.

Rappel du premier message :

.

camito a écrit:

Bravo courage à lui ...............

4 génisses à mettre en route .......... nous résisterons ..........

Telila pense à Dormir ;)

camito , tu vas au congrès ????

tekila a écrit:http://fr.justin.tv/fairmilktv_fr/b/271991317

En résumé ça fait quoi ? parce que 27 minutes, j'ai pas le temps de tout ecouter.

http://www.dgccrf.bercy.gouv.fr/concurrence/prix/observatoire_prix.htm


regardez ça , c est pas mal ,un peu long mais il faut cibler...

tekila a écrit:http://www.dgccrf.bercy.gouv.fr/concurrence/prix/observatoire_prix.htm


regardez ça , c est pas mal ,un peu long mais il faut cibler...

c'est ça il me semble le plus parlant
http://www.dgccrf.bercy.gouv.fr/concurrence/prix/lait/lait_decomposition_prix.pdf

et ça?
http://www.lelezard.com/communique-508472.html

et ça ,ça vous dit :
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Hazebrouck/actualite/Secteur_Hazebrouck/2010/12/06/article_danone-lance-un-plan-pour-accompagner-et.shtml

tekila a écrit:et ça ,ça vous dit :
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Hazebrouck/actualite/Secteur_Hazebrouck/2010/12/06/article_danone-lance-un-plan-pour-accompagner-et.shtml

c'est la solution pour passer le noeud de la corde autour du coup en douce et ensuite qui va bien serrer le noeud coulant

je vous le donne en mille

vu sur agri web :

Communiqué de presse, Bruxelles, 9 décembre 2010

Proposition législative LAIT de la Commission Européenne :

Confier un secteur laitier dérégulé aux laiteries, interprofessions et groupements de producteurs ne va pas résoudre la crise de la production laitière qui perdure. Les producteurs ont d’abord besoin d’une politique publique européenne forte, qui régule production et marché, et dynamise les régions à vocation agro-climatique laitière.

Tandis que la plupart des producteurs continuent à vendre leur lait à des prix inférieurs à leurs coûts de production, que de nombreuses exploitations laitières ont fait faillite ou tentent de survivre dans la précarité, la Commission Européenne propose un désengagement de l’UE, privatisant la politique laitière en abandonnant le secteur à ses acteurs, dans un cadre dérégulé pourtant délégitimé par les crises globales.

L’UE ne réagit aux mobilisations importantes des producteurs des deux dernières années qu’en attirant ceux-ci dans le piège de la cogestion du secteur, où il y aura toujours moins de laiteries et de chaines de supermarchés que de producteurs regroupés, surtout avec les contraintes proposées pour les groupements de producteurs. Un groupement de producteurs n’aura pas de poids face à l’industrie/grande distribution tant que la production sera dérégulée et les prix dépendant d’un marché international déterminé par une toute petite partie de la production.

[1] L’exemple du secteur des fruits et légumes, où les groupements de producteurs sont obligatoires pour obtenir les aides européennes, montrent que les groupements n’empêchent pas le marasme des prix à la production.

Les coopératives laitières, censées renforcer le pouvoir de marché des producteurs, contrôlent plus de la moitié de la production européenne.Au Danemark et aux Pays-Bas, c’est presqu’un monopole et cela n’a pas empêché la crise laitière dans ces deux pays.

vu sur agri web:


Lait : la part des producteurs devrait encore diminuer à l'avenir
par Ir JM Moreau, le 17 Décembre 2010 17h45
Selon le bureau international de recherche et d'analyse de marché Euromonitor, la part du producteur dans le prix de détail du lait dans l'UE continuera de se détériorer au cours des cinq prochaines années. Une étude récemment publiée prédit que la part du prix de vente au détail qui va aux producteurs devrait chuter de 42% à 38% entre 2009 et 2015, en ligne avec une tendance à la baisse qui a commencé au début de 2008. L'analyse prévoit que ce seraient les transformateurs qui récupéreraient la plus grande partie (leur part gagnant 3 points de pourcentage à 37%) tandis que les détaillants gagneraient 1 point à 25%.

Euromonitor explique ces prévisions par la diminution du nombre de producteurs laitiers de l'UE dans les prochaines années, la volatilité des prix entraînant la sortie du marché des petits producteurs. Dans le même temps, les gros agriculteurs, liés aux grandes coopératives, seront susceptibles de profiter de leurs structures logistiques plus efficaces en étant plus étroitement alignés avec les transformateurs. Le résultat net de ces changements devrait entraîner une réduction des coûts moyens totaux des agriculteurs en tant que groupe, ce qui permettra de réduire la part de leurs coûts dans la chaîne d'approvisionnement.

En ce qui concerne les transformateurs, Euromonitor prévoit qu'ils sont susceptibles de bénéficier d'une intégration plus étroite avec les grandes exploitations. Comme la situation économique s'améliore, on devrait s'attendre à ce qu'ils vendent plus de produits à plus grande valeur ajoutée, ce qui augmente leurs coûts de production mais aussi leurs marges.

Au niveau des détaillants, Euromonitor, prévoit pour les cinq prochaines années une plus grande polarisation du marché du lait avec les marques grand public en perte de vitesse au profit d'une part de « labels » privés et d'autre part de produits premier choix. Le bureau estime que cette tendance du marché stimulera les marges des détaillants pour le lait, mais que ce sera quelque peu compensé par la consolidation du marché et l'utilisation continue de promotions avec des prix agressifs chez les grandes chaînes de distribution.

Par ailleurs, l'évolution récente des principaux fabricants de produits laitiers, et notamment les grandes coopératives de producteurs, montre que leurs stratégies sont axées sur le renforcement de leurs positions et de leurs capacités de production dans les marchés émergents, principalement par des acquisitions, afin de satisfaire la demande croissante pour les produits laitiers transformés dans ces régions. Pour Euromonitor, les acteurs qui n'auront pas pu établir une filière pertinente sur ces marchés dynamiques verront une baisse de leur capacité concurrentielle.

Note à le pay et jmf et tirelipimpon : je ne suis pas responsable des conclusions de ce rapport et si vous avez des critiques à son sujet, adressez les à info@euromonitor.com
2 commentaires

par le Pay, le 17 Décembre 2010 18h14
Etant donné que je suis dans une coopérative, je ne devrais pas me tracasser puisque la différence va principalement au transformateur, donc ce que je ne toucherai pas en prix du lait, je le toucherai en dividende sur les parts !
Plus serieusement, qu'est ce que vous nous apportez avec des infos pareilles Mr Moreau, sinon nous saper le moral ce que vous vous faites un malin plaisir à faire .
Encore merci pour ces "bons voeux" de Noël !
Je viens de payer mais factures et tout est de nouveau parti !
Vous cà ne vous touche pas n'est ce pas, vous aller vous goinfrer sans vous tracasser... et bien bonne indigestion.
Signaler un abus

--------------------------------------------------------------------------------

par mirabelle, le 17 Décembre 2010 19h04
pas la peine de nous saper le moral... venez plutôt voir ce qui se passe tous les jours dans une ferme...moralement et physiquement...
Signaler un abus

--------------------------------------------------------------------------------



Envoyer un commentaire

commission marchés laitiers
Date :12/01/11 Semaine : 52 du 27/12 au 02/01
Collecte
Par rapport à la semaine dernière :+2%
Par rapport à la même semaine année précédente :+4.8%
Midi-Pyrénées :+2.2%
Volume national : 463 millions de litres, +3.3 %
Volume national moyenne 10 ans : 448 millions de litres

Poudre : Forte hausse en ce début d’année
Contrat Facturation
Lactosérum : 783 € pour 3400 T Lactoserum : 687 € hausse
Animale : 2357 € pour 1000 T Animale : 2127 €
Humaine : 2313 € pour 1500 T Humaine : 1965 € Baisse
Lait écrémé : Lait écrémé :
Lait entier : 3 047 € pour 630 T Lait entier :


Beurre Contrat Facturation
Plaquette 250 Gr : 4415 € Plaquette 250 Gr : 4020 € baisse
Beurre concentré : Beurre concentré : 4370 € Hausse
Cube : Cube:
82 %: Secret statistique 82 %: 3750 €



Stocks
Poudre
La commision met de la poudre sur le marché
Grosse demande en préparation pour l’algérie
Beurre
421 tonnes de stockage privé par rapport a l’an dernier ou il y avait 3235 T
Production mondiale
Allemagne et Holande cotations à la hausse
Tension sur les marchés spot
Etats-Unis : Beurre en forte hausse d, de 3650 $ à 4052 $ en 1 semaine
Poudre et caséine en hausse
Océanie : Augmentation de tous les produits
Europe : poudre et beurre en hausse

source france agrimer commentaire menbre OPL

J’ai signalé à la commission le décalage qu’il y avait entre les cotations et le prix du litre de lait.
Les produits laitiers vont bien et la projection sur les futurs contrats est encourageante, pourtant sur le terrain les industriels vont nous faire subir une baisse du prix du lait pour 2011.

j'ai reçu ma paye de lait

une misère ds le contexte que l'on se trouve !!!!!

Alors méfions nous de ceux qui parlent de régulation quand le marchè est favorable ......
avec le lait celà nous fait une belle démo !

et voila un contrat:

parle meme pas des couts de production , c est juste bon a garantir un volume regulier aux indus


http://www.apli-nationale.org/TELECHARGEMENTS/_____contrat-2.pdf

qui a deja vue un contrat laiterie ???

tof a écrit:
Ben voyons !!!
Il faudrait s'aligner sur les prix mondiaux seulement lorsqu'ils sont bas
Et trouver un systeme pour limiter les hausses...

Dans le lait y savent faire .
camito
+ membre techno +

pas vu encore , mais les producteurs Danone de mon secteur sont sous un contrat !! il faut produire 8.5 % de son quotas / mois !! si tu produits plus ,c'est au cour mondial !!!

Madame, Monsieur ,





Nombre de producteurs de lait français, malgré l’annonce choquante du ministre M. Bruno
Lemaire : + 89% pour le revenu des éleveurs laitiers (mais 89 % de zéro fait toujours zéro) sont
encore en grande difficulté.

Aujourd’hui ce même ministre, après avoir fait voter la LMA dans la précipitation, veut nous
contraindre à signer des contrats dans lesquels il n’y a aucune visibilité sur les prix, ni aucune
volonté de maitrise de la production.
Ce système a été mis en place en Suisse avec des conséquences catastrophiques : baisse de 30% du
prix du lait et dérégulation du marché ( surproduction). De nombreuses études, témoignages
(Suisse et aujourd’hui Etats-Unis ) confortent l’idée que ce système ne peut fonctionner.

Doit-on penser que le gouvernement subit la pression des industriels qui ne visent que la
croissance et les parts de marché au détriment de l’environnement et de la survie des producteurs
et des territoires.

Depuis plusieurs mois les producteurs de lait se sont organisés et ont créé l’OFFICE du LAIT
ouvert à tous. L’Office regroupe tous les acteurs de la filière afin d’établir un lieu permanent et
apaisé de discussions, de débats et de négociations « gagnant-gagnant ».
L’APLI et l’OFFICE du LAIT lancent une grande campagne d’information.



Ils ont donc le plaisir de vous inviter


Aux grandes réunions régionales OFFICE du LAIT – APLI :



Présentation de L’OFFICE (Organisation de Producteurs)
par le président de l’OFFICE du LAIT : PAUL DE MONTVALON

Avec la participation du président de L’APLI : P. Massol



le 31janvier 2011
à 14 h à Brionne
à 20 h30 à Formerie (60) - salle Louis Aragon

Espérant vivement que vous pourrez nous rejoindre et participer à cette réunion, nous vous prions
d’agréer, Madame, Monsieur, nos salutations distinguées.






Association des Producteurs de Lait INDEPENDANTS European Milk Board haed

j'ai lu une note du cniel en provenance de la laiterie annoncant une tension sur les prix pour la premiére partie de 2011!!donc le lait sera plus cher !!
de combien et pendant combien de temps !!a voir
avez vous recu la meme info?

non

marmotte a écrit:non

alors ,peut etre que ca n'arrange pas certaines laiteries de faire parvenir ce genre d'info!!!

Contractualisation dans le secteur des fruits et légumes : que vont devenir les marchés physiques ?


Dès les débats relatifs à la loi de modernisation de l’agriculture et de la pêche, la CR alertait les pouvoirs publics sur les dangers de la contractualisation à l’égard des marchés physiques dans le secteur des fruits et légumes. Malheureusement, ses craintes se confirment aujourd’hui !

Dans son avis sur la contractualisation, rendu le 13 décembre dernier, l’Autorité de la concurrence reconnaît elle-même « la difficulté, pour certains métiers, de continuer à fonctionner en direct avec les producteurs » avec un tel mécanisme.
La CR constate que les métiers de grossistes et de détaillants, vont devenir extrêmement difficiles avec la contractualisation. L’essence même de ces métiers est de travailler sur un marché et donc sur la valeur des produits. Certes, tous ces professionnels ne sont pas des anges, mais pourquoi sacrifier une filière économique pour quelques mauvais usages ?

Les détaillants, ainsi que les expéditeurs, achètent au coup par coup, selon la demande des consommateurs*. Ils n’ont pas assez de visibilité pour s’engager, comme l’exige la contractualisation, sur une période de 3 ans. Cette durée nie les réalités des marchés physiques et menace de les tuer. En effet, pour échapper aux contraintes (et à la lourde amende administrative encourue en cas de manquement), les détaillants et les expéditeurs risquent de ne plus acheter leur marchandise à des producteurs français.

Rappelons pourtant que près de 25% de la production de fruits et légumes s’échange en dehors des circuits des centrales d’achat et de la grande distribution. C’est donc un producteur sur quatre qui est menacé par la contractualisation. La conséquence sera terrible : un quart de leur débouché risque de leur échapper alors que la concurrence est déjà dure dans un secteur en crise.

La CR demande au Ministre d’exclure du champ d’application de la contractualisation les marchés physiques, que ce soit pour les fruits et légumes ou pour les autres produits de l’agriculture. A défaut, c’est tout un pan de l’agriculture qu’il condamne à mort !

* pour lesquels tout le monde trouverait saugrenue l’idée qu’ils s’engagent eux aussi à acheter une quantité de produits déterminée pour 3 ans !




Contacts presse :

Adeline Delmas – Responsable section fruits et légumes – 06 71 28 05 87
Bérengère Bosi – Chargée de Communication – 06 70 80 99 51

hermine 22 a écrit:j'ai lu une note du cniel en provenance de la laiterie annoncant une tension sur les prix pour la premiére partie de 2011!!donc le lait sera plus cher !!
de combien et pendant combien de temps !!a voir
avez vous recu la meme info?

je l'ai vu sur le site de la fa que le lait monte en prix

je viens de recevoir mon prix de base pour janvier 2011 : 322.19 €/1000 l
aucune info aprés

prix de base en janvier chez nous 310 €

prix de référence 304.62

achille a écrit:prix de base en janvier chez nous 310 €

chez nous 310 également Glac

http://www.lafranceagricole.fr/actualite-agricole/lait-laita-paiera-bien-les-allocations-au-prix-beurre-poudre-38599.html


depuis le temps que l on vous dit que ,l avenir passe par la contractualisation !

http://www.moneyweek.fr/20110247841/conseils/economies/lait-wcsi-softs-usda/

http://www.laterre.ca/elevage/le-lait-une-industrie-qui-rapporte/

http://www.leprixdulait.fr/PLM/

merci beaucoup a plm de faire cela

tekila a écrit:http://www.leprixdulait.fr/PLM/

merci beaucoup a plm de faire cela

oui c'est une bonne initiative parce que jusque la c'etait tres difficile de comparer

http://www.rtl.be/videos/video/326050.aspx

y a des belles journalistes en belgique...

voici un message d un collegue de retour d un voyage au canada....

De retour du Canada, je tiens à vous donner quelques informations sur la situation des producteurs de lait la-bas



tous les exploitations petites ou tres grosses se portent à merveille et les conditions de vie sont idéales malgrès un climat particulier



pour rappel en 2009, le prix payé était de 457 euros net / 1000 L plus participation aux bénéfices



en 2010 : prix moyen 670 dollars canadien soit 500 euros plus participation ( un producteur m'a confié qu'Agropur (la grosse coopérative) lui a placé sur un compte plus de 100 000 dollards canadien soit 75 000 euros depuis 20 ans pour une cinquantaine de VL en participation au bénéfice





actuellement : plusieurs factures de lait en poche , ils sont payés 730 dollards soit 540 euro !!!!



bref ils sont payés 200 euros de plus que nous avec un cout de revient proche du notre et bien sur sans subventions



ils leur restent donc approximativement 150 euros par 1000 L en plus que nous



En France, en 2010, certains industriels privés ont réussit à augmenter leur fortune personnel de 150 euros par 1000 litres collecté ex : Senoble

(BEL BONGRAIN LACTALIS ET SENOBLE ensemble = plus 821 millions d'euros)



la fédération des producteurs de lait avec la gestion de l'offre à la canadienne : un exemple à suivre

c est quoi :"participation aux benefices "
vous avez deja vu cela dans les gdes coops françaises ?

tekila a écrit:http://www.rtl.be/videos/video/326050.aspx

y a des belles journalistes en belgique...

et des revendications justes

http://www.clal.it/en/index.php?section=latte_intero_estero

http://www.office-du-lait.org/TELECHARGEMENTS/Annexe_contrat_-_Methode_de_calcul_VD.pdf

bon article :
http://lecercle.lesechos.fr/economie-societe/politique-eco-conjoncture/agriculture/221141331/prix-lait-sauvons-producteurs-prix-


50 euros par mille litres ,ça fait 10 a 20000 e par umo pour l eleveur !

note de conjoncture:

https://www.producteursdelaitsodiaal.fr/sodiaal/CMS/Files/conjoncture/2012/120123%20-%20Conjoncture%20-%20janvier.pdf

prix de base pour fevrier : 329.55

sodiaal nord = 319 pour janv et 321 en fevrier en A
et en B = 315 et 309

https://www.producteursdelaitsodiaal.fr/sodiaal/CMS/Files/news/prix%20B/120127%20-%20Extranet%20prix%20B%20fevrier.doc

pour Février ça sera 338,96 €

PRIX DU LAIT EN FRANCE

Ce qu'il faut savoir


Vous trouverez ci joint un article paru dans Holstein International , revu hollandaise qui traite de la génétique holstein dans le monde . Ils ont plusieurs correspondants qui sillonnent la planète pour rendre compte de la génétique prim'holstein dans le monde .
Ces correspondants sont allés voir un éleveur par pays et en ont profité pour demander quel était le prix payé en décembre dernier . Voici le résultat :
- Canada : 582.00 euros
- Pays bas 388.30
- Allemagne 382.00
- Irlande 345.00
- Usa 344.00
- Afri du sud 329.10
- Australie 320.50
- France 315.00

Serions nous le pays au monde où le prix du lait est le moins cher ?

Comment est négocié le prix du lait en France ?
Pour rappel , c'est le CNIEL organisme privé , pour lequel les producteurs paient une cotisation volontaire mais obligatoire , qui est chargé de négocier les prix . Elle est représentée pour 1/3 par la FNPL , 1/3 les coop laitières ( elles mêmes représentées par des producteurs de lait ) , 1/3 les industriels laitiers privés . Son role est également de promouvoir les produits laitiers français à l'étranger mais pour qui ? Alors qu'il est composé aux 2/3 par des producteurs de lait , le CNIEL ne semble pas vouloir rénumérer le lait à sa juste valeur . Pour rappel , dans les coop laitières , la prix du lait B ( produits industriels en concurrence sur les marchés mondiaux ) est payé plus cher que le lait A qui sert à fabriquer des produits à valeur ajoutée ( yaourts , crémes desserts , etc ).

Qui bénéficie en fait du CNIEL ? Ce sont les industriels ( coop et privés ) . Le role du CNIEL étant de promouvoir le lait français , cela leur retire donc une partie de leur travail . Pourtant le CNIEL est financé par nous mêmes . L'effet pervers également du systéme , c'est que cela leur évite de se faire concurrence entr'eux puisque chacun , grace aux accords , paie à peu prés le même prix aux producteurs . Enfin , l'intérêt des industriels est avant tout de développer les volumes et non pas d'augmenter les prix de vente en magasin puisque si les prix montent en grande surface , ils devront répercuter la hausse aux producteurs . C'est ce qui explique que le prix du lait A est moins cher que le B .Ils cherchent donc à augmenter leurs bénéfices en augmentant les volumes commercialisés .

En conclusion , la FNPL qui a le monopole de la négociation n'est pas en mesure de peser dans les négociations face aux industriels , nous refusant de croire qu'ils pourraient être complices . Le systéme de fixation du prix du lait nous coûte cher et n'est donc pas efficace . Le prix du lait A devrait être quelques dizaines d'euros plus chers que le B .

A ceux qui pensent que le prix du lait est bien payé actuellement en France : "En êtes vous sûrs ? "

tekila a écrit:PRIX DU LAIT EN FRANCE

Ce qu'il faut savoir


Vous trouverez ci joint un article paru dans Holstein International , revu hollandaise qui traite de la génétique holstein dans le monde . Ils ont plusieurs correspondants qui sillonnent la planète pour rendre compte de la génétique prim'holstein dans le monde .
Ces correspondants sont allés voir un éleveur par pays et en ont profité pour demander quel était le prix payé en décembre dernier . Voici le résultat :
- Canada : 582.00 euros
- Pays bas 388.30
- Allemagne 382.00
- Irlande 345.00
- Usa 344.00
- Afri du sud 329.10
- Australie 320.50
- France 315.00

Serions nous le pays au monde où le prix du lait est le moins cher ?

Comment est négocié le prix du lait en France ?
Pour rappel , c'est le CNIEL organisme privé , pour lequel les producteurs paient une cotisation volontaire mais obligatoire , qui est chargé de négocier les prix . Elle est représentée pour 1/3 par la FNPL , 1/3 les coop laitières ( elles mêmes représentées par des producteurs de lait ) , 1/3 les industriels laitiers privés . Son role est également de promouvoir les produits laitiers français à l'étranger mais pour qui ? Alors qu'il est composé aux 2/3 par des producteurs de lait , le CNIEL ne semble pas vouloir rénumérer le lait à sa juste valeur . Pour rappel , dans les coop laitières , la prix du lait B ( produits industriels en concurrence sur les marchés mondiaux ) est payé plus cher que le lait A qui sert à fabriquer des produits à valeur ajoutée ( yaourts , crémes desserts , etc ).

Qui bénéficie en fait du CNIEL ? Ce sont les industriels ( coop et privés ) . Le role du CNIEL étant de promouvoir le lait français , cela leur retire donc une partie de leur travail . Pourtant le CNIEL est financé par nous mêmes . L'effet pervers également du systéme , c'est que cela leur évite de se faire concurrence entr'eux puisque chacun , grace aux accords , paie à peu prés le même prix aux producteurs . Enfin , l'intérêt des industriels est avant tout de développer les volumes et non pas d'augmenter les prix de vente en magasin puisque si les prix montent en grande surface , ils devront répercuter la hausse aux producteurs . C'est ce qui explique que le prix du lait A est moins cher que le B .Ils cherchent donc à augmenter leurs bénéfices en augmentant les volumes commercialisés .

En conclusion , la FNPL qui a le monopole de la négociation n'est pas en mesure de peser dans les négociations face aux industriels , nous refusant de croire qu'ils pourraient être complices . Le systéme de fixation du prix du lait nous coûte cher et n'est donc pas efficace . Le prix du lait A devrait être quelques dizaines d'euros plus chers que le B .

A ceux qui pensent que le prix du lait est bien payé actuellement en France : "En êtes vous sûrs ? "

j'suis doublé

https://www.producteursdelaitsodiaal.fr/sodiaal/CMS/Files/news/prix%20B/120228%20-%20Extranet%20prix%20B%20mars.pdf



le B qui baisse ............

http://www.agriculteur-normand.com/actualites/sanitaire-en-2011-grand-ecart-entre-prix-du-lait-et-prix-des-charges&fldSearch=:M30U8PDB.html

le B sodiaal en mai sera de 264 e

spot:

http://www.clal.it/en/index.php?section=latte_intero_estero

tekila a écrit:le B sodiaal en mai sera de 264 e

ils ont mis la pommade au bon moment........
la fin d'année s'annonce sombre au niveau marge des ateliers laitiers
les marchés s'inversent au niveau beurre poudre donc notre prix b va continuer a descendre
les cours des matieres premieres sont tres elevées surtout pour le soja,arrivé a un niveau inedit

c est la fete au village :

on vient de voir le prix B de juin sur le net :
251e