Histoire de l'agriculture

Toutes cette semaine, la fabrique de l'histoire sur France culture revient sur l'histoire de cette profession.

Vu la qualité du travail d'Emmanuel LORENTIN, çà risque de valoir le déplacement.

Aujourd'hui Michel TESSEDOU, un ancien JA qui claqua la porte de la grande maison.

C'est Michel TEYSSEDOU un Auvergnat comme CHAMB

j ai ecoute l emission en entier ,et je trouve M T un peu tecno et choque de son attitude envers son pere .a l ecouter il sait pas faire passer le message de la situation agricole avec de l emotion .donv c est pour inities

c'est la fin de l'histoire

C'est assez rigolo d'entendre pourquoi les marques étrangères ont supplantés les français. Ca va plaire à Pato.

Entre les lignes, on entend aussi des clés de nos soucis aujourd'hui.

http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/fabriquenew/fiche.php?diffusion_id=81131

un second plan marshall serait bien nécessaire , pas pour moderniser mais pour empêcher qu' elle perde son âme !!!!

les exploitations familiales , qui sont les gardiens du temple de la paysannerie , sont autant de petits commerces qui vont disparaitre et alimenter les grosses surfaces constituées de capitaux issus du monde du BTP , de l' industrie , mais aussi de gens qui ont compris les futurs enjeux de l' alimentation sur l' échiquier mondial !!!!

en europe , nos dirigeants semblent se moquer de tout ça , et en France encore plus !!!!

pendant que l' épouse du président fait son show bizz , monsieur laisse exploser les déficits et la dette , jouons de la guitare sur les toits et laissons aller notre agriculture aux requins de la mondialisation !!! tout va bien !!!

Tu as entendu le passage sur les tracteur qui servent de base au char d'assauts.

Les américains eux avait des tracteurs pour tirer mais aussi porter.

Le passage sur le JA et les femmes est pas mal non plus. On veux un tracteur pour montrer sa force et se faire plaisir.

J'avais un RDV ce matin et je n'ai pas pu écoutez l'histoire du blé mais je pense que çà vaut le coup.