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articles de presse!
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articles de presse!
Rappel du premier message :
bonsoir tout le monde,
je crois que je vais poster quelques articles de presse régulièrement....
bonsoir tout le monde,
je crois que je vais poster quelques articles de presse régulièrement....
fab403- + membre techno +
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Re: articles de presse!
voici un autre article: vous en pensez quoi ? je ne peux mettre l'image en direct car on n'arrive pas à lire l'article en entier. vous pro-trump vous continuez à voter pour lui si vous etes américain ?
https://servimg.com/view/18310695/167
https://servimg.com/view/18310695/167
fab403- + membre techno +
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Re: articles de presse!
Parle nous du fils Biden, on ne sait jamais......fab403 a écrit:voici un autre article: vous en pensez quoi ? je ne peux mettre l'image en direct car on n'arrive pas à lire l'article en entier. vous pro-trump vous continuez à voter pour lui si vous etes américain ?
https://servimg.com/view/18310695/167
fergie62- + membre techno +
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Re: articles de presse!
c'est le fils biden qui se présente ? donc tu continuerai a voter pour lui !!! reponds à la question !fergie62 a écrit:Parle nous du fils Biden, on ne sait jamais......fab403 a écrit:voici un autre article: vous en pensez quoi ? je ne peux mettre l'image en direct car on n'arrive pas à lire l'article en entier. vous pro-trump vous continuez à voter pour lui si vous etes américain ?
https://servimg.com/view/18310695/167
le pere biden n'est pas responsable de son fils, il peut en etre désolé c'est tout.
fab403- + membre techno +
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Re: articles de presse!
rappelles moi, la video vient d'ou ?
fab403- + membre techno +
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Re: articles de presse!
il ne peut pas, dire l'inverse tourne au ridiculebzh centre a écrit:il est capable de plus que tu ne t'imagine.
parler du conflit en ukraine pour le 6 juin est hélas encore une bévue.
méler les élections européennes en plus dans son discours en est une autre.
Invité- Invité
Re: articles de presse!
bon je n'ai pas retrouvé le post de fergie sur le temoignage d'une roumaine qui est bien contente d'etre en france avec un logement et une allocation ...
et là nous sommes avec la meme nationalité. vous en pensez quoi ?
https://i.servimg.com/u/f23/18/31/06/95/17183610.jpg
et là nous sommes avec la meme nationalité. vous en pensez quoi ?
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fab403- + membre techno +
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Re: articles de presse!
Vraiment dégueulasse!
Mais pas fréquent.
C'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin ce genre de fait divers.
Un chasseur?
Peu propable.
Le permis de chasse n'est pas délivré a des détraqués mentaux, enfin pas ceux obtenu dans les dix dernières années.
Mais pas fréquent.
C'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin ce genre de fait divers.
Un chasseur?
Peu propable.
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rivarol- + membre techno +
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Outre-tombe
Re: articles de presse!
les règlements de compte chez les roms sont monnaie courante..... ecrire ce genre d article en laissant planer le doute que cnews et europe1 n ont rien fait pour en parler..... ni meme france inter ou bfmtv? encore un journaliste bien rouge qui se prend les pieds dans le tapisfab403 a écrit:bon je n'ai pas retrouvé le post de fergie sur le temoignage d'une roumaine qui est bien contente d'etre en france avec un logement et une allocation ...
et là nous sommes avec la meme nationalité. vous en pensez quoi ?
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fergie62- + membre techno +
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Artesië
Re: articles de presse!
par contre des roms qui chassent sans permis c est 99.9%.....rivarol a écrit:Vraiment dégueulasse!
Mais pas fréquent.
C'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin ce genre de fait divers.
Un chasseur?
Peu propable.
Le permis de chasse n'est pas délivré a des détraqués mentaux, enfin pas ceux obtenu dans les dix dernières années.
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Re: articles de presse!
vous avez bien lu l'article , on a trouvé les coupables qui ont reconnu les faits.rivarol a écrit:Vraiment dégueulasse!
Mais pas fréquent.
C'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin ce genre de fait divers.
Un chasseur?
Peu propable.
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Re: articles de presse!
allo la lune, ici houston! ils ont trouvé les coupables. le canard enchainé n'est ni de droite ni de gauche. ils tapent sur tout le monde. on peut les considerer comme des anarchistes (je ne sais pas trop les identifier) je dirais qu'ils tapent sur le pouvoir en place déjà quelqu'il soit. je vais bien rigoler dans trois semaines... pour voir votre chute inexorable. pour l'instant je n'irai pas voter pour que vous puissiez passer.fergie62 a écrit:les règlements de compte chez les roms sont monnaie courante..... ecrire ce genre d article en laissant planer le doute que cnews et europe1 n ont rien fait pour en parler..... ni meme france inter ou bfmtv? encore un journaliste bien rouge qui se prend les pieds dans le tapisfab403 a écrit:bon je n'ai pas retrouvé le post de fergie sur le temoignage d'une roumaine qui est bien contente d'etre en france avec un logement et une allocation ...
et là nous sommes avec la meme nationalité. vous en pensez quoi ?
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Re: articles de presse!
regarde kendji , c'etait un bigleux parti à la chasse au hérisson qui a loupé son tirfergie62 a écrit:par contre des roms qui chassent sans permis c est 99.9%.....rivarol a écrit:Vraiment dégueulasse!
Mais pas fréquent.
C'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin ce genre de fait divers.
Un chasseur?
Peu propable.
Le permis de chasse n'est pas délivré a des détraqués mentaux, enfin pas ceux obtenu dans les dix dernières années.
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Re: articles de presse!
enfin il y a une deuxième version: il a osé demandé un pain au chocolat et nous on pardonne pas dans les landes. ici c'est une putain de chocolatine diou biban!!!
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Re: articles de presse!
Surtout que qd l'on poste un article de journal sans en connaitre la date et en demandant un avis ,c'est aussi d'un comportement a polémique inutile !!!!! .fergie62 a écrit:les règlements de compte chez les roms sont monnaie courante..... ecrire ce genre d article en laissant planer le doute que cnews et europe1 n ont rien fait pour en parler..... ni meme france inter ou bfmtv? encore un journaliste bien rouge qui se prend les pieds dans le tapisfab403 a écrit:bon je n'ai pas retrouvé le post de fergie sur le temoignage d'une roumaine qui est bien contente d'etre en france avec un logement et une allocation ...
et là nous sommes avec la meme nationalité. vous en pensez quoi ?
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Tel que cette article est écrit , le but est de créer la polémique ...... journaliste qui ne fait pas sont travail correctement car il ne relate pas du tout le déroulement .L'arrestation date seulement d'il y a quelques jours ..........
Cette affaire vient juste de ce dénouer ce début juin , donc tant que l'on ne sait pas et que l'enquête est en cours , ce n'est pas la place des journaliste de faire des débats inutiles ........... CQFD
Ces fait d'agression avec arme ca devient presque le quotidien sur notre territoire ..... ,arme a feu ,arme blanche , voir coup d'extrême violence sur personne a terre dans le but de tuer ...... ,comme il y a quelques jours a Angers ,pour une dette de moins de 100€ ............. , coup de couteau par une chauffard a une autre dame qui lui faisait le reproche ,je ne sait plus dans quelle ville très récemment aussi ,un ancien rouer de coup par des jeunes qui faisaient les cons en scooteur sur le trottoir il y a quelque jour , ...... etc etc .
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alceste aime ce message
Re: articles de presse!
tu as raison heureusement c'est pas fréquent.rivarol a écrit:Vraiment dégueulasse!
Mais pas fréquent.
C'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin ce genre de fait divers.
Un chasseur?
Peu propable.
Le permis de chasse n'est pas délivré a des détraqués mentaux, enfin pas ceux obtenu dans les dix dernières années.
mais je trouve que depuis le covid , il y a de plus en plus de gens agressifs. et c'est dépriment quelque part...
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Re: articles de presse!
si c'est très bien relaté et les coupables ont reconnu leurs torts. mais comme je disais les gens sont devenus plus agressifs depuis le covid et une partie supplementaire de gens passe à l'acte.jardi85 a écrit:Surtout que qd l'on poste un article de journal sans en connaitre la date et en demandant un avis ,c'est aussi d'un comportement a polémique inutile !!!!! .fergie62 a écrit:les règlements de compte chez les roms sont monnaie courante..... ecrire ce genre d article en laissant planer le doute que cnews et europe1 n ont rien fait pour en parler..... ni meme france inter ou bfmtv? encore un journaliste bien rouge qui se prend les pieds dans le tapisfab403 a écrit:bon je n'ai pas retrouvé le post de fergie sur le temoignage d'une roumaine qui est bien contente d'etre en france avec un logement et une allocation ...
et là nous sommes avec la meme nationalité. vous en pensez quoi ?
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Tel que cette article est écrit , le but est de créer la polémique ...... journaliste qui ne fait pas sont travail correctement car il ne relate pas du tout le déroulement .L'arrestation date seulement d'il y a quelques jours ..........
Cette affaire vient juste de ce dénouer ce début juin , donc tant que l'on ne sait pas et que l'enquête est en cours , ce n'est pas la place des journaliste de faire des débats inutiles ........... CQFD
Ces fait d'agression avec arme ca devient presque le quotidien sur notre territoire ..... ,arme a feu ,arme blanche , voir coup d'extrême violence sur personne a terre dans le but de tuer ...... ,comme il y a quelques jours a Angers ,pour une dette de moins de 100€ ............. , coup de couteau par une chauffard a une autre dame qui lui faisait le reproche ,je ne sait plus dans quelle ville très récemment aussi ,un ancien rouer de coup par des jeunes qui faisaient les cons en scooteur sur le trottoir il y a quelque jour , ...... etc etc .
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LANDES
Re: articles de presse!
rien a voir avec le covid !!!fab403 a écrit:si c'est très bien relaté et les coupables ont reconnu leurs torts. mais comme je disais les gens sont devenus plus agressifs depuis le covid et une partie supplementaire de gens passe à l'acte.jardi85 a écrit:Surtout que qd l'on poste un article de journal sans en connaitre la date et en demandant un avis ,c'est aussi d'un comportement a polémique inutile !!!!! .fergie62 a écrit:les règlements de compte chez les roms sont monnaie courante..... ecrire ce genre d article en laissant planer le doute que cnews et europe1 n ont rien fait pour en parler..... ni meme france inter ou bfmtv? encore un journaliste bien rouge qui se prend les pieds dans le tapisfab403 a écrit:bon je n'ai pas retrouvé le post de fergie sur le temoignage d'une roumaine qui est bien contente d'etre en france avec un logement et une allocation ...
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Tel que cette article est écrit , le but est de créer la polémique ...... journaliste qui ne fait pas sont travail correctement car il ne relate pas du tout le déroulement .L'arrestation date seulement d'il y a quelques jours ..........
Cette affaire vient juste de ce dénouer ce début juin , donc tant que l'on ne sait pas et que l'enquête est en cours , ce n'est pas la place des journaliste de faire des débats inutiles ........... CQFD
Ces fait d'agression avec arme ca devient presque le quotidien sur notre territoire ..... ,arme a feu ,arme blanche , voir coup d'extrême violence sur personne a terre dans le but de tuer ...... ,comme il y a quelques jours a Angers ,pour une dette de moins de 100€ ............. , coup de couteau par une chauffard a une autre dame qui lui faisait le reproche ,je ne sait plus dans quelle ville très récemment aussi ,un ancien rouer de coup par des jeunes qui faisaient les cons en scooteur sur le trottoir il y a quelque jour , ...... etc etc .
c'est depuis les gilets jaunes !!!
merci macron et surtout l'autre bon a rien de edouard phillipe 1er ministre a l'époque !!!
c'est depuis sa débilité de 80kmh et de taxer l'essence au moment de l'année ou elle été le plus haut !!! il est seul responsable du bordel actuel !!
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normandie
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Re: articles de presse!
NON ..... qd on lit l'article sans avoir connaissance prés able des faits , il n'est pas clairement préciser que les arrestations sont récentes .... il fait simplement état de leur déclaration et aveux a la date du 8 juin comme tu le souligne .....fab403 a écrit:si c'est très bien relaté et les coupables ont reconnu leurs torts. mais comme je disais les gens sont devenus plus agressifs depuis le covid et une partie supplementaire de gens passe à l'acte.jardi85 a écrit:
- Spoiler:
Surtout que qd l'on poste un article de journal sans en connaitre la date et en demandant un avis ,c'est aussi d'un comportement a polémique inutile !!!!! .les règlements de compte chez les roms sont monnaie courante..... ecrire ce genre d article en laissant planer le doute que cnews et europe1 n ont rien fait pour en parler..... ni meme france inter ou bfmtv? encore un journaliste bien rouge qui se prend les pieds dans le tapisbon je n'ai pas retrouvé le post de fergie sur le temoignage d'une roumaine qui est bien contente d'etre en france avec un logement et une allocation ...
et là nous sommes avec la meme nationalité. vous en pensez quoi ?
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Tel que cette article est écrit , le but est de créer la polémique ...... journaliste qui ne fait pas sont travail correctement car il ne relate pas du tout le déroulement .L'arrestation date seulement d'il y a quelques jours ..........
Cette affaire vient juste de ce dénouer ce début juin , donc tant que l'on ne sait pas et que l'enquête est en cours , ce n'est pas la place des journaliste de faire des débats inutiles ........... CQFD
Ces fait d'agression avec arme ca devient presque le quotidien sur notre territoire ..... ,arme a feu ,arme blanche , voir coup d'extrême violence sur personne a terre dans le but de tuer ...... ,comme il y a quelques jours a Angers ,pour une dette de moins de 100€ ............. , coup de couteau par une chauffard a une autre dame qui lui faisait le reproche ,je ne sait plus dans quelle ville très récemment aussi ,un ancien rouer de coup par des jeunes qui faisaient les cons en scooteur sur le trottoir il y a quelque jour , ...... etc etc .
Et je te rejoint a 100% sur ton affirmation ........ mais la , personne s'en inquiète ..... de ces véritables troubles de comportement ......
Pour Bingo , je parle pas du bordel actuel ou je te rejoint ,je parle de ces déchainements de violence dans le but de supprimé par la mort ..... et la rien a voir avec le bazard ,c'est des troubles de comportements chez une part grandissante de la population ......
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Vendée
Re: articles de presse!
La justice ne fait plus peur, tu prends 18-20ans pour meurtre....dans une société sans avenir c est pas insurmontables surtout que portable, drogue et autres sont facilement accessible.....jardi85 a écrit:NON ..... qd on lit l'article sans avoir connaissance prés able des faits , il n'est pas clairement préciser que les arrestations sont récentes .... il fait simplement état de leur déclaration et aveux a la date du 8 juin comme tu le souligne .....fab403 a écrit:si c'est très bien relaté et les coupables ont reconnu leurs torts. mais comme je disais les gens sont devenus plus agressifs depuis le covid et une partie supplementaire de gens passe à l'acte.jardi85 a écrit:
- Spoiler:
Surtout que qd l'on poste un article de journal sans en connaitre la date et en demandant un avis ,c'est aussi d'un comportement a polémique inutile !!!!! .les règlements de compte chez les roms sont monnaie courante..... ecrire ce genre d article en laissant planer le doute que cnews et europe1 n ont rien fait pour en parler..... ni meme france inter ou bfmtv? encore un journaliste bien rouge qui se prend les pieds dans le tapisbon je n'ai pas retrouvé le post de fergie sur le temoignage d'une roumaine qui est bien contente d'etre en france avec un logement et une allocation ...
et là nous sommes avec la meme nationalité. vous en pensez quoi ?
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Tel que cette article est écrit , le but est de créer la polémique ...... journaliste qui ne fait pas sont travail correctement car il ne relate pas du tout le déroulement .L'arrestation date seulement d'il y a quelques jours ..........
Cette affaire vient juste de ce dénouer ce début juin , donc tant que l'on ne sait pas et que l'enquête est en cours , ce n'est pas la place des journaliste de faire des débats inutiles ........... CQFD
Ces fait d'agression avec arme ca devient presque le quotidien sur notre territoire ..... ,arme a feu ,arme blanche , voir coup d'extrême violence sur personne a terre dans le but de tuer ...... ,comme il y a quelques jours a Angers ,pour une dette de moins de 100€ ............. , coup de couteau par une chauffard a une autre dame qui lui faisait le reproche ,je ne sait plus dans quelle ville très récemment aussi ,un ancien rouer de coup par des jeunes qui faisaient les cons en scooteur sur le trottoir il y a quelque jour , ...... etc etc .
Et je te rejoint a 100% sur ton affirmation ........ mais la , personne s'en inquiète ..... de ces véritables troubles de comportement ......
Pour Bingo , je parle pas du bordel actuel ou je te rejoint ,je parle de ces déchainements de violence dans le but de supprimé par la mort ..... et la rien a voir avec le bazard ,c'est des troubles de comportements chez une part grandissante de la population ......
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Artesië
Re: articles de presse!
en fait Covid et gilets jaunes y'a à peine 15 jours d'écart, c'est le fameux Covid qui a mis les gilets jaunes sous silence, à la niche les pauvres et fermez là !bingo a écrit:rien a voir avec le covid !!!fab403 a écrit:si c'est très bien relaté et les coupables ont reconnu leurs torts. mais comme je disais les gens sont devenus plus agressifs depuis le covid et une partie supplementaire de gens passe à l'acte.jardi85 a écrit:Surtout que qd l'on poste un article de journal sans en connaitre la date et en demandant un avis ,c'est aussi d'un comportement a polémique inutile !!!!! .fergie62 a écrit:les règlements de compte chez les roms sont monnaie courante..... ecrire ce genre d article en laissant planer le doute que cnews et europe1 n ont rien fait pour en parler..... ni meme france inter ou bfmtv? encore un journaliste bien rouge qui se prend les pieds dans le tapisfab403 a écrit:bon je n'ai pas retrouvé le post de fergie sur le temoignage d'une roumaine qui est bien contente d'etre en france avec un logement et une allocation ...
et là nous sommes avec la meme nationalité. vous en pensez quoi ?
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Tel que cette article est écrit , le but est de créer la polémique ...... journaliste qui ne fait pas sont travail correctement car il ne relate pas du tout le déroulement .L'arrestation date seulement d'il y a quelques jours ..........
Cette affaire vient juste de ce dénouer ce début juin , donc tant que l'on ne sait pas et que l'enquête est en cours , ce n'est pas la place des journaliste de faire des débats inutiles ........... CQFD
Ces fait d'agression avec arme ca devient presque le quotidien sur notre territoire ..... ,arme a feu ,arme blanche , voir coup d'extrême violence sur personne a terre dans le but de tuer ...... ,comme il y a quelques jours a Angers ,pour une dette de moins de 100€ ............. , coup de couteau par une chauffard a une autre dame qui lui faisait le reproche ,je ne sait plus dans quelle ville très récemment aussi ,un ancien rouer de coup par des jeunes qui faisaient les cons en scooteur sur le trottoir il y a quelque jour , ...... etc etc .
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Honoré de Barzac aime ce message
Re: articles de presse!
les gilets jaunes automne 2018-printemps 2019 ensuite c'etait un mouvement très essoufflé...saturnus17 a écrit:en fait Covid et gilets jaunes y'a à peine 15 jours d'écart, c'est le fameux Covid qui a mis les gilets jaunes sous silence, à la niche les pauvres et fermez là !bingo a écrit:rien a voir avec le covid !!!fab403 a écrit:si c'est très bien relaté et les coupables ont reconnu leurs torts. mais comme je disais les gens sont devenus plus agressifs depuis le covid et une partie supplementaire de gens passe à l'acte.jardi85 a écrit:Surtout que qd l'on poste un article de journal sans en connaitre la date et en demandant un avis ,c'est aussi d'un comportement a polémique inutile !!!!! .fergie62 a écrit:les règlements de compte chez les roms sont monnaie courante..... ecrire ce genre d article en laissant planer le doute que cnews et europe1 n ont rien fait pour en parler..... ni meme france inter ou bfmtv? encore un journaliste bien rouge qui se prend les pieds dans le tapisfab403 a écrit:bon je n'ai pas retrouvé le post de fergie sur le temoignage d'une roumaine qui est bien contente d'etre en france avec un logement et une allocation ...
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Tel que cette article est écrit , le but est de créer la polémique ...... journaliste qui ne fait pas sont travail correctement car il ne relate pas du tout le déroulement .L'arrestation date seulement d'il y a quelques jours ..........
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Ces fait d'agression avec arme ca devient presque le quotidien sur notre territoire ..... ,arme a feu ,arme blanche , voir coup d'extrême violence sur personne a terre dans le but de tuer ...... ,comme il y a quelques jours a Angers ,pour une dette de moins de 100€ ............. , coup de couteau par une chauffard a une autre dame qui lui faisait le reproche ,je ne sait plus dans quelle ville très récemment aussi ,un ancien rouer de coup par des jeunes qui faisaient les cons en scooteur sur le trottoir il y a quelque jour , ...... etc etc .
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dgé aime ce message
Re: articles de presse!
[url=
« Lorsque je suis arrivé à LCI en 2000, qui m’a fait remarquer que j’étais la première noire ? Aucun français, personne, mais les journalistes », raconte @christine_kelly #OMSLT #Europe1 pic.twitter.com/InUDftXTOH
— Europe 1 (@Europe1) June 27, 2024
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iris, escrito17, evergreen et herve76 aiment ce message
Re: articles de presse!
Ca me fait toujours rire parce que la chaîne ou il y a le plus de diversité c'est cnews sur bfm on a les donneurs de leçons
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Re: articles de presse!
Respect ,Christine !
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dgé, rlt, evergreen, saturnus17, herve76 et TRD aiment ce message
Re: articles de presse!
Ne rigoler pas, manipulation digne du Hamas, notre Fab va nous, mais est ce vraiment un Insoumis en tout cas, avoir le nez pété avec la chemise blanche, les miracles viennent souvent de la gauche
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dgé aime ce message
Re: articles de presse!
et sinon fergie qu'est ce que tu penses de cette video ?
fab403- + membre techno +
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Re: articles de presse!
et celle-là tu en penses quoi ?
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Re: articles de presse!
et celle-là ?
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Re: articles de presse!
une autre !
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Re: articles de presse!
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Re: articles de presse!
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Re: articles de presse!
tiens une autre pour les adorateurs de poutine et anti-wokisme
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Re: articles de presse!
Décidément tu comprend rien......
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Re: articles de presse!
décidement, tu n'es jamais à court d'arguments , lorsque tu exprimes tes idéesfergie62 a écrit:Décidément tu comprend rien......
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Re: articles de presse!
la fameuse dediabolisation du RN: y a encore du boulot et faire le menage dans ses propres rangs avant d'etre de droite et non d'extrème droite, hein fergie (excuse -moi je sais que tu vas lire!)
https://larevuedesmedias.ina.fr/lorigine-des-revelations-sur-la-centaine-de-brebis-galeuses-du-rn?utm_source=pocket-newtab-fr-fr
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Re: articles de presse!
fab403 a écrit:la fameuse dediabolisation du RN: y a encore du boulot et faire le menage dans ses propres rangs avant d'etre de droite et non d'extrème droite, hein fergie (excuse -moi je sais que tu vas lire!)
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tu la lu l article ?, et tu viens nous emmerder avec sa , un article sans fondement , vide d intérêts sorti de la délation par de la presse subventionnée signé par un journaleux de gauche écolo
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dgé et fergie62 aiment ce message
Re: articles de presse!
fab403 a écrit:décidement, tu n'es jamais à court d'arguments , lorsque tu exprimes tes idéesfergie62 a écrit:Décidément tu comprend rien......
Pendant qu ils cherchent des brebis gameuse, on a la peste un peu dans ton genre
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Re: articles de presse!
mais que dit la presse étrangère de langue anglaise sur ces éléctions ?
Il y a une semaine – après que le Rassemblement National (RN, ou « Rassemblement National » en anglais) d'extrême droite de Marine Le Pen et ses alliés ont remporté le premier tour des élections législatives anticipées en France – la presse mondiale a traité cela comme un événement sismique, et avec pas de petite angoisse. Les Unes du monde entier ont fait la une des images d'une Le Pen souriante , décrivant son parti, de diverses manières, comme « si proche du pouvoir » et ayant réalisé un « prélude » à son « triomphe » ; un journal italien s'est moqué d'elle sous le nom de Napoléon. (« NapoLe Pen. ») Dans les pages du Washington Post , Emmanuel Macron – le président prétendument centriste, qui a qualifié les élections anticipées de comme une sorte de défi à la montée du soutien à l'extrême droite – a également été comparé à Napoléon , bien que dans le contexte de la tentative désastreuse de ce dernier d’envahir la Russie en 1812 ; d'autres journaux ont souligné le faible score des alliés parlementaires de Macron. (L’un d’eux l’a baptisé « Micron ».) Le journal espagnol Diari de Tarragona a rempli sa première page d’un dessin à l’air déprimé d’Obélix, le personnage de bande dessinée française, et d’un titre qualifiant les Français de « fous ». « La démocratie française parle » un journal suisse a écrit : « et c'est effrayant ».
Ce matin, les gros titres sont bien différents : le second tour des élections a eu lieu hier et a réservé une énorme surprise. Une coalition de partis de gauche a remporté le plus grand nombre de sièges à l'Assemblée nationale, bien qu'en deçà d'une majorité gouvernementale ; Les alliés de Macron (qui, Politico selon , finiraient « au mieux » troisièmes) ont perdu des dizaines de sièges, mais sont néanmoins arrivés en deuxième position devant Le Pen et ses alliés. Des images de la télévision française (qui sont rapidement devenues virales en ligne) montraient des partisans d'extrême droite attendant avec impatience les résultats , puis semblant abasourdis et découragés lorsqu'ils arrivaient ; une chaîne, France 24, a imposé les résultats choc sur un schéma de l'Assemblée qui montrait par erreur l'extrême droite avec la plus grande part des sièges. Semafor Ben Smith de a demandé à Pierre Haski, un commentateur français chevronné, pourquoi les médias n'avaient pas vu les résultats arriver . Il a répondu que les journalistes étaient devenus « obsédés » par l’extrême droite après sa victoire au premier tour et que les sondeurs avaient été déconcertés par le « territoire inexploré », mais que même les dirigeants de gauche étaient surpris. Il a ajouté : « c’est un miracle politique ».
Les gros titres qui suscitent des coups de fouet offrent des leçons pertinentes à l’échelle mondiale sur la folie des journalistes qui supposent que la volonté populaire est avant son expression. Mais les résultats surprenants risquent de masquer une histoire en cours beaucoup plus compliquée. Pour commencer (et comme de nombreux gros titres l’ont également attesté du jour au lendemain), ce qui se passera ensuite est très incertain : aucun parti ou bloc ne dispose de majorité législative, ce qui laisse l’identité du prochain Premier ministre floue et augmente les risques d’un chaos à long terme. (Macron devrait rester président jusqu’en 2027 quoi qu’il arrive, mais la nouvelle arithmétique législative pourrait éroder considérablement son pouvoir et le forcer à « cohabiter » avec un Premier ministre d’un parti rival.) La sous-performance de l’extrême droite ne devrait pas non plus occulter l’ampleur de la situation. ce qui lui a déjà valu une place au cœur de la vie publique française, notamment dans le domaine médiatique. La campagne électorale a fourni une nouvelle preuve de cette tendance, même si de nombreux électeurs ont finalement dit non.
Finalement, l'extrême droite a terminé troisième en termes de sièges, même si elle a clairement remporté le premier tour des élections, parce que ce que les Français appellent le « front républicain » lui faisait obstacle : dans de nombreuses circonscriptions, les candidats qualifiés pour le second tour se sont retirés de la course pour permettre à un rival d'affronter seul l'extrême droite, même dans les cas où ils avaient d'énormes divergences politiques. L’instinct plus large d’empêcher l’extrême droite de détenir à tout prix le pouvoir institutionnel a duré des décennies, non seulement dans la politique partisane française mais dans d’autres sphères de la société, y compris les médias . Dans certains endroits, quelque chose comme ça reste immobile. Avant le premier tour, plus d'une centaine de médias ont signé une lettre ouverte appelant à un « front commun » journalistique contre l'extrême droite et avertissant que son arrivée au pouvoir constituerait une menace mortelle pour la liberté de la presse ; la lettre a été signée par des éditeurs progressistes et alternatifs, mais également par cinq collaborateurs de la chaîne publique . (En conséquence, ils ont été retirés de la couverture liée à la campagne.) Des centaines de créateurs en ligne a également appelé à une mobilisation contre l’extrême droite, se faisant appeler « la Courante populaire ».
Dans l’ensemble, cependant, cet instinct s’est affaibli ces dernières années et, comme je l’ai signalé à de nombreuses reprises , les médias ont été un lieu clé de cette dynamique. De nombreux médias grand public ont de plus en plus normalisé les thèmes et les chiffres de l’extrême droite ; dans certains cas, ils ont été repris par eux. Plus particulièrement, l'entreprise familiale de Vincent Bolloré, milliardaire conservateur, s'est emparée d'importantes propriétés dans la presse écrite, la télévision et la radio, et a été largement accusée de les entraîner vers la droite politique, un processus parfois appelé bollorisation . (Il a nié toute ingérence éditoriale dans ses propriétés, affirmant cette année qu’il n’était pas « un Attila ».)
Bolloré et ses propriétés ont été à nouveau au cœur de polémiques lors de la récente campagne. Au début, Le Monde rapportait qu'Eric Ciotti, le leader du parti conservateur traditionnel français, avait personnellement consulté Bolloré avant d'annoncer qu'il formerait une alliance électorale avec Le Pen, s'aliénant nombre de ses copartisans et déclenchant de nombreux drames dans le processus . Puis, juste à la fin de la campagne, Le Journal du Dimanche – un journal autrefois sérieux qui a embauché un rédacteur en chef d'extrême droite lors de son rachat par le groupe Bolloré l'année dernière – a rapporté que le gouvernement Macron envisageait d'assouplir les restrictions à l'immigration . Les alliés de Macron ont furieusement démenti cette histoire , accusant le journal de « méthodes Trumpistes » et de complicité avec le parti de Le Pen. Un responsable a déclaré qu’il porterait plainte pour « fausses nouvelles ».
Il y a eu également des tensions liées à la campagne au-delà de l’univers Bolloré. Avant le premier tour, un rédacteur en chef du Figaro , un journal conservateur traditionnel, s'est rendu sur Europe 1 (une radio appartenant à Bolloré) et a tenu des propos que certains de ses collaborateurs percevaient comme favorables à l'alliance entre Ciotti et le parti de Le Pen. ; le rédacteur en chef a déclaré qu'il ne faisait que proposer son «analyse» et que Le Figaro ne soutiendrait pas Le Pen, mais avant le second tour, des dizaines de collaborateurs auraient de nouveau pris les armes après avoir suggéré dans un éditorial que, même si l'extrême droite Si le programme était « inquiétant » à bien des égards, l’extrême gauche représentait une menace plus grande. (Il aurait de nouveau nié que le journal s'oriente vers l'extrême droite.) Par ailleurs, les employés de Marianne , un magazine actuellement détenu par le controversé milliardaire tchèque Daniel Křetínský , se sont mis en grève après que Le Monde a rapporté qu'un homme d'affaires intéressé par l'achat de la publication avait liens avec Le Pen et ses alliés. (Le statut de son offre semble désormais être dans les limbes.)
Comme l’indiquent ces développements et la lettre électorale, les journalistes français n’ont pas tous observé tranquillement l’évolution de certaines parties de leur industrie dans la direction de la droite. (La lettre avertissait explicitement que les médias constituaient un « terrain privilégié » dans la stratégie de « conquête » de l'extrême droite.) Et comme je l'ai écrit en mars, cette dynamique s'est heurtée à d'autres formes de frictions, notamment l'ordre officiel donné au régulateur français de l'audiovisuel de contrôler plus strictement les obligations de pluralisme d'une chaîne de télévision appartenant à Bolloré et un processus en cours par lequel le régulateur décidera quelles chaînes pourront utiliser les fréquences terrestres appartenant à l'État ; à partir d'aujourd'hui, le régulateur entendra les candidatures des chaînes existantes et intéressées, un processus qui est susceptible d'apporter un contrôle supplémentaire aux propriétés de Bolloré et pourrait même les voir perdants. Mais Alexis Lévrier, historien des médias, m'a dit en mars qu'il pensait qu'il était peu probable que le régulateur prenne des mesures aussi fortes et que, de manière générale, l'élite politique semblait avoir peur de faire obstacle à Bolloré.
Hier, l’électorat français a fait obstacle à Le Pen et à ses alliés, du moins en leur permettant d’entrer au gouvernement. Le « front républicain » tient. Dans la mesure où les sympathisants de son projet et d'autres du même genre ont effectivement fait des médias leur « terrain de prédilection », il est tentant de prétendre qu'ils ont échoué, du moins pour l'instant ; Comme le disait une autre historienne des médias, Claire Sécail, avant le premier tour des élections , « la société française, dans sa pluralité et sa complexité, n’est pas ce que l’écosystème polarisé de Bolloré veut la présenter ». (Le respect d’une telle complexité est en soi une leçon médiatique pertinente à l’échelle mondiale.) Pour sa part, Le Pen a suggéré hier que « la presse » avait contribué à empêcher son parti d’accéder au pouvoir , l’accusant de « clairement prendre part » aux élections au nom d’un parti politique. coalition qui couvre le paysage politique français.
S’il s’agissait – au moins – d’une généralisation excessive et grotesque, Le Pen avait raison lorsqu’elle a également souligné que le parti avait réalisé des gains significatifs en termes de nombre de sièges hier, malgré sa sous-performance perçue. "La marée monte", a-t-elle déclaré à un journaliste de TF1. « Cette fois-ci, cette hausse n'a pas été suffisamment élevée, mais elle continue d'augmenter. Notre victoire n’est que retardée. Le temps nous dira si elle a raison sur ce point. Pour l’instant, ceux qui couvrent la politique française ne devraient pas surestimer la santé du « front républicain », ni détourner des yeux les progrès réalisés par l’extrême droite jusqu’à présent. Ce matin, une partie de la presse internationale gardait les yeux rivés sur le ballon. "La France et l'Europe peuvent pousser un soupir de soulagement", le journal suédois Aftonbladet écrit . Mais « les résultats des élections ne signifient pas que le Rassemblement National est fini. Plutôt l'inverse."
Il y a eu également des tensions liées à la campagne au-delà de l’univers Bolloré. Avant le premier tour, un rédacteur en chef du Figaro , un journal conservateur traditionnel, s'est rendu sur Europe 1 (une radio appartenant à Bolloré) et a tenu des propos que certains de ses collaborateurs percevaient comme favorables à l'alliance entre Ciotti et le parti de Le Pen. ; le rédacteur en chef a déclaré qu'il ne faisait que proposer son «analyse» et que Le Figaro ne soutiendrait pas Le Pen, mais avant le second tour, des dizaines de collaborateurs auraient de nouveau pris les armes après avoir suggéré dans un éditorial que, même si l'extrême droite Si le programme était « inquiétant » à bien des égards, l’extrême gauche représentait une menace plus grande. (Il aurait de nouveau nié que le journal s'oriente vers l'extrême droite.) Par ailleurs, les employés de Marianne , un magazine actuellement détenu par le controversé milliardaire tchèque Daniel Křetínský , se sont mis en grève après que Le Monde a rapporté qu'un homme d'affaires intéressé par l'achat de la publication avait liens avec Le Pen et ses alliés. (Le statut de son offre semble désormais être dans les limbes.)
Comme l’indiquent ces développements et la lettre électorale, les journalistes français n’ont pas tous observé tranquillement l’évolution de certaines parties de leur industrie dans la direction de la droite. (La lettre avertissait explicitement que les médias constituaient un « terrain privilégié » dans la stratégie de « conquête » de l'extrême droite.) Et comme je l'ai écrit en mars, cette dynamique s'est heurtée à d'autres formes de frictions, notamment l'ordre officiel donné au régulateur français de l'audiovisuel de contrôler plus strictement les obligations de pluralisme d'une chaîne de télévision appartenant à Bolloré et un processus en cours par lequel le régulateur décidera quelles chaînes pourront utiliser les fréquences terrestres appartenant à l'État ; à partir d'aujourd'hui, le régulateur entendra les candidatures des chaînes existantes et intéressées, un processus qui est susceptible d'apporter un contrôle supplémentaire aux propriétés de Bolloré et pourrait même les voir perdants. Mais Alexis Lévrier, historien des médias, m'a dit en mars qu'il pensait qu'il était peu probable que le régulateur prenne des mesures aussi fortes et que, de manière générale, l'élite politique semblait avoir peur de faire obstacle à Bolloré.
Hier, l’électorat français a fait obstacle à Le Pen et à ses alliés, du moins en leur permettant d’entrer au gouvernement. Le « front républicain » tient. Dans la mesure où les sympathisants de son projet et d'autres du même genre ont effectivement fait des médias leur « terrain de prédilection », il est tentant de prétendre qu'ils ont échoué, du moins pour l'instant ; Comme le disait une autre historienne des médias, Claire Sécail, avant le premier tour des élections , « la société française, dans sa pluralité et sa complexité, n’est pas ce que l’écosystème polarisé de Bolloré veut la présenter ». (Le respect d’une telle complexité est en soi une leçon médiatique pertinente à l’échelle mondiale.) Pour sa part, Le Pen a suggéré hier que « la presse » avait contribué à empêcher son parti d’accéder au pouvoir , l’accusant de « clairement prendre part » aux élections au nom d’un parti politique. coalition qui couvre le paysage politique français.
S’il s’agissait – au moins – d’une généralisation excessive et grotesque, Le Pen avait raison lorsqu’elle a également souligné que le parti avait réalisé des gains significatifs en termes de nombre de sièges hier, malgré sa sous-performance perçue. "La marée monte", a-t-elle déclaré à un journaliste de TF1. « Cette fois-ci, cette hausse n'a pas été suffisamment élevée, mais elle continue d'augmenter. Notre victoire n’est que retardée. Le temps nous dira si elle a raison sur ce point. Pour l’instant, ceux qui couvrent la politique française ne devraient pas surestimer la santé du « front républicain », ni détourner des yeux les progrès réalisés par l’extrême droite jusqu’à présent. Ce matin, une partie de la presse internationale gardait les yeux rivés sur le ballon. "La France et l'Europe peuvent pousser un soupir de soulagement", le journal suédois Aftonbladet écrit . Mais « les résultats des élections ne signifient pas que le Rassemblement National est fini. Plutôt l'inverse."
Il y a eu également des tensions liées à la campagne au-delà de l’univers Bolloré. Avant le premier tour, un rédacteur en chef du Figaro , un journal conservateur traditionnel, s'est rendu sur Europe 1 (une radio appartenant à Bolloré) et a tenu des propos que certains de ses collaborateurs percevaient comme favorables à l'alliance entre Ciotti et le parti de Le Pen. ; le rédacteur en chef a déclaré qu'il ne faisait que proposer son «analyse» et que Le Figaro ne soutiendrait pas Le Pen, mais avant le second tour, des dizaines de collaborateurs auraient de nouveau pris les armes après avoir suggéré dans un éditorial que, même si l'extrême droite Si le programme était « inquiétant » à bien des égards, l’extrême gauche représentait une menace plus grande. (Il aurait de nouveau nié que le journal s'oriente vers l'extrême droite.) Par ailleurs, les employés de Marianne , un magazine actuellement détenu par le controversé milliardaire tchèque Daniel Křetínský , se sont mis en grève après que Le Monde a rapporté qu'un homme d'affaires intéressé par l'achat de la publication avait liens avec Le Pen et ses alliés. (Le statut de son offre semble désormais être dans les limbes.)
Comme l’indiquent ces développements et la lettre électorale, les journalistes français n’ont pas tous observé tranquillement l’évolution de certaines parties de leur industrie dans la direction de la droite. (La lettre avertissait explicitement que les médias constituaient un « terrain privilégié » dans la stratégie de « conquête » de l'extrême droite.) Et comme je l'ai écrit en mars, cette dynamique s'est heurtée à d'autres formes de frictions, notamment l'ordre officiel donné au régulateur français de l'audiovisuel de contrôler plus strictement les obligations de pluralisme d'une chaîne de télévision appartenant à Bolloré et un processus en cours par lequel le régulateur décidera quelles chaînes pourront utiliser les fréquences terrestres appartenant à l'État ; à partir d'aujourd'hui, le régulateur entendra les candidatures des chaînes existantes et intéressées, un processus qui est susceptible d'apporter un contrôle supplémentaire aux propriétés de Bolloré et pourrait même les voir perdants. Mais Alexis Lévrier, historien des médias, m'a dit en mars qu'il pensait qu'il était peu probable que le régulateur prenne des mesures aussi fortes et que, de manière générale, l'élite politique semblait avoir peur de faire obstacle à Bolloré.
Hier, l’électorat français a fait obstacle à Le Pen et à ses alliés, du moins en leur permettant d’entrer au gouvernement. Le « front républicain » tient. Dans la mesure où les sympathisants de son projet et d'autres du même genre ont effectivement fait des médias leur « terrain de prédilection », il est tentant de prétendre qu'ils ont échoué, du moins pour l'instant ; Comme le disait une autre historienne des médias, Claire Sécail, avant le premier tour des élections , « la société française, dans sa pluralité et sa complexité, n’est pas ce que l’écosystème polarisé de Bolloré veut la présenter ». (Le respect d’une telle complexité est en soi une leçon médiatique pertinente à l’échelle mondiale.) Pour sa part, Le Pen a suggéré hier que « la presse » avait contribué à empêcher son parti d’accéder au pouvoir , l’accusant de « clairement prendre part » aux élections au nom d’un parti politique. coalition qui couvre le paysage politique français.
S’il s’agissait – au moins – d’une généralisation excessive et grotesque, Le Pen avait raison lorsqu’elle a également souligné que le parti avait réalisé des gains significatifs en termes de nombre de sièges hier, malgré sa sous-performance perçue. "La marée monte", a-t-elle déclaré à un journaliste de TF1. « Cette fois-ci, cette hausse n'a pas été suffisamment élevée, mais elle continue d'augmenter. Notre victoire n’est que retardée. Le temps nous dira si elle a raison sur ce point. Pour l’instant, ceux qui couvrent la politique française ne devraient pas surestimer la santé du « front républicain », ni détourner des yeux les progrès réalisés par l’extrême droite jusqu’à présent. Ce matin, une partie de la presse internationale gardait les yeux rivés sur le ballon. "La France et l'Europe peuvent pousser un soupir de soulagement", le journal suédois Aftonbladet écrit . Mais « les résultats des élections ne signifient pas que le Rassemblement National est fini. Plutôt l'inverse."
Il y a eu également des tensions liées à la campagne au-delà de l’univers Bolloré. Avant le premier tour, un rédacteur en chef du Figaro , un journal conservateur traditionnel, s'est rendu sur Europe 1 (une radio appartenant à Bolloré) et a tenu des propos que certains de ses collaborateurs percevaient comme favorables à l'alliance entre Ciotti et le parti de Le Pen. ; le rédacteur en chef a déclaré qu'il ne faisait que proposer son «analyse» et que Le Figaro ne soutiendrait pas Le Pen, mais avant le second tour, des dizaines de collaborateurs auraient de nouveau pris les armes après avoir suggéré dans un éditorial que, même si l'extrême droite Si le programme était « inquiétant » à bien des égards, l’extrême gauche représentait une menace plus grande. (Il aurait de nouveau nié que le journal s'oriente vers l'extrême droite.) Par ailleurs, les employés de Marianne , un magazine actuellement détenu par le controversé milliardaire tchèque Daniel Křetínský , se sont mis en grève après que Le Monde a rapporté qu'un homme d'affaires intéressé par l'achat de la publication avait liens avec Le Pen et ses alliés. (Le statut de son offre semble désormais être dans les limbes.)
Comme l’indiquent ces développements et la lettre électorale, les journalistes français n’ont pas tous observé tranquillement l’évolution de certaines parties de leur industrie dans la direction de la droite. (La lettre avertissait explicitement que les médias constituaient un « terrain privilégié » dans la stratégie de « conquête » de l'extrême droite.) Et comme je l'ai écrit en mars, cette dynamique s'est heurtée à d'autres formes de frictions, notamment l'ordre officiel donné au régulateur français de l'audiovisuel de contrôler plus strictement les obligations de pluralisme d'une chaîne de télévision appartenant à Bolloré et un processus en cours par lequel le régulateur décidera quelles chaînes pourront utiliser les fréquences terrestres appartenant à l'État ; à partir d'aujourd'hui, le régulateur entendra les candidatures des chaînes existantes et intéressées, un processus qui est susceptible d'apporter un contrôle supplémentaire aux propriétés de Bolloré et pourrait même les voir perdants. Mais Alexis Lévrier, historien des médias, m'a dit en mars qu'il pensait qu'il était peu probable que le régulateur prenne des mesures aussi fortes et que, de manière générale, l'élite politique semblait avoir peur de faire obstacle à Bolloré.
Hier, l’électorat français a fait obstacle à Le Pen et à ses alliés, du moins en leur permettant d’entrer au gouvernement. Le « front républicain » tient. Dans la mesure où les sympathisants de son projet et d'autres du même genre ont effectivement fait des médias leur « terrain de prédilection », il est tentant de prétendre qu'ils ont échoué, du moins pour l'instant ; Comme le disait une autre historienne des médias, Claire Sécail, avant le premier tour des élections , « la société française, dans sa pluralité et sa complexité, n’est pas ce que l’écosystème polarisé de Bolloré veut la présenter ». (Le respect d’une telle complexité est en soi une leçon médiatique pertinente à l’échelle mondiale.) Pour sa part, Le Pen a suggéré hier que « la presse » avait contribué à empêcher son parti d’accéder au pouvoir , l’accusant de « clairement prendre part » aux élections au nom d’un parti politique. coalition qui couvre le paysage politique français.
S’il s’agissait – au moins – d’une généralisation excessive et grotesque, Le Pen avait raison lorsqu’elle a également souligné que le parti avait réalisé des gains significatifs en termes de nombre de sièges hier, malgré sa sous-performance perçue. "La marée monte", a-t-elle déclaré à un journaliste de TF1. « Cette fois-ci, cette hausse n'a pas été suffisamment élevée, mais elle continue d'augmenter. Notre victoire n’est que retardée. Le temps nous dira si elle a raison sur ce point. Pour l’instant, ceux qui couvrent la politique française ne devraient pas surestimer la santé du « front républicain », ni détourner des yeux les progrès réalisés par l’extrême droite jusqu’à présent. Ce matin, une partie de la presse internationale gardait les yeux rivés sur le ballon. "La France et l'Europe peuvent pousser un soupir de soulagement", le journal suédois Aftonbladet écrit . Mais « les résultats des élections ne signifient pas que le Rassemblement National est fini. Plutôt l'inverse."
Il y a une semaine – après que le Rassemblement National (RN, ou « Rassemblement National » en anglais) d'extrême droite de Marine Le Pen et ses alliés ont remporté le premier tour des élections législatives anticipées en France – la presse mondiale a traité cela comme un événement sismique, et avec pas de petite angoisse. Les Unes du monde entier ont fait la une des images d'une Le Pen souriante , décrivant son parti, de diverses manières, comme « si proche du pouvoir » et ayant réalisé un « prélude » à son « triomphe » ; un journal italien s'est moqué d'elle sous le nom de Napoléon. (« NapoLe Pen. ») Dans les pages du Washington Post , Emmanuel Macron – le président prétendument centriste, qui a qualifié les élections anticipées de comme une sorte de défi à la montée du soutien à l'extrême droite – a également été comparé à Napoléon , bien que dans le contexte de la tentative désastreuse de ce dernier d’envahir la Russie en 1812 ; d'autres journaux ont souligné le faible score des alliés parlementaires de Macron. (L’un d’eux l’a baptisé « Micron ».) Le journal espagnol Diari de Tarragona a rempli sa première page d’un dessin à l’air déprimé d’Obélix, le personnage de bande dessinée française, et d’un titre qualifiant les Français de « fous ». « La démocratie française parle » un journal suisse a écrit : « et c'est effrayant ».
Ce matin, les gros titres sont bien différents : le second tour des élections a eu lieu hier et a réservé une énorme surprise. Une coalition de partis de gauche a remporté le plus grand nombre de sièges à l'Assemblée nationale, bien qu'en deçà d'une majorité gouvernementale ; Les alliés de Macron (qui, Politico selon , finiraient « au mieux » troisièmes) ont perdu des dizaines de sièges, mais sont néanmoins arrivés en deuxième position devant Le Pen et ses alliés. Des images de la télévision française (qui sont rapidement devenues virales en ligne) montraient des partisans d'extrême droite attendant avec impatience les résultats , puis semblant abasourdis et découragés lorsqu'ils arrivaient ; une chaîne, France 24, a imposé les résultats choc sur un schéma de l'Assemblée qui montrait par erreur l'extrême droite avec la plus grande part des sièges. Semafor Ben Smith de a demandé à Pierre Haski, un commentateur français chevronné, pourquoi les médias n'avaient pas vu les résultats arriver . Il a répondu que les journalistes étaient devenus « obsédés » par l’extrême droite après sa victoire au premier tour et que les sondeurs avaient été déconcertés par le « territoire inexploré », mais que même les dirigeants de gauche étaient surpris. Il a ajouté : « c’est un miracle politique ».
Les gros titres qui suscitent des coups de fouet offrent des leçons pertinentes à l’échelle mondiale sur la folie des journalistes qui supposent que la volonté populaire est avant son expression. Mais les résultats surprenants risquent de masquer une histoire en cours beaucoup plus compliquée. Pour commencer (et comme de nombreux gros titres l’ont également attesté du jour au lendemain), ce qui se passera ensuite est très incertain : aucun parti ou bloc ne dispose de majorité législative, ce qui laisse l’identité du prochain Premier ministre floue et augmente les risques d’un chaos à long terme. (Macron devrait rester président jusqu’en 2027 quoi qu’il arrive, mais la nouvelle arithmétique législative pourrait éroder considérablement son pouvoir et le forcer à « cohabiter » avec un Premier ministre d’un parti rival.) La sous-performance de l’extrême droite ne devrait pas non plus occulter l’ampleur de la situation. ce qui lui a déjà valu une place au cœur de la vie publique française, notamment dans le domaine médiatique. La campagne électorale a fourni une nouvelle preuve de cette tendance, même si de nombreux électeurs ont finalement dit non.
Finalement, l'extrême droite a terminé troisième en termes de sièges, même si elle a clairement remporté le premier tour des élections, parce que ce que les Français appellent le « front républicain » lui faisait obstacle : dans de nombreuses circonscriptions, les candidats qualifiés pour le second tour se sont retirés de la course pour permettre à un rival d'affronter seul l'extrême droite, même dans les cas où ils avaient d'énormes divergences politiques. L’instinct plus large d’empêcher l’extrême droite de détenir à tout prix le pouvoir institutionnel a duré des décennies, non seulement dans la politique partisane française mais dans d’autres sphères de la société, y compris les médias . Dans certains endroits, quelque chose comme ça reste immobile. Avant le premier tour, plus d'une centaine de médias ont signé une lettre ouverte appelant à un « front commun » journalistique contre l'extrême droite et avertissant que son arrivée au pouvoir constituerait une menace mortelle pour la liberté de la presse ; la lettre a été signée par des éditeurs progressistes et alternatifs, mais également par cinq collaborateurs de la chaîne publique . (En conséquence, ils ont été retirés de la couverture liée à la campagne.) Des centaines de créateurs en ligne a également appelé à une mobilisation contre l’extrême droite, se faisant appeler « la Courante populaire ».
Dans l’ensemble, cependant, cet instinct s’est affaibli ces dernières années et, comme je l’ai signalé à de nombreuses reprises , les médias ont été un lieu clé de cette dynamique. De nombreux médias grand public ont de plus en plus normalisé les thèmes et les chiffres de l’extrême droite ; dans certains cas, ils ont été repris par eux. Plus particulièrement, l'entreprise familiale de Vincent Bolloré, milliardaire conservateur, s'est emparée d'importantes propriétés dans la presse écrite, la télévision et la radio, et a été largement accusée de les entraîner vers la droite politique, un processus parfois appelé bollorisation . (Il a nié toute ingérence éditoriale dans ses propriétés, affirmant cette année qu’il n’était pas « un Attila ».)
Bolloré et ses propriétés ont été à nouveau au cœur de polémiques lors de la récente campagne. Au début, Le Monde rapportait qu'Eric Ciotti, le leader du parti conservateur traditionnel français, avait personnellement consulté Bolloré avant d'annoncer qu'il formerait une alliance électorale avec Le Pen, s'aliénant nombre de ses copartisans et déclenchant de nombreux drames dans le processus . Puis, juste à la fin de la campagne, Le Journal du Dimanche – un journal autrefois sérieux qui a embauché un rédacteur en chef d'extrême droite lors de son rachat par le groupe Bolloré l'année dernière – a rapporté que le gouvernement Macron envisageait d'assouplir les restrictions à l'immigration . Les alliés de Macron ont furieusement démenti cette histoire , accusant le journal de « méthodes Trumpistes » et de complicité avec le parti de Le Pen. Un responsable a déclaré qu’il porterait plainte pour « fausses nouvelles ».
Il y a eu également des tensions liées à la campagne au-delà de l’univers Bolloré. Avant le premier tour, un rédacteur en chef du Figaro , un journal conservateur traditionnel, s'est rendu sur Europe 1 (une radio appartenant à Bolloré) et a tenu des propos que certains de ses collaborateurs percevaient comme favorables à l'alliance entre Ciotti et le parti de Le Pen. ; le rédacteur en chef a déclaré qu'il ne faisait que proposer son «analyse» et que Le Figaro ne soutiendrait pas Le Pen, mais avant le second tour, des dizaines de collaborateurs auraient de nouveau pris les armes après avoir suggéré dans un éditorial que, même si l'extrême droite Si le programme était « inquiétant » à bien des égards, l’extrême gauche représentait une menace plus grande. (Il aurait de nouveau nié que le journal s'oriente vers l'extrême droite.) Par ailleurs, les employés de Marianne , un magazine actuellement détenu par le controversé milliardaire tchèque Daniel Křetínský , se sont mis en grève après que Le Monde a rapporté qu'un homme d'affaires intéressé par l'achat de la publication avait liens avec Le Pen et ses alliés. (Le statut de son offre semble désormais être dans les limbes.)
Comme l’indiquent ces développements et la lettre électorale, les journalistes français n’ont pas tous observé tranquillement l’évolution de certaines parties de leur industrie dans la direction de la droite. (La lettre avertissait explicitement que les médias constituaient un « terrain privilégié » dans la stratégie de « conquête » de l'extrême droite.) Et comme je l'ai écrit en mars, cette dynamique s'est heurtée à d'autres formes de frictions, notamment l'ordre officiel donné au régulateur français de l'audiovisuel de contrôler plus strictement les obligations de pluralisme d'une chaîne de télévision appartenant à Bolloré et un processus en cours par lequel le régulateur décidera quelles chaînes pourront utiliser les fréquences terrestres appartenant à l'État ; à partir d'aujourd'hui, le régulateur entendra les candidatures des chaînes existantes et intéressées, un processus qui est susceptible d'apporter un contrôle supplémentaire aux propriétés de Bolloré et pourrait même les voir perdants. Mais Alexis Lévrier, historien des médias, m'a dit en mars qu'il pensait qu'il était peu probable que le régulateur prenne des mesures aussi fortes et que, de manière générale, l'élite politique semblait avoir peur de faire obstacle à Bolloré.
Hier, l’électorat français a fait obstacle à Le Pen et à ses alliés, du moins en leur permettant d’entrer au gouvernement. Le « front républicain » tient. Dans la mesure où les sympathisants de son projet et d'autres du même genre ont effectivement fait des médias leur « terrain de prédilection », il est tentant de prétendre qu'ils ont échoué, du moins pour l'instant ; Comme le disait une autre historienne des médias, Claire Sécail, avant le premier tour des élections , « la société française, dans sa pluralité et sa complexité, n’est pas ce que l’écosystème polarisé de Bolloré veut la présenter ». (Le respect d’une telle complexité est en soi une leçon médiatique pertinente à l’échelle mondiale.) Pour sa part, Le Pen a suggéré hier que « la presse » avait contribué à empêcher son parti d’accéder au pouvoir , l’accusant de « clairement prendre part » aux élections au nom d’un parti politique. coalition qui couvre le paysage politique français.
S’il s’agissait – au moins – d’une généralisation excessive et grotesque, Le Pen avait raison lorsqu’elle a également souligné que le parti avait réalisé des gains significatifs en termes de nombre de sièges hier, malgré sa sous-performance perçue. "La marée monte", a-t-elle déclaré à un journaliste de TF1. « Cette fois-ci, cette hausse n'a pas été suffisamment élevée, mais elle continue d'augmenter. Notre victoire n’est que retardée. Le temps nous dira si elle a raison sur ce point. Pour l’instant, ceux qui couvrent la politique française ne devraient pas surestimer la santé du « front républicain », ni détourner des yeux les progrès réalisés par l’extrême droite jusqu’à présent. Ce matin, une partie de la presse internationale gardait les yeux rivés sur le ballon. "La France et l'Europe peuvent pousser un soupir de soulagement", le journal suédois Aftonbladet écrit . Mais « les résultats des élections ne signifient pas que le Rassemblement National est fini. Plutôt l'inverse."
Il y a eu également des tensions liées à la campagne au-delà de l’univers Bolloré. Avant le premier tour, un rédacteur en chef du Figaro , un journal conservateur traditionnel, s'est rendu sur Europe 1 (une radio appartenant à Bolloré) et a tenu des propos que certains de ses collaborateurs percevaient comme favorables à l'alliance entre Ciotti et le parti de Le Pen. ; le rédacteur en chef a déclaré qu'il ne faisait que proposer son «analyse» et que Le Figaro ne soutiendrait pas Le Pen, mais avant le second tour, des dizaines de collaborateurs auraient de nouveau pris les armes après avoir suggéré dans un éditorial que, même si l'extrême droite Si le programme était « inquiétant » à bien des égards, l’extrême gauche représentait une menace plus grande. (Il aurait de nouveau nié que le journal s'oriente vers l'extrême droite.) Par ailleurs, les employés de Marianne , un magazine actuellement détenu par le controversé milliardaire tchèque Daniel Křetínský , se sont mis en grève après que Le Monde a rapporté qu'un homme d'affaires intéressé par l'achat de la publication avait liens avec Le Pen et ses alliés. (Le statut de son offre semble désormais être dans les limbes.)
Comme l’indiquent ces développements et la lettre électorale, les journalistes français n’ont pas tous observé tranquillement l’évolution de certaines parties de leur industrie dans la direction de la droite. (La lettre avertissait explicitement que les médias constituaient un « terrain privilégié » dans la stratégie de « conquête » de l'extrême droite.) Et comme je l'ai écrit en mars, cette dynamique s'est heurtée à d'autres formes de frictions, notamment l'ordre officiel donné au régulateur français de l'audiovisuel de contrôler plus strictement les obligations de pluralisme d'une chaîne de télévision appartenant à Bolloré et un processus en cours par lequel le régulateur décidera quelles chaînes pourront utiliser les fréquences terrestres appartenant à l'État ; à partir d'aujourd'hui, le régulateur entendra les candidatures des chaînes existantes et intéressées, un processus qui est susceptible d'apporter un contrôle supplémentaire aux propriétés de Bolloré et pourrait même les voir perdants. Mais Alexis Lévrier, historien des médias, m'a dit en mars qu'il pensait qu'il était peu probable que le régulateur prenne des mesures aussi fortes et que, de manière générale, l'élite politique semblait avoir peur de faire obstacle à Bolloré.
Hier, l’électorat français a fait obstacle à Le Pen et à ses alliés, du moins en leur permettant d’entrer au gouvernement. Le « front républicain » tient. Dans la mesure où les sympathisants de son projet et d'autres du même genre ont effectivement fait des médias leur « terrain de prédilection », il est tentant de prétendre qu'ils ont échoué, du moins pour l'instant ; Comme le disait une autre historienne des médias, Claire Sécail, avant le premier tour des élections , « la société française, dans sa pluralité et sa complexité, n’est pas ce que l’écosystème polarisé de Bolloré veut la présenter ». (Le respect d’une telle complexité est en soi une leçon médiatique pertinente à l’échelle mondiale.) Pour sa part, Le Pen a suggéré hier que « la presse » avait contribué à empêcher son parti d’accéder au pouvoir , l’accusant de « clairement prendre part » aux élections au nom d’un parti politique. coalition qui couvre le paysage politique français.
S’il s’agissait – au moins – d’une généralisation excessive et grotesque, Le Pen avait raison lorsqu’elle a également souligné que le parti avait réalisé des gains significatifs en termes de nombre de sièges hier, malgré sa sous-performance perçue. "La marée monte", a-t-elle déclaré à un journaliste de TF1. « Cette fois-ci, cette hausse n'a pas été suffisamment élevée, mais elle continue d'augmenter. Notre victoire n’est que retardée. Le temps nous dira si elle a raison sur ce point. Pour l’instant, ceux qui couvrent la politique française ne devraient pas surestimer la santé du « front républicain », ni détourner des yeux les progrès réalisés par l’extrême droite jusqu’à présent. Ce matin, une partie de la presse internationale gardait les yeux rivés sur le ballon. "La France et l'Europe peuvent pousser un soupir de soulagement", le journal suédois Aftonbladet écrit . Mais « les résultats des élections ne signifient pas que le Rassemblement National est fini. Plutôt l'inverse."
Il y a eu également des tensions liées à la campagne au-delà de l’univers Bolloré. Avant le premier tour, un rédacteur en chef du Figaro , un journal conservateur traditionnel, s'est rendu sur Europe 1 (une radio appartenant à Bolloré) et a tenu des propos que certains de ses collaborateurs percevaient comme favorables à l'alliance entre Ciotti et le parti de Le Pen. ; le rédacteur en chef a déclaré qu'il ne faisait que proposer son «analyse» et que Le Figaro ne soutiendrait pas Le Pen, mais avant le second tour, des dizaines de collaborateurs auraient de nouveau pris les armes après avoir suggéré dans un éditorial que, même si l'extrême droite Si le programme était « inquiétant » à bien des égards, l’extrême gauche représentait une menace plus grande. (Il aurait de nouveau nié que le journal s'oriente vers l'extrême droite.) Par ailleurs, les employés de Marianne , un magazine actuellement détenu par le controversé milliardaire tchèque Daniel Křetínský , se sont mis en grève après que Le Monde a rapporté qu'un homme d'affaires intéressé par l'achat de la publication avait liens avec Le Pen et ses alliés. (Le statut de son offre semble désormais être dans les limbes.)
Comme l’indiquent ces développements et la lettre électorale, les journalistes français n’ont pas tous observé tranquillement l’évolution de certaines parties de leur industrie dans la direction de la droite. (La lettre avertissait explicitement que les médias constituaient un « terrain privilégié » dans la stratégie de « conquête » de l'extrême droite.) Et comme je l'ai écrit en mars, cette dynamique s'est heurtée à d'autres formes de frictions, notamment l'ordre officiel donné au régulateur français de l'audiovisuel de contrôler plus strictement les obligations de pluralisme d'une chaîne de télévision appartenant à Bolloré et un processus en cours par lequel le régulateur décidera quelles chaînes pourront utiliser les fréquences terrestres appartenant à l'État ; à partir d'aujourd'hui, le régulateur entendra les candidatures des chaînes existantes et intéressées, un processus qui est susceptible d'apporter un contrôle supplémentaire aux propriétés de Bolloré et pourrait même les voir perdants. Mais Alexis Lévrier, historien des médias, m'a dit en mars qu'il pensait qu'il était peu probable que le régulateur prenne des mesures aussi fortes et que, de manière générale, l'élite politique semblait avoir peur de faire obstacle à Bolloré.
Hier, l’électorat français a fait obstacle à Le Pen et à ses alliés, du moins en leur permettant d’entrer au gouvernement. Le « front républicain » tient. Dans la mesure où les sympathisants de son projet et d'autres du même genre ont effectivement fait des médias leur « terrain de prédilection », il est tentant de prétendre qu'ils ont échoué, du moins pour l'instant ; Comme le disait une autre historienne des médias, Claire Sécail, avant le premier tour des élections , « la société française, dans sa pluralité et sa complexité, n’est pas ce que l’écosystème polarisé de Bolloré veut la présenter ». (Le respect d’une telle complexité est en soi une leçon médiatique pertinente à l’échelle mondiale.) Pour sa part, Le Pen a suggéré hier que « la presse » avait contribué à empêcher son parti d’accéder au pouvoir , l’accusant de « clairement prendre part » aux élections au nom d’un parti politique. coalition qui couvre le paysage politique français.
S’il s’agissait – au moins – d’une généralisation excessive et grotesque, Le Pen avait raison lorsqu’elle a également souligné que le parti avait réalisé des gains significatifs en termes de nombre de sièges hier, malgré sa sous-performance perçue. "La marée monte", a-t-elle déclaré à un journaliste de TF1. « Cette fois-ci, cette hausse n'a pas été suffisamment élevée, mais elle continue d'augmenter. Notre victoire n’est que retardée. Le temps nous dira si elle a raison sur ce point. Pour l’instant, ceux qui couvrent la politique française ne devraient pas surestimer la santé du « front républicain », ni détourner des yeux les progrès réalisés par l’extrême droite jusqu’à présent. Ce matin, une partie de la presse internationale gardait les yeux rivés sur le ballon. "La France et l'Europe peuvent pousser un soupir de soulagement", le journal suédois Aftonbladet écrit . Mais « les résultats des élections ne signifient pas que le Rassemblement National est fini. Plutôt l'inverse."
Il y a eu également des tensions liées à la campagne au-delà de l’univers Bolloré. Avant le premier tour, un rédacteur en chef du Figaro , un journal conservateur traditionnel, s'est rendu sur Europe 1 (une radio appartenant à Bolloré) et a tenu des propos que certains de ses collaborateurs percevaient comme favorables à l'alliance entre Ciotti et le parti de Le Pen. ; le rédacteur en chef a déclaré qu'il ne faisait que proposer son «analyse» et que Le Figaro ne soutiendrait pas Le Pen, mais avant le second tour, des dizaines de collaborateurs auraient de nouveau pris les armes après avoir suggéré dans un éditorial que, même si l'extrême droite Si le programme était « inquiétant » à bien des égards, l’extrême gauche représentait une menace plus grande. (Il aurait de nouveau nié que le journal s'oriente vers l'extrême droite.) Par ailleurs, les employés de Marianne , un magazine actuellement détenu par le controversé milliardaire tchèque Daniel Křetínský , se sont mis en grève après que Le Monde a rapporté qu'un homme d'affaires intéressé par l'achat de la publication avait liens avec Le Pen et ses alliés. (Le statut de son offre semble désormais être dans les limbes.)
Comme l’indiquent ces développements et la lettre électorale, les journalistes français n’ont pas tous observé tranquillement l’évolution de certaines parties de leur industrie dans la direction de la droite. (La lettre avertissait explicitement que les médias constituaient un « terrain privilégié » dans la stratégie de « conquête » de l'extrême droite.) Et comme je l'ai écrit en mars, cette dynamique s'est heurtée à d'autres formes de frictions, notamment l'ordre officiel donné au régulateur français de l'audiovisuel de contrôler plus strictement les obligations de pluralisme d'une chaîne de télévision appartenant à Bolloré et un processus en cours par lequel le régulateur décidera quelles chaînes pourront utiliser les fréquences terrestres appartenant à l'État ; à partir d'aujourd'hui, le régulateur entendra les candidatures des chaînes existantes et intéressées, un processus qui est susceptible d'apporter un contrôle supplémentaire aux propriétés de Bolloré et pourrait même les voir perdants. Mais Alexis Lévrier, historien des médias, m'a dit en mars qu'il pensait qu'il était peu probable que le régulateur prenne des mesures aussi fortes et que, de manière générale, l'élite politique semblait avoir peur de faire obstacle à Bolloré.
Hier, l’électorat français a fait obstacle à Le Pen et à ses alliés, du moins en leur permettant d’entrer au gouvernement. Le « front républicain » tient. Dans la mesure où les sympathisants de son projet et d'autres du même genre ont effectivement fait des médias leur « terrain de prédilection », il est tentant de prétendre qu'ils ont échoué, du moins pour l'instant ; Comme le disait une autre historienne des médias, Claire Sécail, avant le premier tour des élections , « la société française, dans sa pluralité et sa complexité, n’est pas ce que l’écosystème polarisé de Bolloré veut la présenter ». (Le respect d’une telle complexité est en soi une leçon médiatique pertinente à l’échelle mondiale.) Pour sa part, Le Pen a suggéré hier que « la presse » avait contribué à empêcher son parti d’accéder au pouvoir , l’accusant de « clairement prendre part » aux élections au nom d’un parti politique. coalition qui couvre le paysage politique français.
S’il s’agissait – au moins – d’une généralisation excessive et grotesque, Le Pen avait raison lorsqu’elle a également souligné que le parti avait réalisé des gains significatifs en termes de nombre de sièges hier, malgré sa sous-performance perçue. "La marée monte", a-t-elle déclaré à un journaliste de TF1. « Cette fois-ci, cette hausse n'a pas été suffisamment élevée, mais elle continue d'augmenter. Notre victoire n’est que retardée. Le temps nous dira si elle a raison sur ce point. Pour l’instant, ceux qui couvrent la politique française ne devraient pas surestimer la santé du « front républicain », ni détourner des yeux les progrès réalisés par l’extrême droite jusqu’à présent. Ce matin, une partie de la presse internationale gardait les yeux rivés sur le ballon. "La France et l'Europe peuvent pousser un soupir de soulagement", le journal suédois Aftonbladet écrit . Mais « les résultats des élections ne signifient pas que le Rassemblement National est fini. Plutôt l'inverse."
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Re: articles de presse!
Il y a eu également des tensions liées à la campagne au-delà de l’univers Bolloré. Avant le premier tour, un rédacteur en chef du Figaro , un journal conservateur traditionnel, s'est rendu sur Europe 1 (une radio appartenant à Bolloré) et a tenu des propos que certains de ses collaborateurs percevaient comme favorables à l'alliance entre Ciotti et le parti de Le Pen. ; le rédacteur en chef a déclaré qu'il ne faisait que proposer son «analyse» et que Le Figaro ne soutiendrait pas Le Pen, mais avant le second tour, des dizaines de collaborateurs auraient de nouveau pris les armes après avoir suggéré dans un éditorial que, même si l'extrême droite Si le programme était « inquiétant » à bien des égards, l’extrême gauche représentait une menace plus grande. (Il aurait de nouveau nié que le journal s'oriente vers l'extrême droite.) Par ailleurs, les employés de Marianne , un magazine actuellement détenu par le controversé milliardaire tchèque Daniel Křetínský , se sont mis en grève après que Le Monde a rapporté qu'un homme d'affaires intéressé par l'achat de la publication avait liens avec Le Pen et ses alliés. (Le statut de son offre semble désormais être dans les limbes.)
Comme l’indiquent ces développements et la lettre électorale, les journalistes français n’ont pas tous observé tranquillement l’évolution de certaines parties de leur industrie dans la direction de la droite. (La lettre avertissait explicitement que les médias constituaient un « terrain privilégié » dans la stratégie de « conquête » de l'extrême droite.) Et comme je l'ai écrit en mars, cette dynamique s'est heurtée à d'autres formes de frictions, notamment l'ordre officiel donné au régulateur français de l'audiovisuel de contrôler plus strictement les obligations de pluralisme d'une chaîne de télévision appartenant à Bolloré et un processus en cours par lequel le régulateur décidera quelles chaînes pourront utiliser les fréquences terrestres appartenant à l'État ; à partir d'aujourd'hui, le régulateur entendra les candidatures des chaînes existantes et intéressées, un processus qui est susceptible d'apporter un contrôle supplémentaire aux propriétés de Bolloré et pourrait même les voir perdants. Mais Alexis Lévrier, historien des médias, m'a dit en mars qu'il pensait qu'il était peu probable que le régulateur prenne des mesures aussi fortes et que, de manière générale, l'élite politique semblait avoir peur de faire obstacle à Bolloré.
Hier, l’électorat français a fait obstacle à Le Pen et à ses alliés, du moins en leur permettant d’entrer au gouvernement. Le « front républicain » tient. Dans la mesure où les sympathisants de son projet et d'autres du même genre ont effectivement fait des médias leur « terrain de prédilection », il est tentant de prétendre qu'ils ont échoué, du moins pour l'instant ; Comme le disait une autre historienne des médias, Claire Sécail, avant le premier tour des élections , « la société française, dans sa pluralité et sa complexité, n’est pas ce que l’écosystème polarisé de Bolloré veut la présenter ». (Le respect d’une telle complexité est en soi une leçon médiatique pertinente à l’échelle mondiale.) Pour sa part, Le Pen a suggéré hier que « la presse » avait contribué à empêcher son parti d’accéder au pouvoir , l’accusant de « clairement prendre part » aux élections au nom d’un parti politique. coalition qui couvre le paysage politique français.
S’il s’agissait – au moins – d’une généralisation excessive et grotesque, Le Pen avait raison lorsqu’elle a également souligné que le parti avait réalisé des gains significatifs en termes de nombre de sièges hier, malgré sa sous-performance perçue. "La marée monte", a-t-elle déclaré à un journaliste de TF1. « Cette fois-ci, cette hausse n'a pas été suffisamment élevée, mais elle continue d'augmenter. Notre victoire n’est que retardée. Le temps nous dira si elle a raison sur ce point. Pour l’instant, ceux qui couvrent la politique française ne devraient pas surestimer la santé du « front républicain », ni détourner des yeux les progrès réalisés par l’extrême droite jusqu’à présent. Ce matin, une partie de la presse internationale gardait les yeux rivés sur le ballon. "La France et l'Europe peuvent pousser un soupir de soulagement", le journal suédois Aftonbladet écrit . Mais « les résultats des élections ne signifient pas que le Rassemblement National est fini. Plutôt l'inverse."
Comme l’indiquent ces développements et la lettre électorale, les journalistes français n’ont pas tous observé tranquillement l’évolution de certaines parties de leur industrie dans la direction de la droite. (La lettre avertissait explicitement que les médias constituaient un « terrain privilégié » dans la stratégie de « conquête » de l'extrême droite.) Et comme je l'ai écrit en mars, cette dynamique s'est heurtée à d'autres formes de frictions, notamment l'ordre officiel donné au régulateur français de l'audiovisuel de contrôler plus strictement les obligations de pluralisme d'une chaîne de télévision appartenant à Bolloré et un processus en cours par lequel le régulateur décidera quelles chaînes pourront utiliser les fréquences terrestres appartenant à l'État ; à partir d'aujourd'hui, le régulateur entendra les candidatures des chaînes existantes et intéressées, un processus qui est susceptible d'apporter un contrôle supplémentaire aux propriétés de Bolloré et pourrait même les voir perdants. Mais Alexis Lévrier, historien des médias, m'a dit en mars qu'il pensait qu'il était peu probable que le régulateur prenne des mesures aussi fortes et que, de manière générale, l'élite politique semblait avoir peur de faire obstacle à Bolloré.
Hier, l’électorat français a fait obstacle à Le Pen et à ses alliés, du moins en leur permettant d’entrer au gouvernement. Le « front républicain » tient. Dans la mesure où les sympathisants de son projet et d'autres du même genre ont effectivement fait des médias leur « terrain de prédilection », il est tentant de prétendre qu'ils ont échoué, du moins pour l'instant ; Comme le disait une autre historienne des médias, Claire Sécail, avant le premier tour des élections , « la société française, dans sa pluralité et sa complexité, n’est pas ce que l’écosystème polarisé de Bolloré veut la présenter ». (Le respect d’une telle complexité est en soi une leçon médiatique pertinente à l’échelle mondiale.) Pour sa part, Le Pen a suggéré hier que « la presse » avait contribué à empêcher son parti d’accéder au pouvoir , l’accusant de « clairement prendre part » aux élections au nom d’un parti politique. coalition qui couvre le paysage politique français.
S’il s’agissait – au moins – d’une généralisation excessive et grotesque, Le Pen avait raison lorsqu’elle a également souligné que le parti avait réalisé des gains significatifs en termes de nombre de sièges hier, malgré sa sous-performance perçue. "La marée monte", a-t-elle déclaré à un journaliste de TF1. « Cette fois-ci, cette hausse n'a pas été suffisamment élevée, mais elle continue d'augmenter. Notre victoire n’est que retardée. Le temps nous dira si elle a raison sur ce point. Pour l’instant, ceux qui couvrent la politique française ne devraient pas surestimer la santé du « front républicain », ni détourner des yeux les progrès réalisés par l’extrême droite jusqu’à présent. Ce matin, une partie de la presse internationale gardait les yeux rivés sur le ballon. "La France et l'Europe peuvent pousser un soupir de soulagement", le journal suédois Aftonbladet écrit . Mais « les résultats des élections ne signifient pas que le Rassemblement National est fini. Plutôt l'inverse."
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Re: articles de presse!
C’est bon! Je me suis mis à ton niveau, j’ai lu 6 fois ce même article!
Sinon en lisant des commentaires sur YT, j’ai lu d’un « Fab4431 » des propos beaucoup plus censés…. Ça m’a fait rire
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Re: articles de presse!
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Non , tout le monde ne déteste pas la police , c’est juste un fantasme de la gauche Mélenchoniste !! pic.twitter.com/JJ07Lt0sVJ
— Robert (@La_Pollice) July 14, 2024
des neos nazis acclament les forces de l ordre
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Re: articles de presse!
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