les sources fiscales !!

sont en voies de tarissemnt
le cg du 22 fait des coupes sombres
culture sport etc!!
tout le monde y passe
de nombreuses asso vont droit vers le depot de bilan
un club pro de volley se voit totalement supprimé sa subvention (600000e)
y'a plus de sous
apres avoir depenser sans compter les bilans financiers sont catastrophique et je reste persuader que le plus durt est a venir

Une association devrait vivre du montant de ses cotisations et du produit de ses animations ou autres prestations... Non? Excepté celles qui s'occupent d'enfants ou de handicapés, etc.
Un peu de rigueur budgétaire assainirait tout ce parasitisme.
Quand je parle de prestations des associations, c'est auprès des particuliers! En effet, beaucoup de structures qui se vantent de ne pas toucher de subventions, ne vivent que grâce aux "prestations" qu'elles facturent aux collectivités publiques...

Après avoir supprimer la taxe pro + autres restrictions gouvernementales, il est claire que les régions vont chercher de la fraiche... Chez mes parents, + 60 % pour la taxe d'habitation (part revenant au département si je me trompe pas) !!!

JB a écrit:Après avoir supprimer la taxe pro + autres restrictions gouvernementales, il est claire que les régions vont chercher de la fraiche... Chez mes parents, + 60 % pour la taxe d'habitation (part revenant au département si je me trompe pas) !!!

ça va être chaud , surtout avec la désindustrialisation à laquelle on assiste , les rentrées fiscales sont en chute libre , et les conseils régionaux sont ruinés par la décentralisation d' une part et l' aide aux personnes âgées d' autre part , je ne vois qu' une augmentation drastique de la fiscalité locale comme moyen de rattraper la glissade , c' est quasi inéluctable

c'est un peu facile de dépenser l'argent que l'on a pas(dû gagner)
qu'ils fassent comme nous:- de rentrées = - de sorties!!!!
mais ce genre d'équation ils ne savent pas faire
beaux parleurs mais pas forts en maths
une chose certaine:les mêmes passeront à la caisse!! jusqu'à quand

nonord a écrit:c'est un peu facile de dépenser l'argent que l'on a pas(dû gagner)
qu'ils fassent comme nous:- de rentrées = - de sorties!!!!
mais ce genre d'équation ils ne savent pas faire
beaux parleurs mais pas forts en maths
une chose certaine:les mêmes passeront à la caisse!! jusqu'à quand

J'ai une idée pour cela tout simplement obligé nos decideurs a avoir le certificat d'etude primaire style 1930/50 le bac actuel + x n'est peu se prevaloir d'equivalence

Oui la note est salée, surtout pour ceux qui ont la malchance d'être emarqués dans les aventures de Communautés de communes où les dépenses s'joutent aux dépenses. Ici, 150 ù d'augementaton de la part com de com l'année dernière et 20% d'augemntation des impôts locaux en 5 ans.
Quant aux subventions des associations, je suis pleinement d'accord avec Cultilande. Si une association présente un intéret quelconque pour ses membres, ils la soutiennent de leurs deniers.
Ici, une association bénéficie de 190 000 € euros de subvention sans que la "puissance publique" n'exige la moindre information sur la nécessité de cette subvention, ni ne demande le moindre compte rendu sur la destination de cette somme. Et c'est la même chose pour TOUTES les associations!!
Mais il parait que cela pourrait changer.......
Daniel

Bonjour, a force de dépenser sans compter , les caisses sont vides. La dérive est du fait qu'il est plus facile de dépenser l'argent des autres. Bien sur c'est toujours les mêmes qui vont trinquer. Mais jusqu'à quand va t on avoir la capacité de payer.

chris32 a écrit:Bonjour, a force de dépenser sans compter , les caisses sont vides. La dérive est du fait qu'il est plus facile de dépenser l'argent des autres. Bien sur c'est toujours les mêmes qui vont trinquer. Mais jusqu'à quand va t on avoir la capacité de payer.

Les collectivités sont pour la plupart équilibrées (à l'heure actuelle car effectivement c'est sur le point de se gâter ) il en est tout autrement de l'état qui n'a plus la capacité de payer depuis bien longtemps , le trou est creusé si profond que personne ne sait combien de générations il faudra pour le combler (d'autant qu'on creuse toujours plus vite qu'on rebouche ) aucune entreprise ne serait tolérée de fonctionner durant des décennies de cette manière , le gérant serait au arrêts et la banque aurait lâchée depuis bien longtemps .

OUi, si on gerait nos entreprises de la meme facon qu'est geré l'etat, il y a belle lurette qu'on aurait mis la clef sous la porte.

leurs méthodes de travail sont assez surprenantes.
Dans un entreprise privée, on fait d'abord l'état des ressources avant dedéfinir les dépenses.
Dans les communautés publiques (mairies, com de com) on recense les dépenses, les élus les entérinnent ( ou pas) et c'est seulement après qu'on se préoccupe de savoir comment on va les couvrir. Là, aucun problème, on augment simplement les impôts.
Sans compter que, souvent, la plupart des budgets prévisionnels ne tiennet pas la route et explosent en cours de route.
Et il n'y a pas non plus de mesures de l'efficacité (je n'ose pas dire rentabilité) des mesures mise en place.
Ce qui se comprend parfaitement puisque les élus sont surtout préoccupés par leur réelection suivante et riquerait de souffrir de la publication des résultats de leurs actions.
Daniel

il y a quand meme des communes bien gerée

c'est plus souvent des communes de petite taille

Le gros soucis des collectivités, c'est que l'état leur attribue de nouvelles charges par la décentralisation sans compensations financières et que certains départements comme le Gers ( rural) dont la population n'augmente pas, entraine des difficultés à boucler le budget

Le gros soucis des collectivités, c'est que l'état leur attribue de nouvelles charges par la décentralisation sans compensations financières

Une raison de plus pour serrer les boulons et faire le point des actions les plus inidspensables et utiles. Le problème étant qu'elles ne sont pas forcément électoralement payantes et celles là sont (presque) les seules qii intérressent nos politicards qu'ils soient en haut de l'échelle ou à ras du sol. et, ajouterai je, de droite comme de gauche.
Daniel