L'ONU serre les fesses

Ils font bien d'en profiter les fous de dieu!!
Quand le coupe sera pleine, ils la prendront en pleine gu..heueue, figure!!

Les occidentaux sont bien incapables de résister à ces pressions,
Mais on oublie , à mon sens les indiens et les chinois qui, eux ne sont pas près à se laisser bouffer la laine sur le dos. Exemple, à Bombay (je crois) le mur qui entoure la communauté musulamane à été porté de 4 m à 6 m de hauteur.
Las bas, ils ont intéret à faire profil bas.
Nous saurons au moins où nous refugier quand la situation deviendra intenable chez nous.

Daniel

Daniel, ne noircissez pas le tableau:
La résolution de l'ONU pourrait nous aider à nous débarrasser de certains membres du gouvernement, je pense tout particulièrement à notre ministre de la culture et de la francophonie, Frédo Mitterrand, en l'envoyant se faire voir chez les muzzs.
Enfin c'est ce que je ferais si je m'appelais Sarkozy.

le pouvoir, le fanatisme et la connerie des hommes leurs font faire et dire n'importe quoi, nous vivons dans un monde ou le pouvoir grise et rend con

vous allez me dire que je rêve que je suis idéaliste mais au 21eme siècle , j'espère que ces gens la ce sortirons les doigts du cul et peut être nous laisserons vivre dans un monde en paix

les hommes politiques aujourd'hui sont des pantins manipulé par l'oligarchie , rien dans le pantalon mais tout dans le portefeuille
les religieux veulent nous faire avaler des inepties et je vous dis pas ce que je pense deux( notre cher pape, un rigolo rétrograde)

jef81 a écrit:(...) les hommes politiques aujourd'hui (...)rien dans le pantalon

Ha mais pardon jef, Frédo il en a dans le pantalon, il y a des Thaîlandais et des Marocains qui peuvent en témoigner, vous n'avez pas lu son livre ?

jef81 a écrit:les religieux veulent nous faire avaler des inepties et je vous dis pas ce que je pense d'eux

Oui et il n'y a pas qu'eux, des athées aussi. Par exemple Che Guevara et Fidel Castro, à Cuba ils ont fait enfermer des homos. Un seul l'a regretté publiquement longtemps après, l'autre est mort avant.

La France a été, avec les Pays-Bas et un groupe pilote d’Etats (Argentine, Brésil, Gabon, Japon, Norvège), l’initiatrice d’une Déclaration relative aux droits de l’Homme et à l’orientation sexuelle et l’identité de genre, portée en décembre 2008 devant la 63e session de l’Assemblée générale des Nations unies à New York. Cette initiative, endossée par 68 pays, soit plus d’un tiers des membres de l’Assemblée générale, fut couronnée de succès : pour la première fois dans l’histoire de l’AGNU, des Etats de tous les continents se sont prononcés contre les violations des droits de l’Homme fondées sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre.

Les signataires de la Déclaration relative aux droits de l’Homme et à l’orientation sexuelle et l’identité de genre sont : l’Albanie, l’Allemagne, (...), la Bosnie-Herzégovine, (...) la Croatie, Cuba,(...) les Etats-Unis (qui se sont joints à cette déclaration en janvier 2009), (...) la Pologne, etc.

la Troisième Commission de l’Assemblée générale des Nations unies a adopté un amendement remplaçant la phrase « la discrimination, notamment fondée sur les préférences sexuelles » par « la discrimination, quel qu’en soit le fondement », alors que depuis 10 ans, l’orientation sexuelle était explicitement mentionnée.
La motion est passée par 79 voix contre 70 et a été approuvée par l’Assemblée Générale de l’ONU par 165 voix en faveur et 10 abstentions.

Contrairement à ce qu'affirme Béret vert, sans doute intoxiqué par une propagande (sans fondement) d'activistes (du fondement) , la discrimination pour préférences sexuelles reste condamnée, mais pas explicitement...

On peut légitimement déceler des intentions discriminantes - que je condamne - dans la demande de certains gouvernements à supprimer cette mention explicite.
On peut aussi comprendre la gêne des représentants des pays libéraux à refuser d'étendre la mesure "quel qu'en soit le fondement". En effet, si on spécifie un par un tous les motifs possibles de discrimination, on n'en finit pas, ou alors ou pond des textes de lois à la française, avec des milliers de pages, des tonnes de papier, des textes que même les juges et avocats, à fortiori les policiers et simples citoyens ne peuvent pas connaître par cœur!

La loi, le droit en général, doit il spécifier tous les cas de figure qui peuvent se présenter dans les conflits possibles entre les personnes?
Pour illustrer cette question qui se pose au sujet de la discrimination voire de la condamnation des homosexuels, voici un exemple plus "léger", qui prête à sourire, mais qui illustre ce à quoi peut aboutir l'excès de zèle législatif et règlementaire:
La loi doit-elle spécifier la distance à respecter entre les pieds de deux personnes, dans un compartiment de train, pour garantir le "vivre ensemble"?


Merci à Polomi pour m'avoir fait découvrir ce juriste, Jean Carbonnier.

Il s'agit d'une résolution sur les exécutions extrajudiciaires: une sorte de condamnation morale contre les éxécutions d'homos par exemple. Une manière de les souligner, parce que, comme vous dites, on est pas sorti de l'auberge avec "toutes les discriminations".
Donc cela a peu à voir avec les arguments de Droit que vous nous proposez, bien que ceux-ci soit éminément intéressants et je vous remercie de participer à ce débat et de l'enrichir.

Les exécutions extrajudiciaires sont les applications de peine de mort n'ayant aucun fondement juridique ou n'ayant pas fait l'objet d'un procès, bien qu'lles soient commises par des Etats et autres "autorités"... tribales par exemple.
En fait, c'est comme je le soulignais une arme "morale" en moins qui permettait de faire pression en réunissant la communauté internationale contre un pays comettant ce genre d'exactions en marge de sa loi.

Concrètement, un frein à l'envahissement de pays magrebhins et africains, etc, par la Charia. Par exemple. Parce que "toutes" les discriminations, ça ne veut plus rien dire à mon avis. Une façon de noyer le poisson.

Mais je peux me tromper.

Béret vert a écrit:Il s'agit d'une résolution sur les exécutions extrajudiciaires: une sorte de condamnation morale contre les éxécutions d'homos par exemple. Une manière de les souligner, parce que, comme vous dites, on est pas sorti de l'auberge avec "toutes les discriminations".
Donc cela a peu à voir avec les arguments de Droit que vous nous proposez, bien que ceux-ci soit éminément intéressants et je vous remercie de participer à ce débat et de l'enrichir.

N'ayant pas davantage cherché de source, je vous fais confiance sur le fait qu'il ne s'agit que des exécutions sans procès. Mais alors, y aurait il des exécutions sans procès pour d'autres motifs qui ne seraient pas condamnables? Nous savons qu'il existe malheureusement dans des pays membres de l'ONU des exécutions, lapidations et autres sévices sommaires, avec ou sans procès, pour bien d'autres motifs tout aussi injustes! Mon argument de droit me semble peut-être encore plus pertinent!

Les exécutions extrajudiciaires sont les applications de peine de mort n'ayant aucun fondement juridique ou n'ayant pas fait l'objet d'un procès, bien qu'lles soient commises par des Etats et autres "autorités"... tribales par exemple.
En fait, c'est comme je le soulignais une arme "morale" en moins qui permettait de faire pression en réunissant la communauté internationale contre un pays comettant ce genre d'exactions en marge de sa loi.

Ainsi donc L'ONU ne serait pas opposée à ce qu'on exécute un homosexuel (par exemple), pour le seul motif d'avoir eu des relations sexuelles avec un adulte consentant, après un procès et en "vertu" d'une loi nationale édictée par un État, démocratique ou non? Je crains que ce soit le cas, hélas...

Concrètement, un frein à l'envahissement de pays magrebhins et africains, etc, par la Charia. Par exemple. Parce que "toutes" les discriminations, ça ne veut plus rien dire à mon avis. Une façon de noyer le poisson.

Mais je peux me tromper.

Moi aussi!

Autre exemple: le racisme et l'antisémitisme.
Je n'ai toujours pas compris pourquoi la loi distingue l'antisémitisme de tous les racismes. Y en aurait il un plus condamnable que les autres?

La loi doit elle stipuler tous les motifs de discrimination? Race (sensée ne pas exister), ethnie, religion, sexualité, sexe (genre), obésité, taille, âge, diplôme, couleur de cheveux (albinos en Afrique), etc.

Je vous rejoins sur ce que vous dites. Mon post initial manquait de clarté, et ne mettait pas assez en avant la distinction entre Droit juridique et pressions morales.
Pour ce qui est de l'antisémitisme, dont la notion juridique s'explique aisément par le contexte, les sémites, précisément Juifs ayant longtemps vécu ( grosso modo depuis le moyen-age) avec des lois spécifiques au sein de nos sociétés.
Spécificité qu'ils ont eux-mêmes souhaités, ou craints suivant les périodes.
Pour l'heure, je suis contre le concept de "discrimination" et son utilisation abusive, mais je reconnais qu'il est bien utile face à de graves injustices.
Je regrette beaucoup l'abus du juridisme également.