conseil technique et comptable

pas mal parle de coca ou aspirine qu'elle sont les intere ?
comment faite vous passer sa dans le compta?

mccain a écrit:pas mal parle de coca ou aspirine qu'elle sont les intere ?
comment faite vous passer sa dans le compta?

repas

pas de soucis, tu passes ca pour les salariés, ou pour saisonniers...
un mariage c'est pas plus compliqué mais bon je rentre pas dans le détail là...

mccain a écrit:pas mal parle de coca ou aspirine qu'elle sont les intere ?
comment faite vous passer sa dans le compta?

Au vu des doses employées et des volumes achetés, il ne faut pas chercher à avoir le beurre , l'argent du beurre et la crémière, tu finance tout ça de ta poche perso , ça t'évitera des questions de ton comptable!

et sa permet de quoi faire augmenter l'efficaciter reduire les phyto ?

mccain a écrit:et sa permet de quoi faire augmenter l'efficaciter reduire les phyto ?

Il y a au moins 100 pages sur ce forum traitant du coca et de l'aspirine, bonne lecture!

Salut mccain

dans le reportage sur tv agri, Vincent FRANQUET( VF) parle du coca en tant que SDN ou SDP ( stimulateurs défenses naturelles/plantes ) tout comme l'aspirine.

Il cite les chiffres 0,5 l de coca / ha pour retrouver une efficacité similaire en fongicide avec dose fongi -15% .

Le peu d'acide phosphorique du coca "nourrit" la plante en foliaire.

VF parle de stimulation de la pompe à phosphore du système sol/plante

Séb. ;)

Mccain, ci dessous l'argumentaire de ce que je t'ai parlé la dernière fois qu'on s'est croisé

http://www.saslaboratoire.com/5-m-vale-conference-phosphore-sept-2010-resume.pdf

"Il permet une augmentation de la résistance au froid et aux maladies."
"La quantité de phosphore absorbé varie en fonction de la culture. Ainsi un blé à 90 q/ha
prélève environ 75 kg P2O5 / ha, tandis qu’une betterave à 85 t/ha prélève au total 60 kg P2O5/ ha (plante entière). Pour une même culture, l’intensité de prélèvement varie au cours ducycle de végétation : le colza absorbe jusqu’à 2 kg P2O5 / ha / jour au mois d’avril, le blé a une absorption plus régulière d’environ 0.8 kg P2O5 / ha / jour de mars à juillet.
"Les travaux de Fardeau (2005) ont montré que le coefficient réel d’utilisation (CRU)
d’un engrais phosphaté, type superphosphate, diminue significativement lorsque le temps de contact avec le sol augmente. Il est au maximum de 15 à 20 % pour une durée de contact de 1 à 2 mois, et descend à moins de 2 % après un an de contact dans un sol limoneux. D’après ces données, on peut estimer que le CRU du P d’un superphosphate apporté au mois d’août pour une culture de printemps (semis en avril) est inférieur à 5 % sur limon, et encore plus faible sile sol est calcaire.
"et les apports foliaires ?
Les études sur l’intérêt de la fertilisation phosphatée foliaire sur céréales sont peu
nombreuses : la majorité des données disponibles portent sur des cultures de maïs, de pomme de terre et surtout les cultures maraichères (tomate). Il ressort de ces études que l’intérêt de la fertilisation foliaire phosphatée se limite à la correction ponctuelle d’une situation de carence. Elle ne peut en aucun cas se substituer à la fertilisation au sol. Des essais sur pomme de terre en sol limoneux ont montré que les rendements ont diminué de 2,5 tonnes par hectare quand la dose de phosphore recommandée a été apportée pour moitié sous forme foliaire (l’autre moitié étant apportée au sol). Par contre un apport foliaire de phosphore en plus d’un apport standard au sol a permis une augmentation de rendement de 0,5 t/ha (Johnson, 1993).La fertilisation foliaire en plus d’une fertilisation au sol suffisante peut donc améliorer le rendement pour des cultures à système racinaire peu développé. Les quantités de phosphore apportées par les apports foliaires sont très faibles, de l’ordre de 1 à 2 kg de P2O5 / ha. De plus, son absorption est assez faible : en grandes cultures, il est raisonnable de penser à un coefficient d’utilisation inférieur à 10 %, ce qui est comparable à un engrais phosphaté apporté au sol avant le semis. Cette efficacité est très variable et dépend de l’espèce cultivée, des conditions environnementales et de la formulation de l’engrais. La forme acide phosphorique ressort comme la plus assimilable.

pinocio a écrit:

mccain a écrit:pas mal parle de coca ou aspirine qu'elle sont les intere ?
comment faite vous passer sa dans le compta?

Au vu des doses employées et des volumes achetés, il ne faut pas chercher à avoir le beurre , l'argent du beurre et la crémière, tu finance tout ça de ta poche perso , ça t'évitera des questions de ton comptable!

Pareil que pinocio, surtout que c'est pas des sommes énormes.

Il ne faut pas confondre les questions d'AMM et de contrôle du SRPV avec le fisc.
La condition principale pour qu'une charge soit déductible, c'est qu'elle soit engagée pour les besoins de l'exploitation.
Est-ce le cas du coca que vous achetez ? Oui donc pas d'obstacle à passer la facture en compta.
Je n'achète pas de coca mais du Paic oui et tout est déduit des BA.

Et en cas d'hypothétique contrôle (à mon avis le fisc a d'autres priorités), dire cette réalité tient plus la route que prétendre que votre employé à mi-temps boit une palette de coca tous les 15 jours.

Boustrophédon a écrit:Il ne faut pas confondre les questions d'AMM et de contrôle du SRPV avec le fisc.
La condition principale pour qu'une charge soit déductible, c'est qu'elle soit engagée pour les besoins de l'exploitation.
Est-ce le cas du coca que vous achetez ? Oui donc pas d'obstacle à passer la facture en compta.
Je n'achète pas de coca mais du Paic oui et tout est déduit des BA.

En quoi et comment le coca peut-il être déclaré ?
Il n'a pas d'AMM donc pas en temps que intrant
En temps que boisson pour fête et cérémonies .... une fois dans l'année et encore
Le paic ?? produit de lavage à la rigueur.

Le paic est un excellent dégraissant matériel, lavage carroserie et nettoyage des mains donc pas de soucis pour faire passer 50L de paic sur une ferme je pense ???!!!

Pour le Coca, je n'ai tjr rien vu de tangible en pluriannuel en tant que SDP...