800 balles par exploitation , on aurai du se cotiser et payer un Brat Pit électrique a Christiane quand elle a pondu ça , ça l'aurait calmée et ça nous aurait couté moins cher

Tant que les agriculteurs ne se prendront pas de main ,ils n'obtiendront jamais rien avec cette bande de tarlouse ,ça dure depuis 40 ans le cinéma